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voudrais bien que tu ne m'aies pas appris à appeler les valets des Jeannots, et je voudrais que mes mains fussent moins rudes et mes souliers moins épais.

Publié le 15/12/2013

Extrait du document

voudrais bien que tu ne m'aies pas appris à appeler les valets des Jeannots, et je voudrais que mes mains fussent moins rudes et mes souliers moins épais. » Alors je dis à Joe que je me trouvais bien malheureux, et que je n'avais pu m'expliquer devant Mrs Joe et M. Pumblechook, parce qu'ils étaient trop durs pour moi ; qu'il y avait chez miss Havisham une fort jolie demoiselle qui était très fière ; qu'elle m'avait dit que j'étais commun ; que je savais bien que j'étais commun, mais que je voudrais bien ne plus l'être ; et que les mensonges m'étaient venus, je ne savais ni comment ni pourquoi... C'était un cas de métaphysique aussi difficile à résoudre pour Joe que pour moi. Mais Joe voulut éloigner tout ce qu'il y avait de métaphysique dans l'espèce et en vint à bout. « Il y a une chose dont tu peux être bien certain, mon petit Pip, dit Joe, après avoir longtemps ruminé. D'abord, un mensonge est un mensonge, de quelque manière qu'il vienne, et il ne doit pas venir ; n'en dis plus, mon petit Pip ; ça n'est pas le moyen de ne plus être commun, mon garçon, et quant à être commun, je ne vois pas cela très clairement : tu es d'une petite taille peu commune, et ton savoir n'est pas commun non plus. - Si ; je suis ignorant et emprunté, Joe. - Mais vois donc cette lettre que tu m'as écrite hier soir, c'est comme imprimé ! J'ai vu des lettres, et des lettres écrites par des messieurs très comme il faut, encore, et elles n'avaient pas l'air d'être imprimées. - Je ne sais rien, Joe ; tu as une trop bonne opinion de moi, voilà tout. - Eh bien, mon petit Pip, dit Joe, que cela soit ou que cela ne soit pas, il faut commencer par le commencement ; le roi sur son trône, avec sa couronne sur sa tête, avant d'écrire ses actes du Parlement, a commencé par apprendre l'alphabet, alors qu'il n'était que prince royal... Ah ! ajouta Joe avec un signe de satisfaction personnelle, il a commencé par l'A et a été jusqu'au Z, je sais parfaitement ce que c'est, quoique je ne puisse pas dire que j'en ai fait autant. » Il y avait de la sagesse dans ces paroles, et elles m'encouragèrent un peu. « Ne faut-il pas mieux, continua Joe en réfléchissant, rester dans la société des gens communs plutôt que d'aller jouer avec ceux qui ne le sont pas ? Ceci me fait penser qu'il y avait peut-être un drapeau ? - Non, Joe. - Je suis vraiment fâché qu'il n'y ait pas eu au moins un drapeau, mon petit Pip. Cela finira par arriver aux oreilles de ta soeur. Écoute, mon petit Pip, ce que va te dire un véritable ami, si tu ne réussis pas à n'être plus commun, en allant tout droit devant toi, il ne faut pas songer que tu pourras le faire en allant de travers. Ainsi donc, mon petit Pip, ne dis plus de mensonges, vis bien et meurs en paix. - Tu ne m'en veux pas, Joe ? - Non, mon petit Pip, non ; mais je ne puis m'empêcher de penser qu'ils étaient joliment audacieux, ces chiens qui voulaient manger les côtelettes de veau, et un ami qui te veut du bien te conseille d'y penser quand tu monteras te coucher ; voilà tout, mon petit Pip, et ne le fais plus. » Quand je me trouvai dans ma petite chambre, disant mes prières, je n'oubliai pas la recommandation de Joe ; et pourtant mon jeune esprit était dans un tel état de trouble, que longtemps après m'être couché, je pensais encore comment miss Estelle considérerait Joe, qui n'était qu'un simple forgeron : et combien ses mains étaient rudes, et ses souliers épais ; je pensais aussi à Joe et à ma soeur, qui avaient l'habitude de s'asseoir dans la cuisine, et je réfléchissais que moi-même j'avais quitté la cuisine pour aller me coucher ; que miss Havisham et Estelle ne restaient jamais à la cuisine ; et qu'elles étaient bien au-dessus de ces habitudes communes. Je m'endormis en pensant à ce que j'avais fait chez miss Havisham, comme si j'y étais resté des semaines et des mois au lieu d'heures, et comme si c'eût été un vieux souvenir au lieu d'un événement arrivé le jour même. Ce fut un jour mémorable pour moi, car il apporta de grands changements dans ma destinée ; mais c'est la même chose pour chacun. Figurez-vous un certain jour retranché dans votre vie, et pensez combien elle aurait été