« J'ai reconnu le bonheur au bruit qu'il a fait en claquant la porte » Claude Serre
Publié le 13/08/2012
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En second lieu, pensons au départ d'un proche. C'est généralement à ce moment-là qu'on remarque que la personne nous manque, qu'un vide se creuse parce qu'on ne la verra plus aussi souvent qu'on le voudrait. Plus on en était proche, plus les événements vécus avec cette personne sembleront avoir été bénéfiques sur notre moral. Puis, parlons du bonheur que nous éprouvons après avoir fait quelque chose pour la première fois : premier jour d'école, premier baiser, premier diplôme, etc. C'est dans des instants de nostalgie qu'on remarque réellement plus tard à quel point on était content de nous-même. Enfin, repensons avec un brin de mélancolie à notre jeunesse ou notre enfance, sur le moment on ne s'en rend pas compte, mais avec le recul nécessaire il est facile de remarquer à quel point nous étions heureux.
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- 1909 La Porte étroite o Gide 1909 Provinciales o Giraudoux 1909 La Bataille o Claude
- Il y a deux espèces d'hommes, ceux qui s'habituent au bruit et ceux qui essaient de faire taire les autres. Propos sur le bonheur (1928) Alain, Emile-Auguste Chartier, dit. Commentez cette citation.
- Hélas, la porte du bonheur ne s'ouvre pas vers l'intérieur, et il ne sert donc à rien de s'élancer contre elle pour la forcer. Elle s'ouvre vers l'extérieur. Il n'y a rien à faire. Ou bien... Ou bien... (1843) Kierkegaard, Søren Aabye. Commentez cette citation.
- AU BONHEUR DES DAMES