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Une histoire

Publié le 02/07/2014

Extrait du document

histoire
C'était vers la fin du mois de mai, un samedi, lors du mariage en région parisienne d'un de mes bons amis. J'avais 23 ans. Après le diner, je discutais avec un autre ami. On parlait de nos premières activités professionnelles comme jeunes ingénieurs et un des invités, d'une cinquantaine d'année, entendant notre conversation, s'approche et s'intéresse à nous. Et j'apprends que lui et moi travaillons dans le même secteur d'activité, mais dans 2 sociétés différentes. Mon ami est appelé par une copine qui veut danser avec lui, et je continue à discuter avec ce monsieur fort sympathique. Sa femme nous rejoint. Elle était partie rechercher quelque chose au vestiaire et dit au bout d'un moment à son mari qu'elle préférerait danser, plutôt que d'assister à une discussion sérieuse sur le travail. Son mari lui dit : - J'ai envie de prendre un peu l'air dans le jardin, pourquoi n'invites tu pas ce jeune homme. Ce que je m'empresse d'accepter, devant le regard pénétrant de cette femme. Blonde, assez grande, environ 1m70, je lui donnais 40ans. Une robe élégante mettait en valeur les courbes d'un corps bien dessiné, laissant entrevoir un décolleté assez discret, mais malgré tout très évocateur. Un ou deux rocks endiablés, suffisent pour rapidement sentir que nous sommes bien en rythme, anticipant bien le mouvement de l'autre. Elle me fixait du regard. Ses yeux bleus avaient quelque chose de fascinant pour moi, impressionné sans doute par cette femme en pleine maturité, pensant que je n'étais pour elle qu'un gamin. Fin du deuxième rock et je m'attends à ce qu'elle veuille se reposer et rejoindre son mari, lorsque la musique enchaine sur un slow « Night in white satin «  célèbre slow des Moody Blues. Au lieu de partir, comme je le pensais, elle se serre contre moi et continue à vouloir danser. Dans le bruit du rock précédent nous n'avions pu parler, mais là notre conversation peut s'engager. Son mari et elle sont des amis de la famille de la mariée, lui s'appelle Jean et elle Laurence. Ils habitent en Normandie à coté d'Évreux. Ils n'ont pas d'enfants. Je lui dis que je m'appelle Alain et que suis un ami de classe du marié. Elle en déduit que je dois avoir 23 ou 24 ans, ce que je lui confirme. Elle me dit qu'elle aime danser, mais que son mari, cela ne l'intéresse pas, qu'il est trop absorbé par son travail. Au fur et à mesure de la conversation elle se serre de plus en plus contre moi, son regard se fait plus pénétrant, son visage est tout près, presque à toucher le mien. Elle a les lèvres très légèrement entrouvertes et laisse deviner le bout de sa langue qui les effleure. Son parfum est enivrant et je me risque à lui dire que j'aime beaucoup ce parfum et que je la trouve très élégante dans sa robe. Ce compliment me vaut un merci ponctué d'un sourire très enjôleur, tout en se cambrant légèrement en arrière pour m'offrir un peu plus son décolleté, et en plaquant davantage son ventre contre mon bassin, sentant sans aucun doute un renflement naissant dans mon pantalon. Ma main droite, qui la tenait au niveau des omoplates descend doucement jusqu'au niveau de ses reins en esquissant une caresse à travers sa robe légère, qui me laisse deviner des courbes exquises. A cela elle répond par une légère ondulation du corps, accompagnée d'un très léger soupir. Cela fait deux ou trois slows que nous dansons et la musique reprend sur un rythme plus endiablé. Elle me propose alors, plutôt que de continuer à danser, de faire un tour dans le jardin pour prendre l'air, et m'entraine par la main. On se croirait déjà en été; il est minuit passé et il fait délicieusement bon. Ce n'est pas encore la pleine lune, mais le ciel est limpide et la nuit constellée d'étoiles. Le jardin est bien dessiné, assez grand. C'est plutôt un petit parc avec plusieurs allées qui serpentent entre de grands arbres pour arriver à un petit bassin dégagé. On croise quelques personnes, des couples qui profitent de la douceur de la nuit pour marcher un peu, loin du bruit et de la chaleur de la piste de danse. Nous arrivons au bout du jardin, près du bassin. Tout est calme, nous sommes seuls. Nous nous tenions par la main pendant toute cette promenade et arrivé au bassin, elle lève la tête, en regardant vers le ciel et me demande : - Vous connaissez les étoiles ? Où est l'étoile polaire qui paraît il indique le nord, me dit elle ?Par chance mon grand père, m'avait intéressé très jeune au ciel et aux étoiles, aussi je n'eus aucun mal à lui indiquer comment reconnaître l'étoile polaire. Elle n'était pas sure de bien l'identifier, aussi, je me mis derrière elle, lui pris le bras droit, le mien le long du sien en pointant sur les étoiles de la grande ourse et enfin sur l'étoile polaire. Dans ce mouvement elle s'appuyait sur moi, penchée en arrière, plaquant son corps contre le mien. Mon visage était en parti baigné par ses cheveux, légèrement