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Biographie de Pierre-augustin Caron de Beaumarchais

Publié le 22/12/2011

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augustin

 TABLE DES MATIÈRES

 

INTRODUCTION……………………………………………………………………….1-2

 

  1. BIOGRAPHIE…………………………………………………………………3-10

  2. ANALYSE…………………………………………………………………….11-13

 

CONCLUSION…………………………………………………………………………….14

BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………………………….15-16

INTRODUCTION

 

Au cours de la Renaissance intellectuelle et artistique en Europe, plusieurs hommes et femmes ont contribué à l’aboutissement de ce qui fut la période clef de notre histoire. C’est en effet à cette époque que l’humain entreprit de prendre sa place au sein d’une société entièrement dirigée par un clergé sombrant dans la luxure et par un État absolutiste contraignant et sans regards sur les droits humains. Parmi ces pionniers de la lumière, certains ont su marquer l’histoire d’une manière unique et propre à chacun.

 

Parmi ceux-ci, Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais sût se démarquer par son génie artistique et qui, à sa manière, contribua grandement au cheminement de la lumière vers les révolutions intellectuelles majeures de la fin du 18e siècle.

 

Pour illustrer son apport, nous verrons d’abord qui était cet homme via une biographie détaillée de celui-ci, et enfin on effectuera une analyse complète de celui-ci.

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« Possédant un sens des affaires aiguë il s’associe avec le richissime financier Pâris-Duverney pour devenir hommed’affaires et s’enrichit considérablement grâce à ses talents de spéculations commerciales et aux nombreuxprocès qu’il entreprit.

Il rencontra cet homme par l’entremise de son neveu Charles Lenormant d’Étioles, époux deMme de Pompadour, qui avait fait construire dans son château un et dans lequelBeaumarchais fournissait , écrit Jean-Pierre de Beaumarchais, tel Léandre marchand, Les bottes de sept lieus, ou Jean-Bête à la foire. Grâce à sa notoriété à la cour, Pierre- Augustin passa un marché avec Duverney.

En effet, il devait parvenir à usé de son influence pourque Mesdames et plus tard le roi consentissent à s’intéresser à l’académie militaire financée par Duverney et en échange ce dernier apporterait son soutien financier aux entreprises de Beaumarchais.

Ce fut un succès etBeaumarchais pu ainsi acquérir à grand coût la charge anoblissante de Lieutenant général des chasses (juge desbraconniers du domaine royal) en 1762.

Toujours en affaire avec son mentor, il partit de 1764 à 1765 en Espagneavec pour mandat de faire avancer certaines opérations de Duverney dont on a que peu d’informations et quin’aboutirons pas.

Il en profita également pour tenter de marier sa sœur Lisette à son prétendu (opération qui luiserait profitable financièrement) mais échoue et sa sœur se rabat ainsi sur un parti un peu moins reluisant : unnégociant du nom de Durand qui sera pour Beaumarchais un ami fidèle. Peu après, comme vu dans Encarta, il consacre ses énergies à la production de textes de théâtre : Il écrit en 1767 un mélodrame moralisant, Eugénie ou la Vertu du désespoir, dont la préface, Essai sur le genre dramatique sérieux, développe des théories qui doivent beaucoup à Diderot et à Sédaine ; ceux-ci sont encore ses modèles pour un drame bourgeois, les Deux Amis ou le Négociant de Lyon, qui, monté en 1770, connaît l’échec 2. Cependant l’année 1770 fut pour Beaumarchais une année de misère.

Remarié pour la seconde fois à une richeveuve en 1768 ( Geneviève Wattebled), elle meurt en 1770, lui laissant un fils qui la suivra deux ans plus tard.

Deplus, il perdit son cher ami Duverney qui décéda à l’âge de quatre-vingt-six ans, mais qui avait pris la peined’ajouter une clause au sujet de son protégé dans son testament (une affaire de 15 000 francs et un prêt de75 000 sans intérêts).

L’héritier officiel de Pâris est le comte de La Blache et entraîne Beaumarchais dans unesérie de procès car il refuse de s’acquitter de la clause de son oncle.

Juge de ce procès : le conseiller Goezman.En même temps une histoire d’adultère avec la femme du duc de Chaulnes le conduit en prison peu avant saparution clef au procès (du 26 février au 8 mai 1773).

Ainsi en réplique Beaumarchais publie sesquatre mémoires justificatives où son récit en Espagne est romanisé à l’extrême et vient chercher l’émotion du public, entraînant leur conviction profonde en son innocence (ses talents de conteur ne font aucun doute).

Maisle procès est tout de même déclaré nul et l’accusé faussaire.

Suite à cela il offre en secret un pot-de-vin pourobtenir audience auprès du juge Goezman, une affaire de quinze louis.

Il fait lumière sur la corruption du juge etsur l’incompétence des parlements instaurés par Louis XV.

Beaumarchais est ‘’blâmé’’ en 1774, Goezman révoquépeu après et Louis XVI finira par supprimer les parlements.

Cet épisode en entraînera un autre, beaucoup plussombre, pour les dix prochaines années de sa vie.

Ayant perdu ses droits civique, ruiné, il devient espion politiquepour le compte du Roi Louis XV et après pour Louis XVI (ceux-ci profitant de ses talents charismatiques et de sonnouveau statut pour le faire acquiescer) en Angleterre et en Hollande ayant pour Mais à travers tous ces tumultes, Beaumarchais trouve le temps de se consacrer à ce qui se révélera être plustard l’œuvre majeure de sa vie.

Il écrit Le Barbier de Séville (1775), dans lequel il met en scène le personnage tant connu de Figaro qui nous dit dans ce premier volet de cette trilogie : La célébrité s’ouvre ainsi à cet auteur.

Dans le souci de protégé les droits des auteurs, il fonde ensuite en 1777 le Bureau de législation dramatique (ancêtre de la Société desauteurs et compositeurs dramatique (SACD)).

La propriété littéraire sera ainsi fixée une première fois en 1780 parle conseil d’état puis en 1791 par l’Assemblée constituante.

Il a aussi entre temps terminé le second volet de satrilogie avec Le mariage de Figaro en 1778.

La pièce se retrouve aussitôt censurée due à son caractère provoquant faisant allusions aux abus du régime français.

Le roi est scandalisé alors Beaumarchais retouche sonœuvre, transportant l’action en Espagne mais le roi fait interdire la pièce la veille de la première en juin 1783.

Selève donc une véritable campagne d’opinion qui et ainsi la pièce est reçue une première fois en septembre de la même année, à Gennevilliers, chez le compte deVaudreuil, en privé.

La première officielle est joué le 27 avril 1784 dans le théâtre neuf de la Comédie-Française.C’est un véritable succès, la nouvelle salle vibre par les acclamations.

Il faut compter près de cent autresreprésentations de 1784 à 1787 tellement la pièce est aimée.

D’un autre côté, la pièce critiquant durement le. »

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