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Définition: BOURRE, substantif féminin.

Publié le 05/11/2015

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Définition: BOURRE, substantif féminin. A.— Amas de poils provenant de la peau d'animaux à poils ras (bovins, chevaux) grattée avant tannage, utilisé en bourrellerie et pour la fabrication du feutre. La bourre sert à garnir des selles, des bâts, des tabourets, etc. (Dictionnaire de l'Académie française. 1835-1932). Un collier dont la bourre avait disparu (THÉOPHILE GAUTIER, Le Capitaine Fracasse, 1863, page 140 ). Le bat-à-bourre. Outil du bourrelier. — TECHNOLOGIE (FOURRURE). " Poil plus court, plus laineux et plus épais que le poil proprement dit, et qui, caché extérieurement par celui-ci, protège la peau " (Recherches sur la langue de la vénerie et l'influence de Du Fouilloux dans la littérature et la lexicographie (FRANÇOIS REMIGEREAU) 1963 qui donne cette définition en parlant du chien; dans l'emploi technologique, on sous-entend que ce poil donne sa valeur à la fourrure). · Blanc en bourre. Enduit fabriqué avec du poil mélangé à de la chaux et de l'argile remplaçant le plâtre (Confer Dictionnaire des termes employés dans la construction (PIERRE CHABAT) 1881). B.— Par extension. 1. Usuel. Tout amas de laine, déchets textiles, matières souples et compressibles, souvent sous forme de poils ou de brins, qui peut servir à remplir une enveloppe de tissu, une cavité. La bourre d'un coussin, d'un matelas : Ø 1. Mais si son visage [de Lucie] était outrageusement maquillé et ses cheveux toujours oxygénés, les boucles avaient perdu leur éclat, on les eût dit en kapok, en bourre à coussin,... BLAISE CENDRARS, La Main coupée, 1946, page 100. SYNTAXE : Une petite bourre de coton-poudre [dans un tube] (J. ROSTAND, La Genèse de la vie, 1943, page 108); une bourre de liège ou de coton, des bourres de pipe. — Spécialement. a) ARMÉE. Matière (étoupe, papier, etc.) bourrée dans les armes à feu au-dessus de la charge pour la retenir et la presser. Bourre d'un fusil, d'un canon (Dictionnaire de l'Académie Française); bourre de canon en foin, en terre (Dictionnaire général de la langue française (ADOLPHE HATZFELD, ARSÈNE DARMESTETER)); enfoncer la bourre avec la baguette. Un morceau de papier presque brûlé, noir de poudre, ayant servi de bourre (GUY DE MAUPASSANT, Contes et nouvelles, tome 1, Un Drame vrai, 1882, page 821) : Ø 2. Tout le reste avait été oublié, (...) sauf cette baguette qu'il tenait, ayant mis dans le canon une forte charge de poudre, puis de la bourre, puis la grenaille; et le voilà qui bourrait encore son arme avec des gestes précipités... CHARLES-FERDINAND RAMUZ, La Grande peur dans la montagne, 1926, page 149. b) TEXTILES. Partie la plus grossière de textiles avec laquelle on fabrique des fils ou étoffes d'aspect bourru. Bonnet en bourre de laine. Bourre lanice. Déchets de laine provenant du peignage. Matelas de bourre lanice (Dictionnaire de l'Académie française. 1798-1932). Bourre tontisse. Déchets de laine provenant d'une étoffe de drap tondue. Bourre de soie. Déchet de soie grège provenant du dévidage des bobines (synonyme : bourrette). Natte épaisse de bourre de soie (ÉLÉMIR BOURGES, Le Crépuscule des dieux, 1884, page 120 ). (Absolument) De la bourre et du calicot (HONORÉ DE BALZAC, Correspondance, 1822, page 137 ). Bourre de Marseille (vieux). Étoffe moirée, dont la chaîne était de soie, et la trame de bourre de soie (confer Dictionnaire de l'Académie Française, Compléments 1842, Littré). c) MINES. Matière de bourrage pour les trous de mine. 2. Au figuré. Remplissage dans une oeuvre littéraire. Il y a bien de la bourre dans cet ouvrage (Dictionnaire de l'Académie française. 1798-1932) : Ø 3. Mais ce qu'il [Malherbe] écrit contre les chevilles ou bourres nous paraît tenir à une conception du vers trop mesquine et trop fausse pour ne pas exiger réfutation. CHARLES-AUGUSTIN SAINTE-BEUVE, Tableau historique et critique de la poésie et du théâtre français au XVIe. siècle, 1828, page 157. C.— Par analogie. 1. BOTANIQUE. Duvet végétal qui se trouve sur les bourgeons, plus rarement sur les fleurs, feuilles, fruits ou troncs de certaines plantes. Bourre du cotonnier, du palmier, du pissenlit. Une semence volante, portée par ses bourres ébouriffées et ses aigrettes (ALEXANDRE ARNOUX, Suite variée, 1925, page 83 ). 2. Par extension. a) AGRICULTURE. Gousse des légumineuses; épi du trèfle. Du trèfle en bourre dont la graine est restée dans son enveloppe (Dictionnaire général de la langue française (ADOLPHE HATZFELD, ARSÈNE DARMESTETER) ). ... les gousses ou capitules auxquelles on donne le nom de bourres (TONY BALLU, Machines agricoles, 1933, page 491 ). b) HORTICULTURE. Calice de certaines fleurs (Confer Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre, Harmonies de la nature, 1814, page 324). c) VITICULTURE. " Sorte de duvet laineux mélangé parmi les écailles qui constituent les yeux de certaines plantes, particulièrement ceux de la vigne. De là le terme débourrer dont on se sert pour désigner le développement des yeux, c'est-à-dire leur transformation en bourgeons " (Élie-Abel Carrière, Encyclopédie horticole, 1862, page 65). Par extension. Bourgeon de la vigne. La vigne a gelé en bourre (Dictionnaire de l'Académie Française 1835-1932; confer bourrillon). 