Catégorie : Religions

Les origines L'origine des religions c'est la foi.
Noé Noé est un personnage de légende qui se greffe sur le patrimoine culturel et religieux de l'Orient ancien. Il est à l’origine des nations répandues sur la terre (Origine des nations sur la Terre). A cette époque, le cycle de la vie humaine n'était pas comparable à celui d'aujourd'hui. Le père de Noé, Lamech vécut 595 ans, Noé fut père de trois fils Sem, Cham et Japhet à l'âge de 500 ans, et mourut à 950 ans... A cette époque les « Niphilim » ( Les héros antédiluviens ) issus de l'union entr...
Les principes fondamentaux Le judaïsme est une religion du livre.
Dieu unique : Yavhé Les récits de la Bible hébraïque illustrent quatre principes fondamentaux : le monothéisme (croyance en un seul Dieu) le peuple élu (les Juifs), la terre promise (Israël), la loi (la Tora). Le judaïsme est la première religion à avoir affirmé l'existence d'un « Dieu unique » qui révéla son nom à Moïse, « Yavhé ». A partir du III esiècle av. J.-C., les Juifs n'eurent plus le droit de prononcer ce nom, transcrit « YHWH » dans leurs écritures.
Les rites et les fêtes Le mythe (Le combat avec l'ange - Israël), la Haggada et le rite (la Halakha) Le peuple juif est un peuple de la mémoire.
Le chabbat Le chabbat est l'un des fondements essentiels du judaïsme. C'est un jour sanctifié et chômé. Le mot chabbat signifie en hébreu « cesser toute activité créatrice ». Sept règles mettent en valeur la dimension sociale du chabbat : les 39 travaux , les Nérot : les bougies du vendredi soir (La chute), le quiddouch ou guéfène : la coupe de vin (Le septième jour), les ‘Halot : les pains du chabbat (Les cailles et la manne) (L'eau jaillit du rocher), la lecture de la Tora - le chabbat mati...
Les origines Le mot Islam, en arabe, signifie soumission à la volonté de Dieu.
Allah Le Dieu de l'islam , du fait même qu'il est unique, est pourvu de toutes les perfections imaginables. Ces perfections s'expriment dans la variété des (99) noms qu'Allah se donne. Parmi ceux-ci les plus significatifs : le Dieu vivant, celui qui ne meurt point ; le Dieu tout-puissant, le seigneur des mondes, le vainqueur, le Roi. Le Dieu omniscient, que nul somnolence, nul sommeil ne prend, celui à qui rien n'échappe, ainsi « toute chose est et sera telle que Dieu les sait devoir être ». D...
Martin Luther King (1929-1968) « I have a dream » Célèbre pasteur baptiste noir américain, Martin Luther King lutta contre toute forme de ségrégation raciale en prônant la non-violence.
Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)\HDLN0000100103 \LINK0054900562PE_0364T King Martin Luther Pasteur noir américain * 15.1.1929, Atlanta, Géorgie + 4.4.1968, Memphis, Tennessee Pasteur à Montgomery (Alabama) depuis 1954, il organise, durant 381 jours, un boycott des autobus pratiquant la ségrégation raciale (1955). Cette première action politique connaît un grand succès et aboutit l'année suivante à l'abolition de la séparation des races dans les transports en commun. En 1957, il fonde la Conféren...
Les rites et les fêtes L'Église de Rome a adopté le calendrier grégorien défini lors de la réforme du pape Grégoire XIII en 1582.
Les cycles liturgiques Ils sont rythmés par les cycles temporels (Le premier jour de la semaine), les saints et les cloches .
Lag baOmère est le trente-troisième jour de la période de l'Omère La période entre Pâque et Chavouot (pentecôte juive) se nomme la période de l'Omère ; elle dure quarante-neuf jours.
de l’Omère et s’arrêta miraculeusement le trente-troisième jour. C’est pourquoi Lag baOmère est un jour de mi-fête. Ce même jour est considéré comme la date anniversaire de la mort de Rabbi Chimone Bar Yohaï, un des grands fondateurs de la Kabbale. De ce fait, on a pris l’habitude de faire un pèlerinage sur sa tombe qui se trouve à Mérone, petite localité située à côté de Safed en Galilée. Ce pèlerinage s’appelle la Hiloula de Rabbi Chimone Bar Yohaï, fêtée aujourd’hui dans le monde entier par d...
Pessa'h, la Pâque juive " souviens-toi de la sortie d'Égypte " Elle dure sept ou huit jours pendant lesquels il est interdit de consommer tout aliment qui contiendrait du levain.
de la sortie d’Égypte et qui n’a pas pu lever. Pain de misère, car c’est celui que consommaient les Hébreux esclaves en Égypte. La troisième obligation est la célébration du Séder de Pessa’h.
La cérémonie du Séder Durant le Séder, on raconte en lisant sur la Haggada l'histoire de la sortie d'Égypte, et on montre sur le plat du Séder tous les symboles supports de cette narration.
au plus profond de soi et faire en sorte d’avoir le sentiment réel de vivre un moment de libération. Le Séder est une cérémonie où une place centrale est donnée au questionnement, surtout à celui de l’enfant. Les questions concernent tous ces objets inattendus et ces comportements insolites : pourquoi mange-t-on de la Matsa (pain azyme) ? Pourquoi des herbes amères ? Pourquoi doit-on manger et boire penché sur le côté gauche ? Pour bien marquer cette importance de la question, de nombreuses phra...
Le Temple Bâti sur le mont Moria, le temple, c'est la maison de Dieu à Jérusalem, lieu central du culte pour le peuple juif.
