?Exposé sur les IST Introduction Une infection sexuellement

« cutanées sur le torse, les paumes ou les plantes de pied et/ou les muqueuses.

La syphilis latente est le troisième stade.

Elle peut provoquer des complications neurologiques, oculaires, des atteintes cardiovasculaires.

La maladie est cependant facilement traitable à l'aide d'une seule injection de pénicilline, mais difficile à repérer lorsque ses symptômes ne sont pas apparents.

Papillomavirus :le papillomavirus se transmet et se dissémine le plus fréquemment lors d’un contact de peau à peau ou de muqueuse à muqueuse lors d’un rapport sexuel.

Seulement le préservatif diminue mais n’annule pas le risque de contamination.

Il peut aussi se transmettre par des objets contaminés comme une serviette de toilette.

Pour lutter contre cela il faut ce faire vacciner avec un vaccin anti-HPV. Herpès : l’herpès est une maladie infectieuse due au virus Herpes Simplex (HSV).

Il en existe deux souches : HSV1, responsable surtout de l’herpès labial (ou bouton de fièvre) et HSV2, responsable de l’herpès génital.

Cette maladie fait apparaître des vésicules qui sont suivies de signes annonciateurs, les prodromes qui se traduisent par des brûlures, picotements, démangeaisons. Mycoses : communément appelées mycoses, les infections vaginales sont extrêmement fréquentes.

A l’origine des mycoses gynécologiques, on retrouve souvent le même champignon de la famille des levures : le Candida albican.

Il est capable d’affecter n’importe quelle partie de l’organisme : bouche, pharynx, œsophage, peau, intestin, mais le plus souvent le vagin.

La plupart du temps, il ne provoque pas de troubles.

L’origine de cette mycose est complexe.

Pour un tiers des femmes, la contamination est externe, par contact sexuel ou avec un objet infecté.

Mais pour les deux tiers restants, elle est spontanée et résulte d’une modification de l’équilibre naturel.

Sur la carte ci-dessus, en rouge, les régions où il y a le plus de contamination.

Hépatite B : l'hépatite B est due à un virus qui provoque des lésions inflammatoires du foie.

La contamination se fait surtout par voie sexuelle, mais également par voie sanguine (aiguilles contaminées, lors de tatouages ou de piercing…), et plus rarement de la mère à l’enfant lors de l’accouchement.

Le virus est fortement contagieux, 100 fois plus que le virus VIH (Sida).

Comme toutes les hépatites, les symptômes, lorsqu’ils sont présents regroupent la fatigue, les maux de tête, les douleurs abdominales, les nausées, l’anorexie, puis un ictère (jaunisse) deux mois environ après le contact avec le virus.

Dans ce cas, le patient a la peau et les yeux jaunes, ses urines sont peu abondantes et foncées.

Que l’hépatite se soit manifestée ou pas, 9 patients sur 10 vont guérir spontanément, tandis que 1 sur 10 évoluera vers une hépatite chronique.

Dans ce cas, l’inflammation du foie se poursuit à bas bruit, et le risque est l’apparition à long terme d’une cirrhose, puis d’une insuffisance hépatique ou d’un cancer du foie potentiellement mortel.

Actuellement il n’existe aucun traitement pour l’hépatite B.

Hépatite C : l’hépatite C est une maladie du foie qui est due à un virus à ARN.

Pendant longtemps, cette hépatite était anciennement appelée hépatite non-A non-B.

Le virus de l’hépatite C se transmet principalement par voie sanguine.

La transmission sexuelle existe bien mais elle demeure exceptionnelle car liée au contact sanguin.

L’infection par le virus de l’hépatite C débute par une période d’incubation silencieuse d’une durée variable qui serait en fonction de la quantité de virus transmise (en moyenne, 2 mois).

Après cette période, l’infection se manifeste par une hépatite aiguë.

Celle-ci dure environ 3 mois et se caractérise par de la fatigue, des troubles digestifs, une douleur au foie et éventuellement une jaunisse.

Cette hépatite aiguë peut être plus ou moins sévère et l’existence d’une hépatite fulminante comme pour l’hépatite A et B n’est reconnu par tous.

VI.

Le Sida. 1981: le premier du Sida cas en France.

Le Sida est aussi appelée VIH: le Virus de l’Immunodéficience Humaine.

Le virus infecte et détruit certains éléments essentiels au système immunitaire: c’est à dire les globules blancs.

Seul un dépistage permet de savoir si l’on est séropositif (contaminé) au VIH.

Le Sida est un virus particulier, c’est un rétrovirus: il possède un code génétique sous forme d’ARN, ce qui lui permet d’utiliser le code génétique des cellules cibles comme les globules blancs afin de lui permettre de se reproduire.

Le VIH se transmet d’une personne à une autre par certains liquides corporels: le sang, le sperme, les sécrétions vaginales, le liquide séminal et le lait maternel.

Il se transmet par le partage de seringues usagées, ou par le contact d’une plaie ouverte et d’un liquide contaminant, ou à l’occasion de piercings et de tatouages effectués par des outils non stérilisés.

Il se transmet aussi par des rapports sexuels non protégés.

Une mère séropositive peut transmettre le virus à son enfant!! Le préservatif est le seul moyen de protection. »