Suivre ou guider
Publié le 14/01/2013
Extrait du document
«
Toutefois, il y a aussi de mauvais coté d’être meneur.
Dans les relations
socioprofessionnelles, le leader est un chef.
Mais si certains chefs peuvent être appréciés,
voire adulés, d'autres sont en revanche antipathiques et on préférera ne pas les qualifier de
leader, mais de chef.
Dans beaucoup de textes, il se peut que l'on trouve même le terme de « challenger ».
En effet,
le leader est un chef d'équipe qui a des objectifs à atteindre et des « challenges » à réaliser.
Le leadership est la capacité à entraîner les autres, à les mettre en mouvement, à les motiver.
Le leadership peut être potentiellement exercé par toute personne, quelle que soit sa position
hiérarchique.
En conclusion, j’ai abordé les bons et les mauvais cotés des suiveurs et des meneurs.
Grâce à ces arguments, j’ai pu constater que la citation de Montaigne n’est pas tout à fait
correcte étant donner qu’il y a des cotés négatifs et positifs pour « être un suiveur ou un
meneur ».
Je pense que c’est dur de suivre et de guider, aucun des deux n’est la meilleure
solution.
Quand on suit, on doit se taire et faire tout ce que le meneur vaut sans opposition
mais quand on est meneur on a toutes les décisions et responsabilités sur le dos..
»
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