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Inconnu et connu

Publié le 03/12/2012

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Philosophie- Correction le connu et l'inconnu Introduction : Littérature d'ouverture Définition des termes des sujets : La question de l'inconnu se définit par rapport au connu radical du verbe connaître plus préposition latine in- (locatif ou privatif dans ce cas privatif), est inconnu ce que l'on ne connait pas concept privatif qui procède de la négation du connu. Pour définir l'inconnu i faut définir le connu. C'est donc la question du connu qu'il faut définir spontanément. Définir le connu il faut conceptualiser, utiliser une distinction conceptuelle : pourrait être une distinction sémantique (connu/ savoir) pas intéressant, distinction opératoire : distinction classique entre connaître et penser (Kant) Commencer à se poser la question : le connu est-il seulement un objet de la pensée ? (connaissance/pensée) la connaissance apparait plus restrictive que la pensée car celle-ci se donnerait pour pouvant dépasser la connaissance, un au-delà de la connaissance Encore Kant : distinction entre le fait (de facto en fait) et le droit (de jure en droit) Différence : ce qui est en droit c'est ce qui peut être, ce qui doit être (le devoir être) là où ce qui est en fait est ce qui est (être) Si l'on applique cette distinction au sujet : si l'inconnu est l'inconnu en fait mais pas endroit : je ne le connais pas maintenant mis je peux le connaître demain, l'inconnu mathématique X (il nous est possible de le connaître grâce à un mod&e...

« o La démarche positive de la science serait de réduire tous les problèmes à des mystères  réduction à l’ignorance que la philosophie n’a cessé de combattre.  Le trajet inverse, le mouvement contraire : faire passer tous les mystères dans la science pour aboutir à un problème  positivisme.

· Illusion cognitive numéro 2 : il y a aurait un inconnu irréductible, un mystère que l’on ne pourrait traduire avec un problème (une sorte d’Inconnu  il existe un inconnu en droit et en fait, que je ne pourrais jamais connaître)  Tentation de placer l’inconnu comme l’au-delà de la connaissance  le réalisme de l’inconnu, quelque chose qui dépassait la connaissance humaine qui n’aurait plus que pour but de réduire l’inconnu.

Ce que le connu doit vaincre.

 Hypostase de l’inconnu : théorie du positivisme (fait le postulat que la connaissance s’établissant contre une ignorance sans fin, un inconnaissable qui lui préexistait  historicité du savoir, linéaire qui reste métaphysique) o Qu’est-ce que c’est que le mouvement de la connaissance ? comment ça marche ?  Il ne consiste pas d’aller d’un peu de savoir vers beaucoup de savoir en avançant sur l’inconnu.

La connaissance engendre l’inconnu parce qu’il croit.

Le savoir rétroactivement engendre l’inconnu.

L’inconnu est une illusion rétrospective de la connaissance.

Une expérience à l’imparfait et pas une expérience au futur.

Je sais qu’il y a du connu quand je sais quelque chose.

 Positivisme : transforme le mystère en problème mais tombe dans l’hypostase de l’inconnu.

Argumentation : 1.

L’inconnu n’est pas l’inconnaissable (inconnu en fait mais pas en droit) a) Primat de l’inconnu sur l’inconnaissable · Argument rationaliste : il n’y a que le l’inconnu en fait, de l’ignorance mais que l’on peut vaincre l’ignorance.

· Tout mystère est un problème qui s’ignore d’où le travail du rationalisme · Cf.

Merleau Penty chap.4 : distingue deux types de rationalisme : « grand rationalisme » (17- 18 ème ) et « petit rationalisme » (de type scientiste 20 ème siècle)  célèbre la vérité du « grand rationalisme » mais critique que le « petit rationalisme » qui affirme que la science dépassera la philosophie.

Il le dévoile comme une métaphysique honteuse, une religion de la science qui a comme postulat qu’il faut dépasser la religion.

Ils participent de ce qu’ils refusent, ils n’ont pas encore compris que leur théorie est encore métaphysique.

Il réhabilite le rationalisme philosophique, le « Grand rationalisme ».. »

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