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Commentaire de texte Partie de pêche Les vrilles de la vigne

Publié le 04/05/2024

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« Colette, grande figure féminine du XXème siècle, a de nombreux talents comme pour la comédie mais elle est aussi danseuse, mime, écrivaine, journaliste ou encore créatrice d’entreprise dans la beauté, en soit une vie riche.

Elle a, par ailleurs, gagné en 1945 le prix Goncourt très grand prix littéraire.

Elle a été autrice de plus d’une trentaine d’ouvrages dont certain où elle va célébrer la nature notamment dans son œuvre Les Vrilles de la vigne publié pour la première fois en 1908.

Cet ouvrage est un recueil de plein de nouvelles, environ une vingtaine, qui sont toutes indépendantes entre elles, ces nouvelles se rapproche d’une partie à la poésie de pars l’écriture de Colette qui leur donne un certain lyrisme.

Ici, nous sommes vers la fin de ce recueil de nouvelles où Colette va nous raconter une « Partie de pêche », localisé en Baie de Somme, avec ses amies Marthe et Maggie.

Mais cette partie de pêche n’est pas commune et c’est pour cela que nous nous demanderons comment Colette célèbre la nature aquatique à travers cette partie de pêche.

Afin d’y répondre nous analyserons dans un premier temps sa célébration de la nature puis dans un second temps nous verrons leur chasse au poisson puis nous finirons par regarder que le narrateur est de la partie. En effet Colette va rendre hommage à cette nature notamment en donnant à cette nature une dimension très symbolique et volumineux.

Nous le retrouvons tout d’abord dès la première ligne avec « l’Esprit des Eaux » qui montre bien que cette nature est hors du commun et qui amène même quelque chose de merveilleux.

Elle va aussi parler de « grand lac allongé » et un « grand bout de mer », à la ligne 4, qui montre bien ça grandeur par l’adjectif au participé passé qui va rajouter de la profondeur, ce grand volume fait un contraste entre eux et ce grand lac, ce sentiment est aussi renforcé par le terme « Tribu Papoue » à la ligne 1 qui les caractérise et montre bien qu’ils sont des étrangers.

On va aussi durant tout ce texte avoir des assonances en « o » et « ou » rappelant l’eau de la mer qui est omniprésente.

On va par ailleurs retrouver le verbe « grouiller » à la ligne 4 qui montre un certain nombre de poissons que possède ces « Eaux » qui tout de suite amplifier par l’énumération des poissons qui le suit. D’autre part, cette nature ne leur est pas totalement étrangère car on retrouve souvent des comparaisons à elle-même ou autres qui les caractérises.

On peut particulièrement le voir à la ligne 2 avec « à têtes de phoques » qui montre une comparaison de la manière dont ils vont chasser pour leur futur chasse.

On remarque aussi des personnifications comme à la ligne 4 « la marée négligente », cette personnification sert à rapprocher cette marée de l’Homme.

On peut aussi un jeu de mot à la ligne 3 avec l’arme « perches » mais qui peut aussi faire penser au poisson.

Plus tard, avec « se hérisse », on comprend que Colette subit une animalisation qui montre que notre premier ressenti n’est pas si loin de l’animal et que par cette animalisation elle montre que nous sommes en quelque sorte nous-même des animaux.

Cette nature va ensuite vouloir être chassé Par ailleurs, Colette va aussi célébrer la nature par une chasse au poisson qui va.... »

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