différente. Arrêtez-vous, vous qui lisez ce récit, et figurez-vous une longue chaîne de fil ou d'or, d'épines ou de fleurs, qui ne vous eût jamais lié, si, à un certain et mémorable jour, le premier anneau ne se fût formé. X Un ou deux jours après, un matin en m'éveillant, il me vint l'heureuse idée que le meilleur moyen pour n'être plus commun était de tirer de Biddy tout ce qu'elle pouvait savoir sur ce point important. En conséquence, je déclarai à Biddy, un soir que j'étais allé chez la grand-tante de M. Wopsle, que j'avais des raisons particulières pour désirer faire mon chemin en ce monde, et que je lui serais très obligé si elle voulait bien m'enseigner tout ce qu'elle savait. Biddy, qui était la fille la plus obligeante du monde, me répondit immédiatement qu'elle ne demandait pas mieux, et elle mit aussitôt sa promesse à exécution. Le système d'éducation adopté par la grand-tante de M. Wopsle, pouvait se résoudre ainsi qu'il suit : Les élèves mangeaient des pommes et se mettaient des brins de paille sur le dos les uns des autres, jusqu'à ce que la grand-tante de M. Wopsle, rassemblant toute son énergie, se précipitât indistinctement sur eux, armée d'une baguette de bouleau, en faisant une course effrénée. Après avoir reçu le choc avec toutes les marques de dérision possibles, les élèves se formaient en ligne, et faisaient circuler rapidement, de main en main, un livre tout déchiré. Le livre contenait, ou plutôt avait contenu : un alphabet, quelques chiffres, une table de multiplication et un syllabaire. Dès que ce livre se mettait en mouvement, la grand-tante de M. Wopsle tombait dans une espèce de pâmoison, provenant de la fatigue ou d'un accès de rhumatisme. Les élèves se livraient alors entre eux à l'examen de leurs souliers, pour savoir celui qui pourrait frapper le plus fort avec son pied. Cet examen durait jusqu'au moment où Biddy arrivait avec trois Bibles, tout abîmées et toutes déchiquetées, comme si elles avaient été coupées avec le manche de quelque chose de rude et d'inégal, et plus illisibles et plus mal imprimées qu'aucune des curiosités littéraires que j'aie jamais rencontrées depuis, elles étaient mouchetées partout, avec des taches de rouille et avaient, écrasés entre leurs feuillets, des spécimens variés de tous les insectes du monde. Cette partie du cours était généralement égayée par quelques combats singuliers entre Biddy et les élèves récalcitrants. Lorsque la bataille était terminée, Biddy nous indiquait un certain nombre de pages, et alors nous lui lisions tous à haute voix ce que nous pouvions, ou plutôt ce que nous ne pouvions pas. C'était un bruit effroyable ; Biddy conduisait cet orchestre infernal, en lisant elle-même d'une voix lente et monotone. Aucun de nous n'avait la moindre notion de ce qu'il lisait. Quand ce terrible charivari avait duré un certain temps, il finissait généralement par réveiller la grand-tante de M. Wopsle, et elle attrapait un des gens par les oreilles et les lui tirait d'importance. Ceci terminait la leçon du soir, et nous nous élancions en plein air en poussant des cris de triomphe. Je dois à la vérité de faire observer qu'il n'était pas défendu aux élèves de s'exercer à écrire sur l'ardoise, ou même sur du papier, quand il y en avait ; mais il n'était pas facile de se livrer à cette étude pendant l'hiver, car la petite boutique où l'on faisait la classe, et qui servait en même temps de chambre à coucher et de salon à la grand-tante de M. Wopsle, n'était que faiblement éclairée, au moyen d'une chandelle sans mouchettes. Il me sembla qu'il me faudrait bien du temps pour me dégrossir dans de pareilles conditions. Néanmoins, je résolus d'essayer, et, ce soir-là, Biddy commença à remplir l'engagement qu'elle avait pris envers moi, en me faisant faire une lecture de son petit catalogue, et en me prêtant, pour le copier à la main, un grand vieux D, qu'elle avait copié ellemême du titre de quelque journal, et que, jusqu'à présent, j'avais toujours pris pour une boucle. Il va sans dire qu'il y avait un cabaret dans le village, et que Joe aimait à y aller, de temps en temps, fumer sa pipe. J'avais reçu l'ordre le plus formel de passer le prendre aux Trois jolis Bateliers, en revenant de l'école, et de le ramener à la maison, à mes risques et périls. Ce fut donc vers les Trois jolis Bateliers que je dirigeai mes pas. À côté du comptoir, il y avait aux Trois jolis Bateliers