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BOUGE, substantif masculin.

Publié le 05/11/2015

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BOUGE, substantif masculin. I.— Langue commune. A.— Vieux. Petite pièce, pièce de grenier en hémicycle où il n'y a place que pour un lit. Un évêque d'Allemagne venait de prendre la dernière [chambre] et (...) il ne restait plus que deux petits bouges (NICOLAS-SÉBASTIEN ROCH, DIT DE CHAMFORT, Caractères et anecdotes, 1794, page 128 ). — Par métaphore. Ce bouge à commentaires, (...) ce grenier à bavardages, appelé l'École de Droit (HONORÉ DE BALZAC, Le Contrat de mariage, 1835, page 211 ). B.— Hôtel, chambre d'hôtel misérable. Bouge affreux, infâme; bouge à matelots; hôtel-bouge (EDMOND DE GONCOURT, JULES DE GONCOURT, Journal, 1886, page 553) : Ø 1.... nous nous sommes établis dans un misérable bouge qu'on nous avait donné pour un hôtel. Le lieu et les gens nous dégoûtaient tellement que nous avons été immédiatement demander à M. Masterson (à une lieue de là) la pension bourgeoise qu'il avait dû nous chercher. JULES MICHELET, Journal, 1834, page 749. — Par extension. Maison, logement misérable des artisans et du bas-peuple; taudis. Les manants dans leurs bouges (VICTOR HUGO, La Légende des siècles, L'Aigle du casque, tome 4, 1877, page 457) : Ø 2. Des cache-nez d'un goût affreux Laissaient voir des fronts bleus et rouges... Et je pensais aux malheureux Qui n'ont pas de feu dans leurs bouges. GUSTAVE NADAUD, Chansons, 1870, page 419. — Par analogie, rare. Gîte, bauge* du sanglier. J'ai tué dans son bouge [rime avec rouge du vers précédent] Un sanglier (ALEXANDRE DUMAS PÈRE, Le 24 février, 1850, 1, page 138 ). C.— Café, cabaret mal famé. Il court les bouges, les bastringues (ALPHONSE DAUDET, Les Rois en exil, 1879, page 477) : Ø 3. Contre les vauriens qui errent par les rues, flânent et gîtent dans les tavernes, les bouges et les maisons infâmes, d'où ils surgissent la nuit en quête de mauvais coups, il a fallu, à Paris, à côté de la police royale, organiser le service du guet;... EDMOND FARAL, La Vie quotidienne au temps de Saint Louis, 1942, page 260. Remarque : 1. Parmi les dictionnaires du XIXe. siècle, seuls Dictionnaire de l'Académie Française 1878 et DICTIONNAIRE DES DICTIONNAIRES (SOUS LA DIRECTION DE PAUL GUÉRIN ) 1892 signalent ce dernier emploi. 2. On rencontre le composé bouge-concert, calqué sur café-concert (GEORGES COURTELINE, Messieurs-les-Ronds-de-cuir, 1893, page 246). II.— TECHNOLOGIE. Partie concave ou convexe d'un objet. Le bouge d'une futaille. Le bouge d'une assiette (Dictionnaire de l'Académie Française). — MARINE. Flèche de l'arc des barrots (confer Petit dictionnaire de marine (ROBERT GRUSS) 1952); courbure des baux; " courbure transversale convexe d'un pont ou d'un toit de rouf " (Dictionnaire de la voile (MICHEL BARBEROUSSE) 1969). STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 238. Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 89, b) 404; XXe. siècle : a) 445, b) 446. Forme dérivée du verbe "bouger" bouger BOUGER, verbe. I.— Emploi intransitif. A.— Vieux et populaire. [En parlant du sang] Bouillonner : Ø 1. Il exposait à sa manière l'histoire de nos deux peuples et parlait de la France avec une pitié condescendante qui nous faisait bouger le sang. FRANCIS AMBRIÈRE, Les Grandes vacances, 1946, page 63. B.— Faire un mouvement (le plus souvent minime), remuer. 