Devoir de Philosophie

L'image

Publié le 07/11/2012

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Devoir de français Sujet : « l'image n'est pas seulement dangereuse parce qu'elle peut être truquée ou simplement trompeuse, mais surtout parce qu'elle a un pouvoir anesthésiant. Elle a sa propre évidence et n'a pas besoin d'être prouvée. On la met en mémoire sans examen, sans contestation. « Qu'en pensez-vous ? Depuis les progrès scientifiques et techniques, et de nos jours avec l'avènement des ntic, bon nombre de moyens sont employés pour favoriser et faciliter par le même coup l'expression du monde. Parmi ceux-ci se trouve en lieu très privilégié l'image. En effet, dans son acception première, l'image est définie par Le Petit Larous...

« Depuis les progrès scientifiques et techniques, et de nos jours avec l’avènement des ntic, bon nombre de moyens sont employés pour favoriser et faciliter par le même coup l’expression du monde.

Parmi ceux-ci se trouve en lieu très privilégié l’image.

En effet, dans son acception première, l’image est définie par Le Petit Larousse Illustré 2009 comme une représentation d’un être ou d’une chose par les arts graphiques ou plastiques, la photographie, le film, etc .

La production d’une image est généralement faite à dessein et semble de ce fait comporter un certain pouvoir d’aliénation sur l’homme.

C’est sans doute fort de ce constat qu’un critique affirme que : « l’image n’est pas seulement dangereuse parce qu’elle peut être truquée ou simplement trompeuse, mais surtout parce qu’elle a un pouvoir anesthésiant.

Elle a sa propre évidence et n’a pas besoin d’être prouvée.

On la met en mémoire sans examen, sans contestation.

» Cette affirmation semble ainsi présenter sans restriction le caractère dogmatique de l’image d’où le problème qui en découle : celui de la force agissante de l’image ou de son pouvoir sur l’individu.

En d’autres termes comment l’image parvient-elle à endormir l’essence critique de l’homme ? Si tant est vrai que l’image a aussi une visée sociale attestée, ne peut-elle pas être un motif de réflexion et d’examen ? Pour mener à bout notre argumentaire, nous allons présenter d’une part l’image comme une force écrasante, et d’autre part comme un appel aux réactions diverses.

Précisons surtout que notre cadre opérationnel est celui de la télévision.

L’image isole, renferme, aliène.

Elle participe largement au mouvement de repli sur soi.

Le lien qui unit l’individu à l’image est de nature hypnotique.

La regarder met en sommeil l’intellect.

Elle fonctionne comme un anesthésiant dont on dépend très rapidement.

En prenant par exemple pour cadre la télévision, le téléspectateur face aux images qui lui son proposées perd sa capacité, son. »

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