Le feu. Rédaction

« Images et réalités.

/,es personnifica­tions du feu.

Appel aux sens.

IDÉES E~ VHAC !.

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Les idées : le feu, c'est l'âtre de la chaumière, l'incendie qui dévore tout jusqu'à ce que les pom­ piers en triomphent; le feu de camp, joie des boys scouts.

C'est aussi sa longue histoire depuis sa découverte il y a 100 ou 200 mille ans, liée à l'his­ toire de l'humanité.

C'est aussi sa légende : Pro­ méthée livrant le feu aux hommes.

C'est l'humble lueur d'un cierge devant l'autel ou la flamme sous l'Arc de Triomphe.

C'est peut-être enfin le feu du bûcher ou celui, moins visible mais aussi meur­ trier, du peloton d'exécution.

Feux de joie, feux du souvenir, feux utilitaires ou feux de mort, quelle que soit sa forme le feu possède des carac­ tères éternels, des lois immuables; des préférences et des répugnances, des victimes et aussi des ennemis.

Le feu est une bête sauvage qu'il faut appri­ voiser, nourrir ct entretenir sans .i amais la laisser mourir, ni lui rendre la liberté.

Le feu, première puissance adorée par nos ancêtres préhistoriques (puis cultivée) : les V cs tales.

Mais qu'est-il donc ? un des quatre éléments (terre, air, cau, feu); un phénomène physique : combustion de corps avec dégagement de chaleur et de lumière (et de fumée : pas de fumée sans feu).

C'est une source de force et de bien-ètrc.

Le feu occupe dans la maison la place de choix : le cœur, l'âtre, le foyer qui attire tous les hôtes du logis sans oublier le chat et le chien, compagnons de l'homme.

Il est essentiellement composé de : bûches, tisons, braises, cendres, étincelles, flammes.

Les couleurs: vermillon, jaune, orangé, rouge, violet.

Les bruits : sifflements, crépitements, ronfle­ ments, éclatements.

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