1. [En parlant d'une personne et du mouvement de son corps] Faire un/des geste(s). Rester sans bouger. — Par ironie. Bouger en mesure. Danser (Confer Simone de Beauvoir, Mémoires d'une jeune fille rangée, 1958, page 162). a) [À la forme surtout négative, le mouvement étant considéré comme contre-indiqué] Ne pas bouger. Rester immobile. Ne bougeons plus! (Cri d'un photographe de groupe au moment de la prise de vue) : Ø 2. L'archidiacre, voyant que tous ses soubresauts ne servaient qu'à ébranler le fragile point d'appui qui lui restait, avait pris le parti de ne plus remuer. Il était là, embrassant la gouttière, respirant à peine, ne bougeant plus, n'ayant plus d'autres mouvements que cette convulsion machinale du ventre qu'on éprouve dans les rêves quand on croit se sentir tomber. VICTOR HUGO, Notre-Dame de Paris, 1832, page 564. — En particulier. [Souvent dans une phrase impérative] · Ne pas se lever : Ø 3. Ils ont tiré deux fois; la première fois c'était peut-être en l'air, mais la seconde, c'était pour de bon. La jungle bruisse autour d'eux : qu'est-ce que c'est? Qu'est-ce que c'est? Qu'est-ce qu'il y a eu? Des chefs improvisés répondent : taisez-vous, ne bougez pas, restez couchés;... JEAN-PAUL SARTRE, La Mort dans l'âme, 1949, page 219. · [En parlant d'enfants] Ne faire ni mouvement, ni bruit, rester tranquille : Ø 4. Le professeur raconta, non sans émotion, que les élèves avaient lâché méchamment un hibou dans la classe. M. Tassin dit d'une voix terrible : si quelqu'un bouge pendant mon absence, il aura affaire à moi. JULES FLEURY-HUSSON, DIT CHAMPFLEURY, Les Souffrances du professeur Delteil, 1853, page 232. b) [À la forme surtout positive, le mouvement étant considéré comme un signe favorable] Manifester son existence en remuant, en faisant quelque chose. — [En parlant d'un enfant dans le ventre de sa mère] : Ø 5. PENSÉE. — Mère, mère! mon enfant vit! mon enfant vit en moi! il vit! il a bougé! PAUL CLAUDEL, Le Père humilié, 1920, IV, 1, page 548. · Par métaphore : Ø 6.... ces années de découragement [de Proust] furent celles d'une gestation, plus qu'à demi inconsciente peut-être aux pires heures; mais très tôt il dut sentir bouger en lui ce monde qu'il portait et qui allait naître. FRANÇOIS MAURIAC, Mémoires intérieurs, 1959, page 106. — [Avec une idée d'inquiétude ou de déception si le mouvement espéré ne se produit pas] : Ø 7. Et moi, pendant ce temps-là, je criais, j'appelais Dieu qui est sourd!... Dieu qui ne bouge pas! Dieu qui n'est pas!... VICTORIEN SARDOU, Patrie! 1869, I, 3, page 28. Ø 8. Elle gagna la porte de sa chambre, qu'elle ouvrit sans faire de bruit. Arrivée en haut de l'escalier, elle prêta l'oreille. Rien ne vivait, rien ne bougeait; seule sa douleur veillait, implacable et féroce. ÉMILE MOSELLY, Terres lorraines, 1907, page 271. · Par métaphore : Ø 9. Le 8. — Ce n'est pas la peine de parler d'aujourd'hui : rien n'est venu, rien n'a bougé, rien ne s'est fait dans notre solitude. EUGÉNIE DE GUÉRIN, Journal intime, 1835, page 34. Ø 10. Longtemps je demeurai comme hébété. Rien ne bougeait en moi des pensées et des sentiments que je contiens. Mon immobilité intérieure était telle que seules quelques faibles sensations, incapables d'ailleurs de m'émouvoir, me liaient à la vie. HENRI BOSCO, Le Mas Théotime, 1945, page 223. 2. [En parlant d'une partie du corps, d'un élément de la nature] Être animé d'un mouvement. Les lèvres bougent, les feuilles bougent. Synonymes : branler, osciller, s'agiter : Ø 11. Quand le torse s'agite, les hanches doivent demeurer immobiles, et le torse ne bouge plus dès que les hanches remuent. MAXIME DU CAMP, Le Nil, Egypte et Nubie, 1854, page 117. a) N'avoir pas bougé (en parlant des dents). Rester intact, solide : Ø 12.... Bouvard se considéra dans la glace. Ses pommettes gardaient leurs couleurs, ses cheveux frisaient comme autrefois, pas une dent n'avait bougé, et, à l'idée qu'il pouvait plaire, il eut un retour de jeunesse. GUSTAVE FLAUBERT, Bouvard et Pécuchet, tome 2, 1880, page 57. — Par métaphore. J'ai soixante-dix ans, les jambes sont en déroute; mais la tête n'a pas bougé (ALPHONSE DAUDET, Le Petit Chose, 1868, page 171 ). b) Par euphémisme. [En parlant de la terre] Trembler : Ø 13.... elle bouge, cette terre : il y a dix ans, elle s'est secouée; en bas, vers Aix, des villages se sont écroulés... JEAN GIONO, Colline, 1929, page 54. C.