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analyse lineaire complete de 1859 mots concernant le bac francais: un chapeau de paille d'italie

Publié le 03/04/2023

Extrait du document

« Analyse linéaire Un chapeau de paille d’Italie Lui, Nisnardi? Le vaudeville est une comédie basée légère sur de malentendus et se base sur le quiproquo et une intrigue qui se complique.

La pièce s’entoure alors de dialogue et discussion entrecoupée de couplet empruntes a des opéras comiques.

D’ailleurs le texte soumis à notre étude est extrait de lacté III scène 11 de la pièce de théâtre un chapeau de paille d’Italie rédiger en 1851 par Eugene Labiche, dramaturge du 19 Emme siècle.

L’intrigue repose sur un effet « boule de neige » : le matin de son mariage le cheval de fa Dinard dévore le chapeau d’une femme mariée qui se promené avec son amant.

Afin de lui éviter le déshonneur il lui promet de lui en chercher.

Ce dernier est envoyé chez la baronne.

Celle-ci donnant une soirée musicale attend un chanteur qu’elle n’a jamais vu, nisnardi, quelle confond avec fadinard.

Ce dernier est alors forcer de chanter.

Dans quelle mesure la scène estelle ainsi comique ? La scène se divise en 3 mouvements : le premier mouvement s’intéresse au préparatif du faux concert.

Ensuite, le deuxième mouvement focalisera sur la vedette d’un jour.

Finalement le 3eme mouvement portera sur la noce qui semé la pagaille. Le premier mouvement s’ouvre sur un air chanté par le chœur, groupe de personne qui commente l’évènement qui se déroule sur la scène.

La phase exclamative « quel plaisir » l2 met en avant l’enthousiasme des inviter impatient de recevoir le chanteur lyrique.

Ensuite, l’hyperbole « ce fameux, ce divin » (l3) permet de décrire la popularité de Nisard ainsi que de faire son eloge.

Puis, l’allitération en [s] met en relief le statut de la voix phénoménale et ravissante du chanteur.

Ajoutons à cela que Les rime forte portrait la grandeur de Nisard de même que sa réputation.

D’ailleurs, la personnification de la voix à la ligne 5et la synecdoque « sait ravir l’oreille et le cœur » prouve le fait que Nisard charme non seulement l’organe sensoriel des invite mais et surtout affecte l’état dame et les émotions de ces derniers.

Puis, l’impératif « Veuillez prendre place » (l6) dévoile une formule de politesse et par la suite l’invitation de la part de la baronne .Ensuite, l’interrogation a la ligne 7 « ou est donc monsieur Nisnardi » corrobore la demande de la baronne des alentours du chanteur alors qu’elle la inviter à se présenter à sa soirée musicale.

Cela suggère le caractère étourdi, distrait de l’hôtesse.

De plus l’exclamation a la ligne 8 « on demande monsieur Nisnardi » illustre le rôle de Nonancourt tel le hautparleur de la baronne.

Le pronom indéfini « on » a valeur généralisant souligne que le licite est attendu par la totalité des inviter.

De même, la répétition de l’exclamative, « le voici, le voici » a la ligne 9 met en exergue l’enthousiasme du public mais et surtout le début d’un quiproquo puisque fadinard qui essaye de se retirer est pris pour Nisard. « Voici »est un présentatif qui déclenche le quiproquo.

Un véritable panurgisme met en place : c’est la maladie de la foule qui est le personnage principale de la scène.

En outre, la métaphore a la ligne 10 : « comment ? Signora, une désertion ? » Assimile le faux chanteur a un soldat cherchant à commettre la trahison en prenant la fuite. Toutefois, lorsque Fadinard est présente au public Nonancourt, son beau-père connait sa vraie identité.

Alors, le pronom personnel « lui » ainsi que l’interrogative rhétorique et les 3point de suspension : « lui, Nisnardi » l11 témoigne de l’incrédulité de Nonancourt.

« Lui » est un pronom personnel à la forme tonique.

Le beau-père est outré par cette méprise puisqu’il sait que fadinard est son futur genre.

Ajoutons à cela que c’est le titre du texte autour duquel se base tout le quiproquo. Subséquemment, la réplique de fadinard : « je ne m’en allais pas, je vous assure que je ne m’en allais pas »l12 est démarquée par les négation syntaxique a valeur absolue niant le fait que le futur mariée essaye de s’enfuir, la répétition de « je ne m’en allais pas »créant un effet d’insistance afin de convaincre Achille, l’exclamation dévoilant la montée d’anxiété et de panique chez le personnage et finalement les 3pts de suspension indiquant que fadinard ne trouve ni les mots ni le temps pour s’exprimer correctement et échapper au faux concert qu’il donnera.

Puis, l’interjection « bravo !bravo ! » l13temoigne du quiproquo puisque le spectateur applaudit et acclame un faux chanteur sans le savoir.

Le cc de manier « avec frénésie » (l13) corrobore l’exaltation des invite et leur impatience d’écouter la voix de nisnardi.

C’est alors que fadinard se prend au jeu : en témoigne la didascalie à la ligne 14 : « salut à droite et à gauche ».

En effet le comique de geste braque la lumière sur le début de la mise en abyme de fadinard.

Cela est corroborer par l’interpellation « messieurs, mesdames » (l14) stipulant le comique de situation : fadinard n’a plus autre choix que de jouer le rôle de Nisnardi qu’il endosse.

L’exclamation : « pince sur le marché pied du fiacre » « (l14) rappelle arlequin et illustre la position embarrassante de fadinard.

Ajoutons cela l’interrogative rhétorique de Nonancourt : « vous voulez que je me mette au piano » (l17) soulignant le fait que le beau-père se laisse aller.

Nonancourt exécute sans poser de question .Finalement, cette dernière donne le feu vert au faux Nisnardi de chanter à travers l’attribut du sujet « prêt », du présent d’énonciation « nous sommes » ainsi que du coi « à vous applaudir « (l20).

Alors, la scène propose un faux concert base sur un quiproquo dans lequel fadant se retrouve contraint d’être mis en abyme. C’est ainsi que le premier mouvement s’achevé pour céder la place au deuxième mouvement intitule «.... »

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