Les maîtres de la tradition ont eu le génie de construire un autre temple, immédiatement après la destruction du second : un temple invisible, celui de l'esprit et de l'étude. C'est l' œ uvre de Rabbi Yohanan Ben Zaccaï qui ne demanda qu'une chose à Vespasien devenu empereur de Rome : “ Laisse-moi construire une école dans la ville de Yavné ”. Construction de “ l’édifice invisible ” qui ne pourrait plus jamais être détruit : la culture vivante et renouvelée, la lecture des textes et l'infini mo...
Le Calendrier Le Temps Hébraïque se définit par rapport aux mouvements de la lune et du soleil.
Chaque mois ou presque comporte son ou ses événements religieux tels que la fête, le jeûne ou autre commémoration : — Tichri (septembre-octobre) comporte Roch Hachana (le Nouvel An), Yom Kippour et Soukkot (la fête des Cabanes) ; — ‘Hechvan (octobre-novembre) est le seul mois de l’année qui ne compte aucun événement religieux. On l’appelle à cause de cela Mar’hechvan, qui signifie Amère ‘Hechvan ; — Kislev (novembre-décembre) comporte ‘Hanouka, la fête des Lumières ; — Tévet (décembre-janvier) c...
Tou biChevat, la fête du Nouvel An des arbres C'est la fête du Nouvel An des arbres, l'un des quatre " Nouvel An " de l'année juive.
Faites des arbres, pas des armes !
La fête de Soukkot, ou fête des cabanes Lors de la
L’être humain pense comme il habite, c’est-à-dire que la manière d’habiter la terre, comme celle d’habiter l’espace ou le corps, est au moins aussi révélatrice de l’esprit de l’homme que ses idées ou ses comportements.
Le Loulav Lors de la prière du matin, afin de prononcer la bénédiction concernant ce rite, on prend le Loulav dans la main droite avec les trois branches de myrte à droite de la branche de palmier et les deux branches de saule à gauche.
Le Loulav est ainsi le symbole de l’unité du peuple juif et de sa solidarité.
Hanouka, la fête de l'Inauguration Au IIe siècle avant l'ère chrétienne, les juifs remportèrent une grande victoire militaire et spirituelle sur les occupants de culture grecque.
enfin, on rencontrait des juifs indécis, ne sachant s’il fallait suivre les Hassidim ou les Hellénistes. Dans le petit village de Modiine, non loin de Jérusalem, vivait le vieux prêtre Matithyahou, père de cinq fils. Un jour, les soldats d’Antiochus arrivèrent à Mondiine et érigèrent un autel sur la place du marché. Ils invitèrent tous les juifs à venir offrir des sacrifices aux dieux grecs. Le grand prêtre Mattathias (Matithyahou) prit la parole et dit : “ Mes fils, mes frères et moi-même reste...
Le Chofar Lorsque Abraham voulut sacrifier son fils conformément à l'ordre divin, un ange intervint au dernier moment pour arrêter la main meurtrière et désigna un bélier qui serait sacrifié à la place d'Isaac.
de s’arracher à toute assignation d’une essence. Le Zohar va plus loin en soulignant la coïncidence numérique entre le mot Adam (l’homme) et Ma (quoi ? qu’est-ce que ?). L’homme est fondamentalement un Ma, une question sur soi-même, exorcisant ainsi le risque d’une identité définitive, qu’elle soit naturelle ou sociale. L’“ homme-quoi ? ” se désigne comme le lieu de la question, démarche qui se dit en hébreu Zémanne, “ voici la question ”, et qui signifie le temps. Temps humain, temps infinitif...
Yom Kippour ou plus simplement Kippour est le jour du Pardon C'est la fête la plus connue et la plus respectée par les juifs du monde entier, un événement spirituel et psychologique extraordinaire.
Sont astreints au jeûne tous ceux qui ont atteint la majorité religieuse. Cinq prières scandent les vingt-cinq heures du jeûne. Il se termine par la sonnerie du Chofar, entendue comme un écho d’espoir et de libération.
les 39 travaux Le Talmud trouve l'origine de ces travaux en interprétant le verset suivant : " Vous construirez mon sanctuaire, cependant vous respecterez mes Chabbat ".
relation à l’autre. Le Chabbat est consacré au repos mais aussi à l’étude, au dialogue, à la promenade, à la visite d’amis… En termes plus philosophiques mais simples, l’éloignement, la mise à distance des objets permet la mise en valeur du sujet, c’est-à-dire de l’homme qui se retrouve face à lui-même et à ses proches. L’ensemble des rites du Chabbat met en valeur cette dimension sociale de la rencontre et de la convivialité.
La Havdala indique la fin de toutes les interdictions relatives
cabalistes, l’homme reçoit une âme supplémentaire la veille du Chabbat, âme qui se dit en hébreu Nechama yetéra ; cette âme qui donne toutes ses saveurs particulières au jour du Chabbat, retourne dans le monde des âmes à la sortie du Chabbat et l’homme, ressentant cette perte, sombre alors dans une profonde nostalgie et utilise le parfum afin de “ se remonter ”.
Roch Hachana, le Nouvel An juif Roch Hachana, le Nouvel An juif, dure deux jours en Israël comme en Diaspora, et tombe les 1er et 2 du mois de Tichri.
Dans les communautés séfarades, originaires d’Espagne et des pays arabes essentiellement, on organise un véritable Séder, un vrai rituel : la table de fête est somptueusement décorée et chargée de mets exclusivement doux. Suivant le pays d’origine, on peut trouver certaines variantes, mais fondamentalement l’idée est la même. Il s’agit de consommer, ces deux soirs, des aliments dont le nom en hébreu ou en araméen évoque une citation de la Bible, soit pour bénir le peuple juif, soit pour maudire...

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