— [Souvent suivi d'un complément prépositionnel de] Changer de place, quitter le lieu où l'on se tient, où quelque chose se trouve. 1. [En parlant d'une personne] Sortir de sa maison : Ø 14. J'aurais voulu, dès ma guérison, partir pour Venise; mais comment le faire, si j'épousais Albertine, moi, si jaloux d'elle que, même à Paris, dès que je me décidais à bouger, c'était pour sortir avec elle? Même quand je restais à la maison tout l'après-midi, ma pensée la suivait dans sa promenade,... MARCEL PROUST, La Prisonnière, 1922, page 28. — [À la forme négative] a) Ne pas bouger d'un lieu. Ne pas le quitter. De toute la journée, Félicité ne bougeait de la cuisine (GUSTAVE FLAUBERT, Madame Bovary, tome 2, 1857, page 26) : Ø 15. CHARLOTTE. — Vous restez ici? DUBOULOY. — Je n'en bouge pas. ALEXANDRE DUMAS PÈRE, Les Demoiselles de Saint-Cyr, 1849, III, 9, page 157. · emploi absolu. Je ne bouge pas de la journée. Je ne sors pas de chez moi aujourd'hui : Ø 16. N'est-ce pas, Alexandre, qu'elle n'a jamais donné de l'ennui à la maison? Elle reste assise, à regarder devant elle. Depuis douze ans, elle n'a pas bougé... ÉMILE ZOLA, La Conquête de Plassans, 1874, page 1184. b) Ne pas bouger d'auprès d'une personne. Ne pas la quitter. Il ne bouge pas d'auprès de cette femme. Il est sans cesse auprès d'elle (Dictionnaire de l'Académie Française) 2. [En parlant d'une chose, d'un moyen de locomotion, etc.] Se mettre en mouvement. Quelques secondes passèrent avant que le train bougeât (...). Les wagons s'ébranlèrent lourdement (ROMAIN ROLLAND, Jean-Christophe, La Révolte, 1907, page 480 ). — Par métonymie. J'avais beau crier au cocher d'avancer, il ne bougeait pas (ALFRED DE MUSSET, Un Caprice, 1840, page 195 ). — Spécialement. [En parlant de dunes de sables] Les sables avaient bougé, et nous ne reconnûmes plus la colline (ANDRÉ GIDE, Le Voyage d'Urien, 1893, page 21 ). — Par métaphore. [En parlant de l'action d'une oeuvre littéraire, d'un événement...] Aller de l'avant, avancer vers le dénouement : Ø 17.... la guerre se prolongeait, les Allemands s'installaient en maîtres, on apprenait tantôt des victoires, tantôt des défaites, sans que rien n'avançât, ne bougeât. Des gens se lassaient, parlaient de paix boîteuse, de défaite même. On recevait jour après jour les nouvelles les plus accablantes, les plus décourageantes. MAXENCE VAN DER MEERSCH, Invasion 14, 1935, page 206. Ø 18. De temps en temps, je reprends le livre depuis son début, j'entends par là que je le feuillette de manière à revoir en quelques secondes le contenu de chaque page. Je vois ainsi si cela avance, si cela bouge, ou si au contraire cela piétine. Il faut qu'au début de la seconde partie, que j'aborde aujourd'hui, il y ait le même élan qu'au début de la première. JULIEN GREEN, Journal, tome 5, 1950, page 276. 