3. Au figuré, rare. L'âge de la bourre. La grande jeunesse (Confer François Mauriac, Le Mystère Frontenac, 1933, page 185). J'étais de la bourre. Un débutant (Confer Céline, Mort à crédit, 1936, page 361). Remarque générale : Les dictionnaires d'argot signalent plusieurs emplois qui semblent se rattacher plutôt au verbe bourrer, dont bourre pourrait être dans ces cas une forme déverbale. 1. Substantif féminin a) [De bourrer, au sens de " remplir complètement "] À pleine bourre. En plein, tout à fait. Déconner à pleine bourre (Idem, ibidem, page 180). Par extension Qualité d'une chose qui remplit toutes les conditions requises. De première bourre. De premier ordre, excellent. Costar de première bourre (Auguste Le Breton, Du Rififi chez les hommes, 1953, page 137). b) [De bourrer, terme de chasse, par référence au chien qui arrache des poils au lièvre] Se tirer la bourre. Rivaliser à fond pour la victoire finale. En fin d'une course de six jours, il y a toujours deux ou trois " maisons " qui, ayant à leur tête les plus costauds de l'épreuve, se tirent la bourre pour amener à la victoire leur leader respectif (La Pédale, 9 novembre 1927, page 12, colonne 1). c) [De bourrer, au sens de " bloquer, arrêter "] Être à la bourre. Être en retard (confer Auguste Le Breton, Du Rififi chez les hommes, 1953, page 194). 2. Substantif masculin [De bourrer, au sens de " rouer de coups "] Gendarme, policier. Pour te distraire, je vais encore te raconter une histoire. Ça sera mes derniers ennuis avec les bourres (André Malraux, L'Espoir, 1937, page 479). On a aussi proposé comme étymon bourrique, au sens de " (méchant) policier ". STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 130. DÉRIVÉS : Bourrure, substantif féminin. régionalisme. Rembourrage ou bourre. Cette mode daterait de 1815 : c'est aux poitrines rembourrées des officiers russes de l'armée alliée que nous aurions emprunté nos bourrures (HONORÉ DE BALZAC, Œuvres diverses, tome 2, 1850, page 51 ). Par extension. Coussin. Bourrure de collier. Coussin d'un collier d'attelage (confer Canada 1930, Dictionnaire général de la langue française au Canada (LOUIS-ALEXANDRE BÉLISLE) 1957). Terme absent des dictionnaires généraux Forme dérivée du verbe "bourrer" bourrer BOURRER, verbe transitif. I.— Emploi transitif. A.— [L'idée dominante est celle de remplir complètement] 1. Vieilli. Remplir complètement de bourre ou de matière souple. Bourrer un coussin, bourrer un fauteuil (Grand dictionnaire universel du XIXe. siècle (Pierre Larousse), Grand Larousse encyclopédique en dix volumes, Dictionnaire de l'Académie Française 1932). Synonyme plus usité : rembourrer. — Spécialement, vieux. Enfoncer la bourre dans une arme à feu que l'on vient de charger et la tasser avec la baguette. Bourrer un fusil, un pistolet, un canon (Dictionnaire de l'Académie Française) : Ø 1. Alors, si Rebord me prêtait le sien [son fusil] ... oh! je saurais bien verser la poudre et puis bourrer, mettre la balle et puis bourrer... CHARLES-FERDINAND RAMUZ, Derborence, 1934, page 234. 2. Par extension. a) [L'objet désigne une chose à remplir] Remplir aux limites de la capacité et en tassant la matière qui sert à remplir. Bourrer une pipe, le poêle; bourrer ses poches de bonbons. SYNTAXE : Bourrer boudins et saucisses (PESQUIDOUX, Le Livre de raison, 1925, page 18). Souvent participe passé employé comme adjectif Valise... bourrée de billets de banque (CENDRARS, Bourlinguer, 1948, page 41). Son éternelle serviette bourrée de livres et de papiers (G. DUHAMEL, Chronique des Pasquier, Cécile parmi nous, 1938, page 271). — Spécialement. · CHEMIN DE FER. Bourrer une traverse. Faire pénétrer le ballast sous la traverse en le tassant avec un outil approprié ou une bourreuse (Charles Bricka, Cours de chemins de fer, 1894, page 330). · TYPOGRAPHIE. Bourrer les lignes. Composer des lignes pleines. Apprentis... sachant tout juste bourrer des lignes (ALBERT TURPIN, De la presse à bras à la linotype, 1924, page 33 ). — Absolument, MINES. Exécuter le bourrage d'un trou de mine (confer J. Cahen, E. Bruet, Carrières, plâtrières, ardoisières, 1926, page 79). b) Familier. [L'objet désigne une personne] Bourrer quelqu'un de nourriture. Le faire manger avec excès. Bourrer un enfant de bonbons, de gâteaux (Confer affadir exemple 6) : Ø 2.... au moindre rhume, leur père les [les petits Homais] bourrait de pectoraux, et jusqu'à plus de quatre ans ils portaient tous, impitoyablement, des bourrelets matelassés. GUSTAVE FLAUBERT, Madame Bovary, tome 1, 1857, page 133. — Par métaphore, au