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Citations diverses

Publié le 09/01/2013

Extrait du document

Quand t'es jeune, t'es idiot. T'es naïf, t'es borné, t'as des rêves bien trop beaux, bien trop grands. Tu penses que tu garderas tes amis avec toi pour toujours, tu penses que ce type-là va partager ta vie et te faire de beaux enfants. Tu penses que grâce à ton salaire exorbitant tu vas pouvoir t'évader, visiter des lieux paradisiaques et rencontrer des gens hors du commun. Tu t'imagines déjà dans ta maison de vacances, près de la mer, sans soucis, nageant dans le bonheur. Quand t'es jeune, t'es con. T'imagines pas que les gens partent, qu'ils changent, s'éloignent et oublient. Tu ne penses pas non plus que l'amour meurt facilement et peut parfois même se transformer en haine. Non, toi tu crois qu'il suffit d'avoir des rêves pleins la tête et un idéal de vie tout construit pour réussir. Mais c'est parce que t'es jeune, et il y a un tas de choses que tu ne sais pas. Tu ne sais pas que pour avancer il faut de l'ambition et du courage. Tu ne sais pas que la vie peut être monotone, cruelle et douloureuse. Tu n'imagines même pas pouvoir connaître la misère, le manque et la solitude. Quand t'es jeune, tu prétends avoir tout vécu, tu crois tout connaître sur le bout des doigts. Mais c'est faux, tu te rendras vite compte que quand t'es jeune, en fait, tu n'es pas grand chose. Tu te souviens de cette promesse que tu m'avais faite ? Je suppose que non. Alors je vais te rafraîchir la mémoire. Tu sais, c'était un soir de janvier ou de février, où il faisait froid. J'avais passé une sale journée, et je ne voulais parler à personne. Excepté à toi. J'étais heureuse de te retrouver. Tu étais le seul capable de réchauffer mon coeur dans cet hiver glacial. J'étais énervée. Tu étais calme. Et je crois bien qu'à ce moment là, tu as été le seul à pouvoir m'apaiser. C'était ce don en particulier, que tu avais en toi qui m'a toujours surprise. La douceur de tes mots, de ton sourire, c'était tout ce qu'il me fallait pour me faire oublier cette dure journée. Et puis j'me suis lancée. Je t'ai demandé de me faire une promesse. Tu te souviens ? Non toujours pas ? Je t'ai demandé : "Promets moi de ne jamais m'abandonné, s'il te plaît." . Et tu m'as répondu un simple "Pourquoi ?". C'est vrai que j'étais surprise que tu ne devines pas la réponse par toi même. Alors je t'ai dis : "Parce que je ne veux plus me retrouver seule. Je ne veux plus me retrouver sans toi. Même toi tu as peur de la solitude, du silence, lourd et pesant. Parce que je tiens tellement à toi. Et que tu es la seule personne au monde a avoir réussis à transpercer tout mon être, toute mon âme. Tu n'as pas le droit de me laisser comme ça, sans défense. Non tu n'as pas le droit, tu dois rester avec moi. Tu sais, si tu pars, je ne sais pas comment je réagirai, ou ce que je ferais. Je ne sais pas non plus ce que je deviendrai. Alors ne me laisse pas, ne me laisse jamais." . Tu es resté aussi froid que la glace. Mais je suis sûre, ou du moins je l'espère, qu'à l'intérieur de toi, tu as voulu me sourire. J'en suis pratiquement persuadée. Et tu m'as fais la promesse. La promesse de ne jamais m'abandonner, de toujours rester avec moi, pour le meilleur comme pour le pire, de ne jamais m'oublier. Je te ressentais tellement sincère. Ton parfum accompagnait tes mots. J'avais l'impression d'être hypnotisé. "Je ne t'abandonnerai jamais". Alors c'est bon, tu t'en souviens ? Et maintenant, je suis seule. Si tu savais à quel point cette putain de solitude me tue. J'en peux plus, c'est insupportable. Le temps devient long. Les jours deviennent encore plus froids que les précédents. Le soleil se cache derrière des nuages noirs, pour laisser place à la pluie et au vent. Tu sais ce que ça signifie. Avant que tu partes, j'aurais aimé te serrer dans mes bras une dernière fois. Juste une, pour sentir ton coeur battre, sentir à quel point tu as été sincère, ou non, avec moi. Ressentir une dernière fois le mélange si spécial de la chaleur de ton corps, avec la froideur de ton esprit. J'aurais aimé, oui. Juste une dernière fois... Lollipops turn into cigarettes. The innocent ones turn into sluts. Homework goes in the trash. Detention becomes suspension. Mobile phones are used in class. Soda becomes vodka. Bikes become cars. Kisses turn into sex. Remember when getting high meant swinging at the playground ? When