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Publié le 30/01/2013

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Jean-Paul Sartre est un écrivain de langue française, philosophe engagé dans le siècle, également dramaturge, romancier, nouvelliste et essayiste. Né le21 juin 1905 à Paris, il est mort le 15 avril 1980 dans cette même ville. Ecrivain prolifique, il est autant connu pour son œuvre, et notamment sa philosophie appelée l'existentialisme, que pour son engagement politique à gauche1. Sartre était le compagnon de la philosophe Simone de Beauvoir. Leurs philosophies, bien que très proches, ne sauraient être confondues ; les deux auteurs se sont influencés réciproquement. L'œuvre de Jean-Paul Sartre est riche en essais et textes philosophiques majeurs comme L'Être et le Néant (1943) ou L'existentialisme est un humanisme (1945), mais aussi des textes littéraires avec son recueil de nouvelles publié en 1939 le Mur ou ses romans : la Nausée (1938) et les Chemins de la liberté (1945). Son théâtre avec des pièces comme Les Mouches (1943), Huis clos (1944), La Putain respectueuse (1946), Le Diable et le Bon Dieu (1951), Les Séquestrés d'Altona(1959) constitue une part importante de son activité littéraire. Dans une période plus tardive, il publie aussi en 1964 un texte autobiographique Les Mots qui traite des onze premières années de sa vie, ainsi qu'une vaste étude sur Gustave Flaubert, L'Idiot de la famille (1971-1972). Il a publié des études sur les artistes, notamment sur Le Tintoret. Intransigeant et fidèle à lui-même et à ses idées, il a toujours rejeté les honneurs ; il a notamment refusé le prix Nobel de littérature (une exception notable toutefois : il accepta le titre de docteur honoris causa de l'université de Jérusalem en 1976).    Je n’essaie pas de protéger ma vie après coup par ma philosophie, ce qui est salaud, ni de conformer ma vie à ma philosophie, ce qui est pédantesque, mais vraiment, vie et philo ne font plus qu’un. « Carnets de la drôle de guerre Auteur prolifique, Jean-Paul...

« de pièces de théâtre, d'écrits philosophiques ou de biographies.

Sa philosophie a marqué l'après-guerre, et il reste le symbole, l'archétype de l'intellectuel engagé.

De son engagement dans la résistance, en1941, jusqu'à sa mort, en 1980, Sartre n'a cessé de défrayer la chronique.

Il fut en effet de tous les combats, pleinement et totalement engagé dans son époque, embrassant avec ferveur toutes les causes qui lui ont semblé justes. Sorte de Voltaire2 du xxe siècle, Sartre aura milité inlassablement, jusqu'au bout de sa vie. Philosophie[modifier] Article détaillé : Existentialisme. Sartre est considéré comme le père de l'existentialisme français et sa conférence de 1945, L'existentialisme est un humanisme, est considéré le manifeste de ce mouvement philosophique.

Toutefois, la philosophie de Sartre, en 20 ans, a évolué entre existentialisme et marxisme.

Ses oeuvres philosophiques majeures sont L'être et le Néant (1943) et la Critique de la raison dialectique (1960). L'être en-soi et l'être pour-soi[modifier] Dans L'Être et le Néant, Sartre s'interroge sur les modalités de l'être.

Il en distingue trois : l'être en-soi, l'être pour-soi et l'être pour autrui. - l'être en-soi, c'est la manière d'être de ce qui « est ce qu'il est », par exemple l'objet inanimé « est » par nature de manière absolue, sans nuance, un ; - l'être pour-soi est l'être par lequel le néant vient au monde (de l'en soi).

C'est l'être de la conscience, toujours ailleurs que là où on l'attend : c'est précisément cet ailleurs, ce qu'il n'est pas qui constitue son être, qui n'est d'ailleurs rien d'autre que ce non être ; - l'être pour-autrui est lié au regard d'autrui qui, pour le dire vite, transforme le pour soi en en soi, me chosifie. L'homme, se distingue de l'objet, en ce qu'il a conscience d'être, conscience de sa propre existence.

Cette conscience crée une distance entre l'homme qui est et l'homme qui prend conscience d'être.

Or toute. »

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