3. Au figuré. a) Changer. · [En parlant d'une personne] Rare, souvent péjoratif. Ne pas bouger d'une position. Ne pas en dévier : Ø 19. Il y a vraiment dans la figure de Flaubert quelque chose qui induit à chérir jusqu'à ses manques et ses limites : le pathétique de l'homme qui n'a jamais bougé de certaines positions capitales, que jamais le doute n'a effleuré à leur égard, et qui pour tout le reste précisément est, par essence, doute, fluctuation, misère intime inlassablement remâchée, incapacité de sortir de cette misère par le don de soi :... CHARLES DU BOS, Journal, 1923, page 290. · [En parlant d'une chose concrète ou abstraite] Tout bouge aujourd'hui. Tout se transforme autour de nous. Ø 20. La vérité politique (si ces deux mots ne hurlent pas d'être assemblés!) est une synthèse vivante, jamais accomplie une fois pour toutes : l'histoire va vite et tout bouge sans cesse. FRANÇOIS MAURIAC, Bloc-notes, 1958, page 378. Ne pas bouger. Rester intact, préservé (supra B 2 a). Suivi la ligne du hâvre, dont la couleur n'a pas bougé — car la mer est plus immortelle que la terre, — et qui est toujours aigue-marine (JULES BARBEY D'AUREVILLY, Memorandum pour l'A... B..., 1864, page 429) b) Se mettre à agir. — [À la forme négative] Ne bougez pas (avant d'avoir reçu les ordres). Ne déclenchez pas l'action prématurément. — [À la forme positive] · Sortir d'une longue période d'inaction. L'Amérique latine bouge (Dictionnaire des mots nouveaux (PIERRE GILBERT) 1971). · [En parlant d'une foule] S'agiter, se révolter : Ø 21. Si la rue bouge à Alger, que fera l'armée? Et si l'armée entre dans le jeu, que fera Paris? FRANÇOIS MAURIAC, Le Nouveau Bloc-notes, 1961, page 54. II.— Emploi transitif. A.— [Le complément d'objet direct désigne les yeux ou une autre partie du corps] Bouger la tête, le bras. Synonyme : remuer. Il s'abstenait non seulement de tout geste, même de bouger ses yeux pétrifiés par l'attention (MARCEL PROUST, À l'ombre des jeunes filles en fleurs, 1918, page 691 ). — Locution familière. Ne pas bouger un doigt. Ne pas faire le moindre geste, la moindre action. Ne pas bouger le petit doigt. Ne pas prendre la moindre initiative pour aider quelqu'un : Ø 22.... les tirailleurs algériens n'auraient pas bougé un doigt sans ordre — c'est leur manière — et s'apprêtaient mahométiquement à se laisser égorger. PIERRE MILLE, Barnavaux et quelques femmes..., 1908, page 146. · Bouger à peine un bonjour à quelqu'un. Il me bouge à peine un bonjour, il me dit à voix basse :... (JEAN GIONO, Manosque des plateaux, 1930, page 96 ). — Locution populaire. Se bouger le sang. Se déplacer, sortir de l'inaction. Reste-là, repose-toi, ça me fait du bien de me bouger le sang (JEAN GIONO, Lanceurs de graines, 1943, I, 5, page 118 ). B.— Familier. [Le complément d'objet désigne une chose concrète] Déplacer. Dès qu'il bougeait un objet, il le foutait tout de suite par terre (LOUIS-FERDINAND DESTOUCHES, DIT CÉLINE, Mort à crédit, 1936, page 407 ). III.— Emploi pronominal, familier et populaire. Se bouger. [Correspond à différents emplois de bouger, confer supra] — Se lever. Elle écoutait la musique étendue sans se bouger pour personne (MARCEL PROUST, Le Temps retrouvé, 1922, page 1025 ). — Sortir de l'inaction. Bougez-vous donc! Vous êtes là comme une momie (FRANÇOIS VIDOCQ, Mémoires de Vidocq, chef de la police de sûreté, jusqu'en 1827, tome 4, 1828-29, page 115 ). — Quitter les lieux. Nos craintes concernaient uniquement les animaux à deux pattes. C'était le moment ou jamais de se bouger (M.-G. BRAUN, Apôtres de la violence, Paris, Fleuve Noir, 1962, page 38 ). STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire Bouger : 3 190. Bougé : 459. Fréquence relative littéraire : Bouger. XIXe. siècle : a) 941, b) 4 350; XXe. siècle : a) 5 809, b) 6 943. Bougé. XIXe. siècle : a) 124, b) 531; XXe. siècle : a) 982, b) 969. DÉRIVÉS : Bougement, substantif masculin. Action de bouger (Confer Francis Jammes, De l'angélus de l'aube à l'angélus du soir, 1898, page 41).