protection meant wearing a helmet ? When the worst things you could get from boys were cookies ? Dad's shoulders were the highest place on earth, and your mom ran the fastest. The only drug you knew of was cough medicine. The most pain you felt was when you scraped your knees. Goodbyes were only until tomorrow. We couldn't even wait to grow up... If you want to know what the after-life feels life, then put a parachute, go up to plane, shoot a good amount of heroin into your veins, and immediately follow that with a hit of nitrous oxide, then jump. Or, set yourself on fire. Le présent s'est envolé. Les fantasmes font partie de la réalité et on enlève les freins. On pense clairement et pourtant, on ne pense pas. Et cela nous semble bien. On arrête d'essayer de tout maîtriser. Des flots tièdes de substances chimiques en nous. On fluctue. Est-ce l'effet de lésions cérébrales ? On oublie les chagrins, les blessures de la vie. On veut s'envoler ailleurs. On ne se sent plus menacés par les autres. Toutes nos inquiétudes se sont évaporées. On est dans les nuages à présent, on est grands ouverts. On est des spationautes en orbite autour de la Terre. Ouais, tout le monde a l'air... A l'air superbe, d'ici. On est ivres d'émotions, on désire l'inatteignable. On met notre santé mentale en péril pour quelques instants de clairvoyance. Tant d'idées, si peu de mémoire. La dernière pensée est tuée par anticipation de la prochaine. On est saisis par un irrésistible sentiment d'amour. On flotte à l'unisson. On est ensemble. J'aimerais que ce soit vrai. On veut un niveau universel d'harmonie, où on se sentira à l'aise avec tout le monde. On est en rythme, éléments d'un mouvement. Un mouvement d'évasion. On fait au revoir de la main. En fin de compte, on veut juste être heureux. « Les drogues vous invitent dans un état euphorique, donnent une vision d'un monde pacifique. Elles rassemblent des personnes de tous genres de différents milieux. Vous n'obtiendrez jamais ce sentiment de paix dans aucun autre genre de culture. Bien que l'utilisation de drogues soit artificielle, ce qui est évident est que tout le monde veut se sentir comme cela naturellement, se sentir confortable avec chacun, pouvoir aborder toute personne sans aucune crainte animée par un sentiment de paix. « Tout c'qui monte, doit redescendre. De plus en plus bas. Tout l'monde a l'air mal en fin de soirée, personne n'arrive plus à parler. On évite de se regarder. L'âme soeur à qui tu racontais des conneries depuis 5h sur l'histoire de la création ou le 4ème épisode de Star Wars est devenu un inconnu, impossible de l'regarder dans les yeux. On a plus qu'une seule chose en commun : la paranoïa. Elle suinte par tous les murs. Les enfants de l'extasie ne sont plus en sûreté, finie l'impression de n'faire qu'un. On est des malades mentaux distincts, brûlant de quitter cette atmosphère empoisonnée pour retrouver un lit chaud et un thérapeute sympa. La réalité est en marche. Où suis-je ? Qu'ai-je fais ? Est-ce que ça valait le coup ? Et à propos, que c'est il passé ici ? Tu n'as plus qu'à espérer sombrer dans l'inconscience, car tu n'pourras pas dormir. "Je ne me contente pas de fumer. Quand je n'ai pas de dope, je bois du vin, ou de la bière. Je m'y mets dès la sortie de l'école, ou même le matin les jours où je sèche la classe. J'ai besoin d'être tout le temps un peu parti, un peu dans les vapes. Et j'en ai envie, pour échapper à toute cette merde, merde à l'école et merde à la maison. L'école de toute façon, je suis arrivée à m'en fiche complètement. Ma moyenne, bien sûr, dégringole à toute vitesse." Christiane F. "Un toxico en manque, c'est tellement annihilé que ça n'ose même pas vous contredire. Il m'est arrivé d'assouvir sur eux mes appétits de puissance. Quand on sait s'y prendre on peut les démolir complètement. Il suffit de taper au bon endroit, de retourner patiemment le fer dans la plaie, et ils s'écroulent. Quand on est en manque, on est assez lucide pour se rendre compte qu'on est une loque. La façade cool s'est écroulée, on ne se juge plus au-dessus de tout et de tous." Christiane F. Hier je me croyais la personne la plus heureuse de la terre, de toute la galaxie, de toute la création. Etait-ce seulement hier ou bien à des millions d'années-lumière ? Je pensais que l'herbe n'avait jamais eu d'odeur aussi verte, que le ciel n'avait jamais été aussi haut ... La leçon du papillon : Un homme qui