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Christophe Colomb

Publié le 19/03/2012

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En 1484, Colomb s'adressa à Jean II du Portugal et lui proposa une expédition sur l'océan Atlantique vers l'ouest. Cependant, bien que son plan fut, certes, considéré avec toute l'attention voulue, il fut rejeté. Le roi Jean Il était un partisan enthousiaste des voyages d'exploration, mais les tentatives visant à trouver une route maritime vers les Indes retenaient toute son attention. Sans doute, ce refus tenait-il également au fait que l'expédition proposée par Colomb ne laissait espérer aucun profit matériel. Ne pouvant plus rien attendre du roi Jean II, Colomb partit pour l'Espagne....

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« Elle était fondée sur la sphéricité de la Terre avec un périmètre de 360° de longitude .

Mai s il suresti­ mait la distance entre l'Europe occidentale et l'A­ sie orientale, et sous-estimait la longueur d'un de­ gré.

De ce fait, la distance qu' il devait parcourir du Portugal vers l'ouest pour atteindre l'Asie était beaucoup plus longue qu'il ne l'avait pensé.

D'a­ près ses calculs, la distance qui séparait l'Asie du Portugal était à peu près égale à celle qui sépare en réalité 1 'Amérique du Portugal.

En 1484, Colomb s'adressa à Jean II du Portugal et lui proposa une expédition sur l'océan Atlanti­ que vers l'ouest.

Cependant, bien que son plan fut, certes, considéré avec toute l'attention vou­ lue, il fut rejeté.

Le roi Jean Il était un partisan enthousiaste des voyages d'exploration, mais les tentatives visant à trouver une route maritime vers les Indes retenaient toute son attention.

Sans dou­ te, ce refus tenait-il également au fait que l'expé­ dition proposée par Colomb ne laissait espérer au­ cun profit matériel.

Ne pouvant plus rien attendre du roi Jean II, Colomb partit pour l'Espagne .

Au printemps de 1486, Colomb était parvenu à se faire introduire auprès du roi Ferdinand Il d'Ara­ gon et de la reine Isabelle de Castille, son épouse.

Une commission spéciale fut mise sur pied pour étudier ses propositions.

Colomb devrait attendre quatre années avant le dépôt des conclusions de cette commission .

A cette même époque, il se ren­ dit en Angleterre et de nouveau au Portugal, mais sans le moindre succès.

Finalement, en 1490, il put prendre connaissance du rapport de la com­ mission, pour s'entendre dire que son projet, réputé "irréalisable", n'était pas admis.

Ferdi­ nand et Isabelle se montrèrent moins découra­ geants.

A cette époque, les roi s catholiques étaient engagés dans la conquête du royaume musulman de Grenade.

En 1492, Grenade devenait enfin espagnole, et les mu sulman s étaient chassés d'E spagne .

Colomb fut appelé à la cour où il affi- Ci-dessus: La rein e Is abelle et le roi Ferdinand d'Espagne, qui as­ surèrent Colomb de leur souti en .

A gauche : Un compas du XVe siècle.

Colomb en aurait utilisé un de ce type .

cha de grandes prétentions, que Ferdinand et Isa­ belle n'acceptèrent qu'au bout d'un certain temps .

Néanmoin s, le départ put être envisagé la même année.

Colomb réu ssit à dispose r de troi s navire s pour son voyage dans l'inconnu .

Au total, l'équipage comptait quatre-vingt-dix hommes.

Son navire amiral était la Santa Maria.

Le maître de la navi­ gation était le célèbre cartographe Juan de la Co­ sa.

La Santa Maria était accompagnée de deux ca­ ravelles, la Pinta et la Nina.

La première était commandée par Martin Pinzon et la seconde, par s on frère, Vincente .

Outre des provisions, les na-. »

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