au dessus de sa nuque et je respirais tout son parfum. Ma joue touchait son oreille, et pour éviter de tomber en arrière j'avais mis ma main gauche juste posée au niveau de son estomac. Pendant que mon bras droit guidait le sien pour pointer sur les différentes étoiles, elle prit progressivement ma main gauche avec la sienne, pour la faire remonter lentement sur sa poitrine et glisser doucement sur son décolleté. Elle me dit dans un murmure sensuel : - Tes mains sont douces, caresses moi doucement. Elle était passée du vouvoiement au tutoiement. Devant un tel appel je ne pus résister, et avec mes deux mains je lui caressais doucement les seins, et lui donnais un baiser dans le cou et derrière l'oreille, ce qui lui arracha un petit cri de plaisir. Ce moment délicieux fut vite interrompu, car d'autres promeneurs arrivaient près du bassin et nous décidâmes de revenir vers le bâtiment d'où venait la musique. En chemin, je m'excusais pour ces gestes indélicats, mais elle me dit au contraire que c'était elle qui les avaient provoqués, par ce que je lui plaisais, qu'elle trouvait que j'avais une silhouette à la fois élégante et sportive. Pour rejoindre la piste de danse nous traversâmes un salon, et nous ne nous tenions plus par la main par discrétion. Dans le salon, son mari était là assis dans un grand fauteuil en train de discuter avec un autre monsieur. Nous voyant, il demanda à sa femme où elle était passée, ne la voyant plus sur la piste de danse. Elle lui répondit : - Alain m'a gentiment fait dansé et comme il faisait trop chaud on est allé prendre le frais dans le jardin, pensant t'y trouver. Alain, m'a même appris à reconnaître l'étoile polaire. Il connait beaucoup de choses sur les étoiles. - Ecoute Laurence, il est tard lui dit Jean, il faut songer à rentrer, nous avons pas mal de route à faire. Là dessus Laurence lui dit : - Je voudrais danser encore une fois avec Alain, puisque toi tu n'aimes pas danser. - Bon d'accord lui dit Jean, je vous attends au salon, mais après on rentre. Et nous voilà reparti pour danser. Par chance c'est un slow et nous pouvons parler. Elle se plaque contre moi. Elle me dit : - Cela te dirait de venir un weekend en Normandie ? On a une grande maison avec une piscine, (je lui avais dit, pendant que nous marchions dans le jardin, que je faisais de la natation comme sport). Un peu surpris par la proposition, je lui dis : - Oui, mais ton mari va en penser quoi ? Elle me dit : - Pas de problème, tu pourras discuter boulot avec lui, je me charge de le convaincre. Nous voilà de retour au salon comme convenu, et Laurence dit à Jean son mari : - Chéri que dirais tu d'inviter Alain un weekend chez nous, vous pourriez tous les deux poursuivre votre conversation ?Jean répondit, à ma grande surprise : - Oui c'est une bonne idée. Vous avez une voiture ?- Non, pas encore. - Dans ce cas, le plus simple, c'est de prendre le train et on va vous chercher à la gare d'Évreux. De Paris c'est très rapide. Je remercie par avance et laisse mon numéro de téléphone sur un papier que je tends, et que Laurence prend. Elle me dit : - On vous appellera. On se sert la main, ils partent pour rejoindre le parking et leur voiture et Laurence se retournant m'envoie un baiser, sans que Jean la voit faire. Je reste sans voix et lui fait un petit signe de la main, n'osant pas répondre par un baiser. Je retourne vers la piste de danse. Il y a bien des jeunes filles seules assises attendant qu'un cavalier les invite, mais je suis encore tout troublé par Laurence. J'ai soudain envie de rentrer, et profite de la voiture d'un couple d'amis qui retournent sur Paris et me déposent chez moi. Il est bientôt 3h du matin et je me mets au lit en faisant un rêve fou, imaginant Laurence dans mon studio à côté de moi. Dix jours après, un mardi en début de soirée, le téléphone sonne et je reconnais la voix de Laurence. Elle me dit avoir passé une soirée très agréable à ce mariage et me lance une invitation à venir pour le weekend suivant chez eux. Je n'y croyais plus vraiment, et je bredouille quelque chose comme : C'est très gentil, mais je ne voudrai pas vous importuner. J'entends un homme qui parle dans la pièce à côté d'elle, ce doit être son mari Jean. Elle me dit que son mari aimerait continuer la conversation avec moi, et j'entends Jean dire : - Oui, oui c'est très bien si le jeune Alain vient ce weekend, nous pourrons discuter calmement. Je dis que je vais regarder les horaires de train partant le samedi et que je leur confirmerai mon heure d'arrivée, mais que ce sera dans l'après midi, car j'ai quelque chose à faire absolument samedi matin. - Ok je vous appelle demain et vous me direz quoi. Et elle raccroche. Renseignements pris, j'opte pour un train arrivant le samedi vers 15h à Évreux, avec un retour dimanche dans la matinée, car je dois finir un dossier pour lundi matin. Le lendemain, comme convenu elle me rappelle, et par chance je suis rentré du bureau vers 18h, un peu plus tôt que d'habitude. Son mari