LE CUIRASSE POTEMKINE : Scène de l'escalier d'odessa.

D'autres scènes ajoutent un caractère dramatique à cette partie du film : Les fuyards au pieds de l'escalier se font sabrer par soldats à cheval,la jeune mère qui se fait fusillé alors qu'elle tient son landau. Celui-ci dévale l'escalier, la tension est à son comble.  A la fin, en réponse minime à cette acte barbare, le cuirassé tire au canon sur le repaire du commandement des armées.  Grâce à ses différentes scènes de boucherie sanguinaire de l'armée tsaristes à l'encontre des différentes couches populaires, ainsi qu'au montage, au cadrage, à la musique, Eisenstein arrive a créer un récit, un discours argumentatif, visant à critiquer l'impérialisme.  Son montage arrive à nous faire passer le sens de se qu'il veut nous faire comprendre sur la scène. Le cadrage quand à lui ajoute la prise de position, et la musique ajoute les effets de tensions ou au contraire de joie, elle est là pour appuyer les sentiments,la situation.