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THE IRISH REASONS TO SETTLE IN BRITAIN

Publié le 15/04/2024

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« THE IRISH REASONS TO SETTLE IN BRITAIN Ireland also known as the Republic of Ireland is an island nation located in Western Europe northwest of the UK, its capital is Dublin.

It is surrounded by the Atlantic Ocean and the Irish and Celtic Sea, and the two official languages spoken are Irish and English.

Then we have Northern Ireland which is a part of the UK in the North-east of Ireland.

Its capital is Belfast.

Since Northern Ireland was created in 1921, the term Ireland will refer to both of those countries.

Over many years, the Irish moving to Britain had a big impact on both countries.

We’ll look at the reasons behind the Irish migration, the circumstances that propelled it, and how it affected Britain. Some medieval texts claim that Irish tribes settled for the first time in Britain in the late fourth century.

Since then, although not as frequent, Irish people have emigrated to Britain at various times and for various reasons, including economic prospects or work opportunities.

However, one of the massive emigrations happened during the 19th century and it leading to a major historical event: The Great Famine also known as the Great Hunger in the 1840s. Potatoes were the main source of diet for the Irish because it was a hardy, nutritious, and calorie-dense crop and relatively easy to grow in the Irish soil.

In the harvest of 1845, a fungus named Phytophthora infestans arrived in Ireland by trade ships from North America causing blight in potatoes and leading to the decimation of between one-third and half of the potato crop.

Many potatoes were found to have gone black and rotten and their leaves had withered.

This continued for the next four years. The consequences were disastrous: about one million people died from starvation or typhus and other famine-related diseases.

It is also crucial to note that Ireland was under English domination, and it became part of the UK by the Union Act in 1801.

So most Irish people were peasants who worked the land for their English masters.

The landlords were English or Scottish, and they didn't live on their Irish estates.

They became known as "the absentee landlords" as they lived far away and had very little contact with their tenants in Ireland.

When the famine struck, tenant farmers, who were already incredibly poor, could no longer afford to pay rent to their landlords.

This resulted in mass evictions occurring across the country.

It is believed that around 500,000 people were evicted from their homes during the famine. However, these disastrous consequences could have been avoided had the British government reacted more efficiently.

Prime Minister Sir Robert Peel authorized the import of corn from North America, to help avert some starvation. Nonetheless, the Irish disliked it and reliance on it led to nutritional deficiencies. Lord John Russell, who assumed power in June 1846, adopted a laissez-faire approach to the struggles of the Irish people and focused relief efforts more on Irish resources. Between 1846 and 1850, one and a half million Irish people died of starvation. Another one and a half million left Ireland forever, some of them settled in Britain in hopes of starting a new life.

The population of Ireland fell from about 8 million people in 1845 to under 5 million by 1850. In conclusion, the Irish migration to Britain profoundly shaped both nations. Despite adversity, the Irish contributed to Britain’s culture, influencing religious tolerance, and bringing traditions like St Patrick’s Day.

The Irish community has become an integral part of British society, even though they faced negative stereotypes in the past. Introduction : Depuis 1958, le taux d’abstention au premier tour des élections législatives, sous la Ve République en France, est passé de 22,8 % à 52,3 % en 2022.

En effet ceci est illustré par le graphique du document 2 provenant du ministère de l’intérieur.

Ce dernier pourcentage relevé en 2022 est surprenant car plus de la moitié de la population ne vote pas.

De manière générale, l’abstention désigne le refus d’agir ou de participer à une action.

Dans ce contexte, il s’agit du non-exercice d’un droit.

Ainsi c’est une pratique par laquelle un électeur ou un membre d’une assemblée délibérante renonce à l’exercice du droit de suffrage.

La France est une démocratie, c’est-à-dire un régime politique du peuple dans lequel le pouvoir est exercé par le peuple et pour le peuple.

Le caractère démocratique des institutions est assuré par le suffrage universel.

Donc tous les citoyens majeurs peuvent voter.

Le système électoral est fondé autour du suffrage universel direct et indirect.

Les représentants des citoyens français sont élus soit au suffrage universel direct.

Le président de la République, les députés à l'Assemblée nationale, les représentants français au Parlement européen, les conseillers régionaux et départementaux, les maires sont élus directement par le peuple.

Les sénateurs sont désignés au suffrage universel indirect.