Jean ne doit pas être rentré, car elle me tutoies directement. Elle me dit : - Alors tu a pris ton billet de train ? - Oui, j'arrive à 15h. - Parfait, je viendrai te chercher à la gare, c'est à 10 minutes de la maison. Penses à emporter ton maillot de bain, l'eau de la piscine est à bonne température et ce weekend il doit faire très beau. Ah je ne t'ai pas dit, je regarde chaque soir la grande ourse et l'étoile polaire et j'en ai mis plein la vue à Jean, impressionné par mes nouvelles connaissances en astronomie. Et en disant cela je repense à ce moment où tu me montrais les étoiles le jour du mariage. Je n'ai pas le temps de lui dire que moi aussi j'y repense sans cesse, qu'elle me dit à Samedi, et elle raccroche. Surpris par cette conversation si vite abrégée, alors qu'elle avait repris le tutoiement, je pense soudain que je me suis totalement trompé sur elle. Néanmoins je prends le train et arrivé à Évreux comme convenu, je trouve Laurence qui m'attend à la sortie de la gare. Son joli sourire et son regard pénétrant me remettent tout de suite en mémoire notre soirée du mariage. Pas de geste déplacé, une simple poignée de main pour se dire bonjour, et pour cause elle me dit que elle et son mari connaissent beaucoup de gens sur Évreux, et qu'il faut toujours faire attention au qu'en-dira-t-on. A peine le temps de se dire comment s'est passé ma semaine et le voyage, nous voilà arrivés dans leur superbe maison un peu à l'écart de la ville, au milieu des arbres et assez loin des plus proches voisins. Le portail se referme automatiquement et, en se dirigeant vers la porte d'entrée, je devine une grande piscine toute bleue derrière la maison. - Jean nous voilà, Alain est bien arrivé. Je salue le maître de maison et le félicite pour cette belle demeure. Fort de ce compliment, il m'invite à poser mon bagage dans l'entrée et m'emmène faire le tour du propriétaire. C'est avec un de ses amis architecte qu'il a conçu les plans de la maison, et en effet outre le superbe dégagement depuis le séjour avec vue sur la piscine, il y a quelques idées astucieuses d'utilisation fonctionnelle des volumes. Bien qu'ils n'aient pas d'enfants la maison compte 4 chambres très spacieuses et 2 salles de bains toutes à l'étage. Nous redescendons et comme il fait vraiment chaud, il appelle Laurence : - Laurence, Alain a peut être soif ou a peut être envie de profiter de la piscine. Montres lui sa chambre. Je descends en ville, il faut que je vois impérativement le notaire pour qu'il règle notre affaire avant mon retour la semaine prochaine. J'en ai pour 2 heures maximum. Se tournant vers moi, il me dit : - Nous aurons le temps de discuter avant et pendant le diner. A tout à l'heure. Et il part. Laurence arrive et me dit : - Jean doit partir demain matin dimanche, de bonne heure pour prendre son avion à Roissy, car il a rendez vous à New York lundi matin. On l'a prévenu il y a 2 jours seulement, alors qu'il avait prévu d'être en France la semaine prochaine et donc de passer tout le weekend un peu au calme. Sur ce je prends mon petit bagage et la suis à l'étage où elle me montre ma chambre. Elle me suggère de me changer, de me mettre en maillot de bain et de venir profiter de la piscine, se souvenant que je lui avais dit que je pratiquais la natation comme sport. Pas besoin de me faire prier, en quelques minutes me voilà redescendu, en maillot de bain, arrivant au bord de la piscine. Superbe, elle fait entre 10 et 15m de long sur 5 m de large. Je me penche pour tâter la température de l'eau. Elle est chaude, idéale. Arrive derrière moi Laurence me lançant : - Alors Alain je croyais qu'on n'avait pas peur de l'eau ?Surpris, je me retourne et découvre Laurence, déjà un peu bronzée, dans un maillot 2 pièces, le haut moulant des seins superbes laissant deviner ses tétons, et le bas mettant en valeur ses fesses fermes, musclées et les couvrant un peu plus qu'un string le ferait aujourd'hui. Ventre plat, le dos légèrement cambré, une allure de vestale à se pâmer. Je ne peux m'empêcher de la déshabiller du regard, ce dont elle se rend évidemment compte. Pour cacher ma surprise je plonge dans l'eau et fais quelques longueurs en crawl, ma nage de prédilection. Agréable sensation des muscles qui se détendent dans l'eau aussi chaude. Je m'arrête au bord, là où c'est le moins profond et prend pied. Je l'entends dire alors avec un sourire coquin : - Pas mal le jeune athlèteJe lui reproche de se moquer de moi. Elle s'approche du bord où je suis, se penche vers moi, et tout en me tendant la main, me dit : - Oui, mais le bel athlète va attraper des coups de soleil. Viens que je lui mette de l'écran solaire. Je fais semblant de me faire tirer hors de l'eau, elle prend une grande serviette avec laquelle elle commence à m'essuyer. - Viens, allonges toi sur ce matelas. Je me couche sur le ventre, je sens des gouttes d'huile solaire couler sur mon dos et ses mains commencent à parcourir tout mon corps en faisant comme un massage doux et...
histoire