une suite de comptes d'une longueur alarmante, inscrits à la craie sur le mur près de la porte. Ces comptes semblaient n'avoir jamais été réglés ; je me souvenais de les avoir toujours vus là, ils avaient même toujours grandi en même temps que moi, mais il y avait une grande quantité de craie dans notre pays, et sans doute les habitants ne voulaient négliger aucune occasion d'en tirer parti. Comme c'était un samedi soir, je trouvai le chef de l'établissement regardant ces comptes d'un air passablement renfrogné ; mais comme j'avais affaire à Joe et non à lui, je lui souhaitai tout simplement le bonsoir et passai dans la salle commune, au fond du couloir, où il y avait un bon feu, et où Joe fumait sa pipe en compagnie de M. Wopsle et d'un étranger. Joe me reçut comme de coutume, en s'écriant : « Holà ! mon petit Pip, te voilà mon garçon ! » Aussitôt l'étranger tourna la tête pour me regarder. C'était un homme que je n'avais jamais vu, et il avait l'air fort mystérieux. Sa tête était penchée d'un côté, et l'un de ses yeux était constamment à demi fermé, comme s'il visait quelque chose avec un fusil invisible. Il avait une pipe à la bouche, il l'ôta ; et après en avoir expulsé la fumée, sans cesser de me regarder fixement, il me fit un signe de tête. Je répondis par un signe semblable. Alors il continua le même jeu et me fit place à côté de lui. Mais comme j'avais l'habitude de m'asseoir à côté de Joe toutes les fois que je venais dans cet endroit, je dis : « Non, merci, monsieur. » Et je me laissai tomber à la place que Joe m'avait faite sur l'autre banc. L'étranger, après avoir jeté un regard sur Joe et vu que son attention était occupée ailleurs, me fit de nouveaux signes ; puis il se frotta la jambe d'une façon vraiment singulière, du moins ça me fit cet effet-là. « Vous disiez, dit l'étranger en s'adressant à Joe, que vous êtes forgeron. - Oui, répondit Joe. - Que voulez-vous boire, monsieur ?... À propos, vous ne m'avez pas dit votre nom. » Joe le lui dit, et l'étranger l'appela alors par son nom. « Que voulez-vous boire, monsieur Gargery, c'est moi qui paye pour trinquer avec vous ? - À vous dire vrai, répondit Joe, je n'ai pas l'habitude de trinquer avec personne, et surtout de boire aux frais des autres, mais aux miens. - L'habitude, non, reprit l'étranger ; mais une fois par hasard n'est pas coutume, et un samedi soir encore ! Allons ! dites ce que vous voulez, monsieur Gargery. - Je ne voudrais pas vous refuser plus longtemps, dit Joe ; du rhum. - Soit, du rhum, répéta l'étranger. Mais monsieur voudra-t-il bien, à son tour, témoigner son désir ? - Du rhum, dit M. Wopsle. - Trois rhums ! cria l'étranger au propriétaire du cabaret, et trois verres pleins ! - Monsieur, observa Joe, en manière de présentation, est un homme qui vous ferait plaisir à entendre, c'est le chantre de notre église. - Ah ! ah ! dit l'étranger vivement, en me regardant de côté, l'église isolée, à droite des marais, tout entourée de tombeaux ? - C'est cela même », dit Joe. L'étranger, avec une sorte de murmure de satisfaction à travers sa pipe, mit sa jambe sur le banc qu'il occupait à lui seul. Il portait un chapeau de voyage à larges bords, et par-dessous un mouchoir roulé autour de sa tête, en manière de calotte, de sorte qu'on ne voyait pas ses cheveux. Il me sembla que sa figure prenait en ce moment une expression rusée, suivie d'un éclat de rire étouffé. « Je ne connais pas très bien ce pays, messieurs, mais il me semble bien désert du côté de la rivière. - Les marais ne sont pas habités ordinairement, dit Joe. - Sans doute !... sans doute !... mais ne pensez-vous pas qu'il peut y venir quelquefois des Bohémiens, des vagabonds, ou quelque voyageur égaré ? - Non, dit Joe ; seulement par-ci, par-là, un forçat évadé, et ils ne sont pas faciles à prendre, n'est-ce pas, monsieur Wopsle ? » M. Wopsle, se souvenant de sa déconvenue, fit un signe d'assentiment dépourvu de tout enthousiasme. « Il paraît que vous en avez poursuivi ? demanda l'étranger. - Une fois, répondit Joe, non pas que nous tenions beaucoup à les prendre, comme vous pensez bien ; nous y allions comme curieux, n'est-ce pas, mon petit Pip ? - Oui, Joe. » L'étranger continuait à me lancer des regards de côté, comme si c'eût été particulièrement moi qu'il visât avec son fusil invisible, et dit : « C'est un gentil camarade que vous avez là ; comment l'appelez-vous ? - Pip, dit Joe.

