Analyse de PAROLES de Jacques PREVERT

« 1.2 : Grâce au nom de l’organe de presse « Le Monde Diplomatique » nous savons que la nature de ce texte est un article.

Nous pouvons aussi savoir que ce journal est mensuel grâce à la date qui figure en juin 2002.

L’auteur de cette article est Jacques Bourquin.

Un chapeau précède l’article, celui-ci nous explique les thèmes de la délinquance et des maisons de redressements. 2.

Identification des genres, des types et extraction du propos directeur. 2.1 : Le poème de Jacques Prévert appartient au genre littéraire, poétique, et son type est descriptif car il décrit la fuite des enfants. Le poème s’attarde sur la chasse au enfant qui a eu lieu à Belle-ile-en-Mer en août 1934. Celui-ci parle d’un enfant qui s’enfuit de la maison de redressement avec d’autres enfants, ils sont pourchassés par les tous les habitant de l’ile sans pitié. 2.2 : L’article de Jacques Bourquin appartient au genre non littéraire et il est de type explicatif car il explique ce que les jeunes délinquants ont dû subir à travers les années. L’article parle des différentes lois qui ont été mise en place depuis le depuis du 19ème siècle sur la peine des jeunes délinquants, entre la violence et l’éducation. 2.3 : L’article d’Emmanuelle Bouchez appartient au genre non littéraire et elle est de type descriptif car elle décrit le film et la prestation des acteurs. L’article résume le film de Dominique Ladoge et une élogieuse critique l’accompagne. 3.

Sélection d’idées dans un document . En 1860 les maisons de redressement sont source de châtiment et d’enfermement, l’éducation n’y est plus d’actualité.

Les maisons de redressement sont de plus en plus nombreuses et les jeunes délinquants y sont enfermés pour les punir de leurs actions pendant de nombreuses années.

En 1890 les maisons de redressement sont de plus en plus violentes mais à la fin 19ème et au début 20ème siècle l’éducation et la protection des mineurs revient à l’ordre du jour.

Ce n’est qu’en 1912 que les comités de défense pour les mineurs dans les tribunaux ont permis l’ouverture du premier tribunal pour mineurs mais cela n’aura pas arrêté la violence des maisons de redressement.

En 1925 la presse commence à dénoncer la violence dans les maisons de redressement et en 1934 la révolte des enfants intéresse fortement la presse.

Un an après en 1935 les lois rende le vagabondage des enfants non condamnable par les tribunaux et des projets d’éducation commence à voir le jour mais ce ne sera qu’en 1937 et 1938 que les jeunes 2 / 3. »