se promenait vit un cocon. Il s'arrêta de longues heures à observer le papillon qui s'efforçait de sortir par un petit trou dans le cocon. Après un long moment, le papillon semblait avoir abandonné, et on aurait dit qu'il avait fait tout ce qu'il pouvait pour sortir de ce trou, sans succès. Alors, l'homme décida d'aider le papillon : il prit un canif et ouvrit le cocon. Le papillon sortit aussitôt mais son corps était maigre et engourdit, ses ailes étaient peu développées et bougeaient à peine. L'homme continua à l'observer, pensant que d'un moment à l'autre, les ailes du papillon s'ouvriraient et seraient capables de supporter le corps du papillon pour qu'il puisse prendre son envol. Il n'en fut rien ! Et le pauvre papillon passa le reste de son existence à se traîner par terre avec son maigre corps et ses ailes rabougries. Jamais il ne put voler. Ce que l'homme, avec son geste de gentillesse et son intention d'aider, ne comprenait pas, c'est que le passage par le trou étroit du cocon était l'effort nécessaire pour que le papillon puisse transmettre le liquide de son corps à ses ailes de manière à pouvoir voler. C'était le moule à travers lequel il devait passer pour grandir et se développer. Parfois, l'effort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie. Si nous pouvions vivre notre vie sans rencontrer d'obstacles, nous serions limités. Nous ne pourrions pas être aussi forts que nous le sommes. Nous ne pourrions jamais voler... J'ai demandé la force... On m'a donné les difficultés pour me rendre fort. J'ai demandé la sagesse... On m'a donné des problèmes à résoudre. J'ai demandé la prospérité... On m'a donné un cerveau et des muscles pour travailler. J'ai demandé de pouvoir voler... On m'a donné des obstacles à surmonter. J'ai demandé des faveurs... On m'a donné des potentialités. Je n'ai rien reçu de ce que j'ai demandé... Mais j'ai reçu tout ce dont j'avais besoin. Vis ta vie sans peur, affronte tous les obstacles et démontre que tu peux les surmonter ! Ne me fais pas souffrir, ne me fais pas pleurer. Parfois l'amour ne suffit pas, le chemin est parsemé d'embûches. Je ne saurais dire pourquoi, continue de me faire rire on n'a qu'à se défoncer... La route est longue, on la poursuit, En essayant de s'éclater en attendant, suis-moi, sortons du droit chemin. Je te ferais un long baiser inondé de pluie. Choisis tes derniers mots, ce sont nos derniers instants. Car toi et moi, on est né pour mourir L'être humain a était qualifié en tant qu'animal. Nous sommes des animaux, plus spéciaux les uns que les autres, ils ont créés des religions, des langues étrangères, pour qu'on ne puisse pas se comprendre entre nous. Il y a eu une guerre, deux guerres, des civiles, des mondiales, mais ça ne s'arrête pas là, on a été créé pour se battre, pour tuer, une fois de plus pour les mêmes raisons. Je suis un animal, pourtant, je ne grogne pas, je ne mords pas. J'ai ma conscience tranquille, ou presque. J'ai fais des erreurs moi aussi, qui n'a jamais fait d'erreurs, a s'en mordre les doigts? Parfois, je me demande si je suis réel, si ce qui se passe autour de moi n'est pas qu'une mise en scène de mon cerveau, des illusions... Je suis encore une enfant. Une enfant horrifiée de l'évolution mondiale, qui tourne au drame. La politique, tout ça, dis moi a quoi ça sert? Il y a des lois certes, alors pourquoi viennent-t-ils nous parler de liberté? De mon point de vue, la liberté, ce n'est qu'un joli mot. Nous ne sommes libres que dans nous même, au plus profond de nous elle est la, la vraie liberté. Des millions d'êtres humains meurt chaque années, de différentes circonstances, nous sommes nés pour mourir, et parfois, le matin, je me dis, un jour de moins pour moi au paradis, et un de plus dans cet enfer. Oui je crois au paradis, je vous dirais bien que je suis naïve, oui je suis naïve, mais j'ai besoin de croire qu'ailleurs y'a un endroit, ou enfin on nous fiche la paix. Moi, je suis juste une petite fille qui se cherche encore, j'ai du mal à me dire que je suis dans le dernier passage avant de devenir une adulte. Enfin, ce n'est qu'une forme, qu'un mot. J'aimerais trouver, une échappatoire, ce n'est même pas que j'aimerais, c'est que j'en ai surtout besoin. J'ai rien demandé a personne, mais c'est comme ça, c'est la vie j'ai envie de dire, on te fout dans un chemin, toi tu t'arranges pour marcher droit, et tu te tais, même si t'es pas content du d&...

