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Vivre comme un nabab

Publié le 23/09/2013

Extrait du document

Comme de nombreux jeunes Bretons nés sur la côte,

s'embarquer semblait être le meilleur moyen de satisfaire

le goOt de l'aventure. Après avoir trouvé un embarquement

sur un navire négrier, le jeune Madec, Quimpérois

né en 1736, connut les dangers et l'exaltation de

l'équipage confronté aux vents et aux tempêtes. Les

Indes, par leur éloignement et l'exotisme qui s'attache

aux pays différents du nôtre, suscitaient un attrait irrésistible

auquel succombèrent grand nombre de Bretons

de l'époque.

« René Madec, nabab breton Comme de nombreux jeunes Bretons nés sur la côte, s'embarquer semblait être le meilleur moyen de satisfai­ re le goOt de l'aventure.

Après avoir trouvé un embar­ quement sur un navire négrier, le jeune Madec, Quim­ pérois né en 1736, connut les dangers et l'exaltation de l'équipage confronté aux vents et aux tempêtes.

Les Indes, par leur éloignement et l'exotisme qui s'attache aux pays différents du nôtre, suscitaient un attrait irré­ sistible auquel succombèrent grand nombre de Bretons de l'époque.

Le prestige de la Compagnie des Indes ainsi que la promesse de gains considérables, mêlés aux récits des marins rencontrés dans les bouges de nos ports, furent, pour René Madec, des raisons suffisantes pour s'embar­ quer vers les comptoirs français.

À Pondichéry, il rencontra Dupleix dont l'activité fé­ brile en faveur de « sa compagnie» nécessitait des hommes pour faire face aux Anglais.

Madec s'engagea dans l'artillerie mais les déboires des troupes françaises ternirent quelque peu l'image qu'il s'était faite de la vie aux Indes.

Après avoir combattu les Anglais sur terre, il se re­ trouva engagé comme marin dans le corps expédition­ naire de Lally-Tollendal en 1757.

Le matelot Madec n'appréciait pas davantage le combat sur mer et à la pre-. »

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