figuré. Bourrer un enfant de grec et de latin, bourrer quelqu'un de connaissances (souvent mal assimilées). Bourrer les enfants de mathématiques (HONORÉ DE BALZAC, Le Lys dans la vallée, 1836, page 51 ). Bourrer un homme de soucis, de responsabilités (HENRI DE MONTHERLANT, Les Lépreuses, 1939, page 1406 ). — Argot, trivial. Bourrer une fille, une femme. Avoir avec elle des rapports sexuels (sens absent des dictionnaires généraux). · [En parlant d'une femme] Se faire bourrer (Confer Albert Simonin, Touchez pas au grisbi, 1953, page 214; Zola, Germinal, 1885, page 1470). c) Argot, familier. Bourrer le crâne à quelqu'un Raconter des histoires peu vraisemblables, présenter une situation compromise sous un jour mensongèrement favorable. Expressions synonymes : bourrer la caisse, le mou à quelqu'un (Confer René Benjamin, Gaspard, 1915, page 22). · Se bourrer le crâne. Se raconter des bobards. Synonyme : se bourrer la caisse (Confer Céline, Mort à crédit, 1936, page 46). d) Spécialement. CHASSE. vieux " Se dit aussi en parlant d'un chien qui, en poursuivant un lièvre, lui donne un coup de dent, et lui arrache du poil. " (Dictionnaire de l'Académie Française). « Le chien a bien bourré le lièvre » (Dictionnaire de l'Académie française. 1798-1932). Remarque : L'adverbe bien montre qu'il s'agit de coups répétés. B.— [L'idée accessoire de taper à coups répétés devient l'idée dominante] 1. Frapper quelqu'un ou quelque chose. Bourrer quelqu'un de coups et absolument, donner une bourrade : Ø 3. C'était un Justin déchaîné, hurleur et renifleur. Il bourrait Laurent de coups de poings,... GEORGES DUHAMEL, Chronique des Pasquier, Le Combat contre les ombres, 1939, page 219. — Vieux, familier. Donner des coups avec la crosse d'un fusil (Dictionnaire de l'Académie Française). Les gendarmes l'ont bourré (Dictionnaire de l'Académie française. 1878). — Figuré. Maltraiter quelqu'un en paroles, le gourmander. Bourrer quelqu'un dans une dispute. Le presser vivement, en sorte qu'il ne sache pas répondre (Dictionnaire de l'Académie Française 1798; expression considérée comme "vieillie"par Dictionnaire de l'Académie Française 1878). Il bourra tout le monde. 2. Argot. Bourrer la gueule à quelqu'un. Le frapper. Bourrer les portes. Les claquer. 3. Spécialement. CHASSE. — Absolument. [En parlant du chien] Forcer l'arrêt sur le gibier. Chien qui bourre (Grand dictionnaire universel du XIXe. siècle (Pierre Larousse), Grand Larousse encyclopédique en dix volumes); Confer François Vidron, La Chasse en plaine et au bois, 1945, page 7. — Par analogie. MANÈGE. [En parlant du cheval] Foncer, se lancer brusquement en avant contre la volonté de son cavalier : Ø 4. Quelque chose compte en moi, ajoute, parachève le nombre critique qu'attendent les attelages de soleils pour bourrer dans le harnais. PAUL CLAUDEL, Art poétique, 1907, page 142. II.— Emploi absolu [à sens résultatif] Constituer un arrêt à la manière de la bourre ou d'un objet bourré. A.— FONDERIE. [En parlant du plomb qui s'arrête sur le sable et y forme des marrons] Le plomb bourre (Dictionnaire de l'Académie française, Compléments. 1842). Remarque : Attesté aussi dans DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRANÇAISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845, Grand dictionnaire universel du XIXe. siècle (Pierre Larousse), Nouveau Larousse illustré, DICTIONNAIRE ENCYCLOPÉDIQUE QUILLET 1965. B.— [En parlant du rabot, de certains outils, de machines agricoles] Retenir les copeaux, certaines matières dans la lumière " ouverture " au lieu de les laisser passer. Cette varlope bourre (TONY BALLU, Machines agricoles, 1933, page 451 ). III.— Emploi pronominal. A.— Sens réfléchi (confer supra I A). Manger avec gloutonnerie. Se bourrer de pain, de gâteaux. Et absolument : Ø 5. Il mangea les têtes des éperlans frits, pour ne rien laisser perdre, se bourra de pain, prit du fromage, au lieu d'une orange dont il avait envie, parce que le fromage est plus nourrissant HENRI DE MONTHERLANT, Les Célibataires, 1934, page 873. — Au figuré. Se bourrer de raisonnements (HYPPOLYTE-ADOLPHE TAINE, Notes sur Paris, Vie et opinions de Monsieur Frédéric-Thomas Graindorge, 1867, page 192 ). Se bourrer de désordre (JEAN COCTEAU, Les Enfants terribles, 1929, page 22 ). B.— Emploi pronominal réciproque (confer supra I B) Se bourrer de coups. S'accabler mutuellement de coups : Ø 6. Des gens couraient les uns après les autres et se bourraient par amitié de coups de poing;... GEORGES-CHARLES, DIT JORIS-KARL HUYSMANS, Les Soeurs Vatard, 1879, page 135. STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 405. Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 153, b) 610; XXe. siècle : a) 812, b) 769. DÉRIVÉS : Bourratif, -ive, adjectif. Qui bourre. Les pommes de terres sont bourratives. Ces biscuits sont bourratifs (Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française (PAUL ROBERT) Supplément 1970, seule attestation).