« C.? Caf?, cabaret mal fam?.

Il court les bouges, les bastringues (ALPHONSE DAUDET, Les Rois en exil, 1879, page 477) : ? 3.

Contre les vauriens qui errent par les rues, fl?nent et g?tent dans les tavernes, les bouges et les maisons inf?mes, d'o? ils surgissent la nuit en qu?te de mauvais coups, il a fallu, ? Paris, ? c?t? de la police royale, organiser le service du guet;... EDMOND FARAL, La Vie quotidienne au temps de Saint Louis, 1942, page 260.

Remarque?: 1.

Parmi les dictionnaires du XIXe.

si?cle, seuls Dictionnaire de l'Acad?mie Fran?aise 1878 et DICTIONNAIRE DES DICTIONNAIRES (SOUS LA DIRECTION DE PAUL GU?RIN ) 1892 signalent ce dernier emploi.

2.

On rencontre le compos? bouge-concert, calqu? sur caf?-concert (GEORGES COURTELINE, Messieurs-les-Ronds-de-cuir, 1893, page 246).

II.? TECHNOLOGIE.

Partie concave ou convexe d'un objet.

Le bouge d'une futaille.

Le bouge d'une assiette (Dictionnaire de l'Acad?mie Fran?aise).

? MARINE.

Fl?che de l'arc des barrots (confer Petit dictionnaire de marine (ROBERT GRUSS) 1952); courbure des baux; " courbure transversale convexe d'un pont ou d'un toit de rouf " (Dictionnaire de la voile (MICHEL BARBEROUSSE) 1969).

STATISTIQUES?: Fr?quence absolue litt?raire?: 238.

Fr?quence relative litt?raire?: XIXe.

si?cle?: a) 89, b) 404; XXe.

si?cle?: a) 445, b) 446.

Forme d?riv?e du verbe "bouger" bouger BOUGER, verbe.

I.? Emploi intransitif.

A.? Vieux et populaire.

[En parlant du sang] Bouillonner?: ? 1.

Il exposait ? sa mani?re l'histoire de nos deux peuples et parlait de la France avec une piti?. »

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