« X Un oudeux jours après, unmatin enm’éveillant, ilme vint l’heureuse idéequelemeilleur moyenpourn’être plus commun étaitdetirer deBiddy toutcequ’elle pouvait savoirsurcepoint important.

Enconséquence, jedéclarai à Biddy, unsoir que j’étais alléchez lagrand-tante deM. Wopsle, quej’avais desraisons particulières pourdésirer faire mon chemin encemonde, etque jelui serais trèsobligé sielle voulait bienm’enseigner toutcequ’elle savait.Biddy, qui était lafille laplus obligeante dumonde, merépondit immédiatement qu’ellenedemandait pasmieux, etelle mit aussitôt sapromesse àexécution. Le système d’éducation adoptéparlagrand-tante deM. Wopsle, pouvaitserésoudre ainsiqu’ilsuit : Lesélèves mangeaient despommes etse mettaient desbrins depaille surledos lesuns desautres, jusqu’à ceque lagrand-tante de M. Wopsle, rassemblant toutesonénergie, seprécipitât indistinctement sureux, armée d’unebaguette debouleau, en faisant unecourse effrénée.

Aprèsavoirreçulechoc avectoutes lesmarques dedérision possibles, lesélèves se formaient enligne, etfaisaient circulerrapidement, demain enmain, unlivre toutdéchiré.

Lelivre contenait, ouplutôt avait contenu : unalphabet, quelqueschiffres,unetable demultiplication etun syllabaire.

Dèsque celivre semettait en mouvement, lagrand-tante deM. Wopsle tombaitdansuneespèce depâmoison, provenantdelafatigue oud’un accès derhumatisme.