Ils sont élus par un collège électoral composé d’élus locaux.

La France est donc une démocratie représentative.

Le système politique de la Ve République reconnaît à une assemblée restreinte le droit de représenter le peuple français et de prendre des décisions le concernant.

Les élus tiennent leur légitimité du suffrage exprimant la volonté populaire.

Les institutions démocratiques sont nombreuses.

L’exercice du droit de vote est étendu et ne se limite pas à élire un président.

Les élections présidentielle, législatives, sénatoriales, européennes, régionales, départementales, municipales, et communautaires se déroulent à différents moments, tous les cinq ou six ans.

Elles permettent d’élire, le président de la République ; les députés de l’Assemblée nationale ; les sénateurs ; les députés du Parlement européen ; les conseillers régionaux ; et départementaux ; et les autorités d’une ville ou d’une commune.

Donc pour en revenir à ce pourcentage, il traduit un désintérêt de la population française à la vie politique.

Aussi, quels sont les facteurs explicatifs de cette abstention croissante et les effets produits sur le fonctionnement démocratique ? Afin de répondre à cette problématique, il s’agira de voir les causes de l’abstention, puis d’aborder les conséquences dans le dessein de réfléchir à des solutions. En examinant de près les causes, nous pourrons mieux comprendre les raisons qui poussent une partie significative de la population à s'abstenir lors des scrutins électoraux (I).

Ces facteurs sont variés englobant des éléments tel que l’inégalité de représentation (I.1), les contraintes liées au choix des candidats (I.2), les disparités sociales (I.3) ainsi qu’une perception d’inefficacité du vote et une méfiance envers les acteurs politiques (I.4). Tout d'abord, une des causes qui engendre l'abstention aux élections et le fait qu'un tiers des Français ne sont pas représentés à l'Assemblée nationale (Doc 5).

En effet, la composition de l'Assemblée nationale est très inégalitaire.

On y trouve plus de députés de couleur « blanches » que de personnes de couleur.

L'Assemblée est constituée à 90% de personnes « blanches » et seulement 10% de personnes de couleur (Vie republique.fr).

De plus, on remarque qu'il n'y a aucune personne présentant un handicap qui fait partie de l'Assemblée nationale (Sciences Po).

C'est un inconvénient pour les citoyens porteurs d'un handicap car personne ne les représente à l'Assemblée nationale.

En outre, on remarque un fort écart entre le profil des abstentionnistes selon leur sexe. Les femmes s'abstiennent plus que les hommes, 59% pour les hommes contre 72% pour les femmes (Doc 3).

On constate que les femmes s'abstiennent de voter plus que les hommes, car l'Assemblée nationale présente un déséquilibre dans sa composition.

L’Assemblée de la XVIe législature compte seulement 215 femmes, soit 37,3%, contre 362 hommes soit 62,7% (D’après des articles de l’Assemblée nationale et Observatoire des inégalités.fr).

Ensuite, les élections législatives de 2022 ont désigné huit ouvriers et 26 employés sur les 577 députés, soit 6 % de l’ensemble, alors que ces catégories représentent 45 % de la population active, selon l’Institut des politiques publiques.

À l’inverse, les cadres et professions intellectuelles supérieures représentent 70 % des élus, soit trois fois plus que leur part dans la population active (22 %) (D’après un article d’Observatoire des inégalités).

Ainsi, l’Assemblée nationale n’est pas représentative de la population française.

Par conséquent ces catégories de populations s’abstiennent de voter étant donné que leurs attentes, leurs besoins et leurs intérêts ne sont pas comprises. D'autre part, la question du choix pour quel candidat voter est crucial.

Au premier tour, on a un large choix pour élire le candidat qu'on apprécie le plus et qui partage les mêmes idées et même parti politique que le nôtre. En revanche, au second tour, le panel de candidats se réduit et passe à deux candidats.

À ce moment-là, on vote pour celui qui a les projets les moins exécrables ou alors on s'abstient de voter.

Et cette dernière alternative est la plus récurrente.

C’est ce qu’affirme Geneviève MeunierDumont dans son commentaire (Doc 5).

Par ailleurs, le processus de prise de décision des électeurs influe également sur leur choix de s'abstenir.

En effet, le nombre d'électeurs déclarant avoir fait leur choix dans les jours précédant l'élection, voire le jour.... »

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