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PASSIONNÉMENT d’André Messager (résumé et analyse de l’œuvre – Répertoire lyrique)

Publié le 25/09/2015

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Acte III. Même décor qu’au IIe acte.

 

Le jour est déjà levé, Julia sommeille encore dans un fauteuil Couplets de Julia : J’ai lu dans la sainte Ecriture... Ketty sort discrètement. Robert se demande s’il a rêvé ; Hélène vient rompre avec lui, lui récla mant ses lettres. Puis Ketty, en vieille dame, fait jurer à Hélène de ne plus tromper son mari [Couplets D'HÉLÈNE : N’imaginez pas qu'il me coûte... ]. Se retrouvant seule avec Robert, elle feint l'indignation quand le Français lui avoue son aventure, et tâche de le dissuader de suivre l’Arabella en Amérique.

 

Stephenson rentre du Casino complètement gris [Couplets de STEPHENSON : Julia, jusqu'à cette heure il me semble...] et embrasse Julia. Robert arrive et demande à Stephenson, qui est en excellentes dispositions maintenant à l'égard de tout le monde, la main de Margared. L’Américain ouvre de grands yeux. Ketty se présente sans perruque ni lunettes, et tout commence à devenir clair. Stephenson divorcera, ce qui fait l'affaire de chacun, même de Julia.... [Finale : Le bon et doux vin de France...].

« ANALYSE AcTE I.

- Le salon de l' • Arabella ., le yacht de Stephenson .

• L'Arabella ., venant de New York, s'approche des côtes françaises.

Mais Stephenson, un trusteur de pétrole et de corned-beef, n'a consen:i à venir en France qu'à une condition expresse : sa femme Ketty, ex vedette du Théâtre new yorkais n'y paraîtra devant un étranger qu'en perruque blanche et lunettes bleues [Duo : On ne peut plus croire aux serments des femmes ..

.

] .

Ketty en doit faire le serment sur la Bible.

Toutefois Stephenson se trompe, et c'est sur un livre beaucoup moins recommandable que le serment est réellement prêté ...

Stephenson, défenseur du régime sec, entend que les lois améri­ caines continuent à être scrupuleusement respectées par ses gens [Cou­ PLETS DE STEPHENSON : Si l'Amérique est le plus grand pays du monde ..

.] .

Julia, la femme de chambre, rompt avec le capitaine Harris, désireuse qu'elle est de connaître en France le frisson véritable de l'amour [Cou­ PLETS DE JULIA : L'amour est un oîseau rebelle ..

.

].

Le yacht aborde.

Robert Perceval, mandé d'avance par Stephenson, qui compte acquérir de lui à bas prix une propriété américaine inculte dont le Yankee sait la richesse pétrolifère, monte sur le pont, suivi de sa maîtresse, Hélène, et du mari de celle ci, Le Barrois.

Hélène s'arrange pour renvoyer Le Barrois et fait une scène de jalousie à Robert [Cou­ PLETS DE RoBERT : J'ai un rendez-vous d'affaires ..

.].

Elle se rassure quand Ketty apparaît en vieille dame, et se retire rapidement.

Le marché est rapidement conclu entre Stephenson et Robert.

Le Fran­ çais, en se retirant, rencontre Ketty non déguisée et la prend pour la nièce de Stephenson [FINALE (Ketty) : Allons, soyez raisonnable !].

Ketty, qui prétend se nommer Margared, lui fait jurer touj ours sur la pseudo Bible - de ne jamais chercher à la revoir ! AcTE Il.

-Un élégant salon chez Robert, à la Villa des Roses.

Le dîner s'achève, à l'entière satisfaction de Stephenson [TRIO : Non ! je n'ai pas de souvenance ..

.].

Hélène arrive, enchantée du départ subit de son mari.

Robert l'est beaucoup moins.

Hélène, qui a comme un pressentiment, demande à Ketty d'interroger Perceval.

Robert avoue bientôt à Ketty son inclination subite pour la jeune fille aperçue la veille sur le yacht de Stephenson.

Sur ces entrefaites, le capitaine Harris et Julia font irruption avec leurs valises, car l' • Arabella • a subi une avarie, et il n'y a plus possi bilité de coucher à bord.

Ketty voudrait partir, et confie ses scrupules à Julia qui en a certainement beaucoup moins qu'elle [CoUPLETS DE JuLIA : Moi, toute la vie ..

.J.

Il faudra se résoudre à accepter l'hospitalité de Robert.

Au moment de signer le contrat de vente, Robert reçoit un billet de • Margared ., l'engageant à se méfier de cette affaire.

Robert effeuille la marguerite en songeant à sa chère petite corres pondante [AIR DE RoBERT : Passionnément !.

.

.].

Julia, qui fait en vain des propositions à tous les hommes qu'elle rencontre, révèle à Robert que. »

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