« playground ? When protection meant wearing a helmet ? When the worst things you could get from boys were cookies ? Dad's shoulders were the highest place on earth, and your mom ran the fastest.

The only drug you knew of was cough medicine.

The most pain you felt was when you scraped your knees.

Goodbyes were only until tomorrow.

We couldn't even wait to grow up... If you want to know what the after-life feels life, then put a parachute, go up to plane, shoot a good amount of heroin into your veins, and immediately follow that with a hit of nitrous oxide, then jump.

Or, set yourself on fire. Le présent s'est envolé.

Les fantasmes font partie de la réalité et on enlève les freins.

On pense clairement et pourtant, on ne pense pas.

Et cela nous semble bien.

On arrête d'essayer de tout maîtriser.

Des flots tièdes de substances chimiques en nous.

On fluctue.

Est-ce l'effet de lésions cérébrales ? On oublie les chagrins, les blessures de la vie.

On veut s'envoler ailleurs.

On ne se sent plus menacés par les autres.

Toutes nos inquiétudes se sont évaporées.

On est dans les nuages à présent, on est grands ouverts.

On est des spationautes en orbite autour de la Terre.

Ouais, tout le monde a l'air...

A l'air superbe, d'ici.

On est ivres d'émotions, on désire l'inatteignable.

On met notre santé mentale en péril pour quelques instants de clairvoyance.

Tant d'idées, si peu de mémoire.

La dernière pensée est tuée par anticipation de la prochaine.

On est saisis par un irrésistible sentiment d'amour.

On flotte à l'unisson.

On est ensemble.

J'aimerais que ce soit vrai.

On veut un niveau universel d'harmonie, où on se sentira à l'aise avec tout le monde.

On est en rythme, éléments d'un mouvement.

Un mouvement d'évasion.

On fait au revoir de la main.

En fin de compte, on veut juste être heureux. « Les drogues vous invitent dans un état euphorique, donnent une vision d'un monde pacifique.

Elles rassemblent des personnes de tous genres de différents milieux.

Vous n'obtiendrez jamais ce sentiment de paix dans aucun autre genre de culture.

Bien que l'utilisation de drogues soit artificielle, ce qui est évident est que tout le monde veut se sentir comme cela naturellement, se sentir confortable avec chacun, pouvoir aborder toute personne sans aucune crainte animée par un sentiment de paix.

» Tout c’qui monte, doit redescendre.

De plus en plus bas.

Tout l’monde a l’air mal en fin de soirée, personne n’arrive plus à parler.

On évite de se regarder.

L’âme sœur à qui tu racontais des conneries depuis 5h sur l’histoire de la création ou le 4ème épisode de Star Wars est devenu un inconnu, impossible de l’regarder dans les yeux.

On a plus qu’une seule chose en. »

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