« - Tes mains sont douces, caresses moi doucement.

Elle était passée du vouvoiement au tutoiement.

Devant un tel appel je ne pus résister, et avec mes deux mains je lui caressais doucement les seins, et lui donnais un baiser dans le cou et derrière l'oreille, ce qui lui arracha un petit cri de plaisir.

Ce moment délicieux fut vite interrompu, car d'autres promeneurs arrivaient près du bassin et nous décidâmes de revenir vers le bâtiment d'où venait la musique.

En chemin, je m'excusais pour ces gestes indélicats, mais elle me dit au contraire que c'était elle qui les avaient provoqués, par ce que je lui plaisais, qu'elle trouvait que j'avais une silhouette à la fois élégante et sportive.

Pour rejoindre la piste de danse nous traversâmes un salon, et nous ne nous tenions plus par la main par discrétion.

Dans le salon, son mari était là assis dans un grand fauteuil en train de discuter avec un autre monsieur.

Nous voyant, il demanda à sa femme où elle était passée, ne la voyant plus sur la piste de danse.

Elle lui répondit : - Alain m'a gentiment fait dansé et comme il faisait trop chaud on est allé prendre le frais dans le jardin, pensant t'y trouver.

Alain, m'a même appris à reconnaître l'étoile polaire.

Il connait beaucoup de choses sur les étoiles.

- Ecoute Laurence, il est tard lui dit Jean, il faut songer à rentrer, nous avons pas mal de route à faire.

Là dessus Laurence lui dit : - Je voudrais danser encore une fois avec Alain, puisque toi tu n'aimes pas danser.

- Bon d'accord lui dit Jean, je vous attends au salon, mais après on rentre.

Et nous voilà reparti pour danser.

Par chance c'est un slow et nous pouvons parler.

Elle se plaque contre moi.

Elle me dit : - Cela te dirait de venir un weekend en Normandie ? On a une grande maison avec une piscine, (je lui avais dit, pendant que nous marchions dans le jardin, que je faisais de la natation comme sport).

Un peu surpris par la proposition, je lui dis : - Oui, mais ton mari va en penser quoi ? Elle me dit : - Pas de problème, tu pourras discuter boulot avec lui, je me charge de le convaincre.

Nous voilà de retour au salon comme convenu, et Laurence dit à Jean son mari : - Chéri que dirais tu d'inviter Alain un weekend chez nous, vous pourriez tous les deux poursuivre votre conversation ? Jean répondit, à ma grande surprise : - Oui c'est une bonne idée.

Vous avez une voiture ? - Non, pas encore.

- Dans ce cas, le plus simple, c'est de prendre le train et on va vous chercher à la gare d'Évreux.

De Paris c'est très rapide.

Je remercie par avance et laisse mon numéro de téléphone sur un papier que je tends, et que Laurence prend.

Elle me dit : - On vous appellera.

On se sert la main, ils partent pour rejoindre le parking et leur voiture et Laurence se retournant m'envoie un baiser, sans que Jean la voit faire.

Je reste sans voix et lui fait un petit signe de la main, n'osant pas répondre par un baiser.

Je retourne vers la piste de danse.

Il y a bien des jeunes filles seules assises attendant qu'un cavalier les invite, mais je suis encore tout troublé par Laurence.

J'ai soudain envie de rentrer, et profite de la voiture d'un couple d'amis qui retournent sur Paris et me déposent chez moi.

Il est bientôt 3h du matin et je me mets au lit en faisant un rêve fou, imaginant Laurence dans mon studio à côté de moi.

Dix jours après, un mardi en début de soirée, le téléphone sonne et je reconnais la voix de Laurence.

Elle me dit avoir passé une. »

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