Lesélèves selivraient alorsentre euxàl’examen deleurs souliers, poursavoir celuiquipourrait frapper leplus fortavec sonpied.

Cetexamen duraitjusqu’au moment oùBiddy arrivait avectroisBibles, toutabîmées et toutes déchiquetées, commesielles avaient étécoupées aveclemanche dequelque chosederude etd’inégal, et plus illisibles etplus malimprimées qu’aucunedescuriosités littéraires quej’aie jamais rencontrées depuis,ellesétaient mouchetées partout,avecdestaches derouille etavaient, écrasésentreleursfeuillets, desspécimens variésdetous les insectes dumonde.

Cettepartie ducours étaitgénéralement égayéeparquelques combatssinguliers entreBiddy etles élèves récalcitrants.

Lorsquelabataille étaitterminée, Biddynousindiquait uncertain nombre depages, etalors nous lui lisions tousàhaute voixceque nous pouvions, ouplutôt ceque nous nepouvions pas.C’était unbruit effroyable ; Biddy conduisait cetorchestre infernal,enlisant elle-même d’unevoixlente etmonotone.

Aucundenous n’avait la moindre notiondecequ’il lisait.

Quand ceterrible charivari avaitduréuncertain temps,ilfinissait généralement par réveiller lagrand-tante deM. Wopsle, etelle attrapait undes gens parlesoreilles etles luitirait d’importance.

Ceci terminait laleçon dusoir, etnous nousélancions enplein airenpoussant descrisdetriomphe.

Jedois àla vérité de faire observer qu’iln’était pasdéfendu auxélèves des’exercer àécrire surl’ardoise, oumême surdupapier, quandily en avait ; maisiln’était pasfacile deselivrer àcette étude pendant l’hiver,carlapetite boutique oùl’on faisait la classe, etqui servait enmême tempsdechambre àcoucher etde salon àla grand-tante deM. Wopsle, n’étaitque faiblement éclairée,aumoyen d’unechandelle sansmouchettes. Il me sembla qu’ilmefaudrait biendutemps pourmedégrossir dansdepareilles conditions.

Néanmoins, jerésolus d’essayer, et,cesoir-là, Biddycommença àremplir l’engagement qu’elleavaitprisenvers moi,enme faisant faireune lecture deson petit catalogue, eten me prêtant, pourlecopier àla main, ungrand vieuxD,qu’elle avaitcopié elle- même dutitre dequelque journal,etque, jusqu’à présent, j’avaistoujours prispour uneboucle. Il va sans direqu’il yavait uncabaret danslevillage, etque Joeaimait àyaller, detemps entemps, fumersapipe. J’avais reçul’ordre leplus formel depasser leprendre aux Trois jolisBateliers, en revenant del’école, etde leramener à la maison, àmes risques etpérils.

Cefut donc versles Trois jolisBateliers que jedirigeai mespas. À côté ducomptoir, ilyavait aux Trois jolisBateliers une suite decomptes d’unelongueur alarmante, inscritsàla craie surlemur près delaporte.

Cescomptes semblaient n’avoirjamaisétéréglés ; jeme souvenais deles avoir toujours vuslà,ilsavaient mêmetoujours grandienmême tempsquemoi, mais ilyavait unegrande quantité decraie dans notre pays,etsans doute leshabitants nevoulaient négligeraucuneoccasion d’entirerparti. Comme c’étaitunsamedi soir,jetrouvai lechef del’établissement regardantcescomptes d’unairpassablement renfrogné ; maiscomme j’avaisaffaire àJoe etnon àlui, jelui souhaitai toutsimplement lebonsoir etpassai dansla salle commune, aufond ducouloir, oùilyavait unbon feu,etoù Joe fumait sapipe encompagnie deM. Wopsle et d’un étranger.

Joemereçut comme decoutume, ens’écriant : « Holà ! monpetit Pip,tevoilà mongarçon ! » Aussitôt l’étranger tournalatête pour meregarder.

C’étaitunhomme quejen’avais jamaisvu,etilavait l’airfort. »

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