« a) ARM?E.

Mati?re (?toupe, papier, etc.) bourr?e dans les armes ? feu au-dessus de la charge pour la retenir et la presser.

Bourre d'un fusil, d'un canon (Dictionnaire de l'Acad?mie Fran?aise); bourre de canon en foin, en terre (Dictionnaire g?n?ral de la langue fran?aise (ADOLPHE HATZFELD, ARS?NE DARMESTETER)); enfoncer la bourre avec la baguette.

Un morceau de papier presque br?l?, noir de poudre, ayant servi de bourre (GUY DE MAUPASSANT, Contes et nouvelles, tome 1, Un Drame vrai, 1882, page 821) : ? 2.

Tout le reste avait ?t? oubli?, (...) sauf cette baguette qu'il tenait, ayant mis dans le canon une forte charge de poudre, puis de la bourre, puis la grenaille; et le voil? qui bourrait encore son arme avec des gestes pr?cipit?s... CHARLES-FERDINAND RAMUZ, La Grande peur dans la montagne, 1926, page 149.

b) TEXTILES.

Partie la plus grossi?re de textiles avec laquelle on fabrique des fils ou ?toffes d'aspect bourru. Bonnet en bourre de laine.

Bourre lanice.

D?chets de laine provenant du peignage.

Matelas de bourre lanice (Dictionnaire de l'Acad?mie fran?aise.

1798-1932).

Bourre tontisse.

D?chets de laine provenant d'une ?toffe de drap tondue.

Bourre de soie.

D?chet de soie gr?ge provenant du d?vidage des bobines (synonyme?: bourrette). Natte ?paisse de bourre de soie (?L?MIR BOURGES, Le Cr?puscule des dieux, 1884, page 120 ).

(Absolument) De la bourre et du calicot (HONOR? DE BALZAC, Correspondance, 1822, page 137 ).

Bourre de Marseille (vieux).

?toffe moir?e, dont la cha?ne ?tait de soie, et la trame de bourre de soie (confer Dictionnaire de l'Acad?mie Fran?aise, Compl?ments 1842, Littr?).

c) MINES.

Mati?re de bourrage pour les trous de mine.

2.

Au figur?.

Remplissage dans une oeuvre litt?raire.

Il y a bien de la bourre dans cet ouvrage (Dictionnaire de l'Acad?mie fran?aise.

1798-1932)?: ? 3.

Mais ce qu'il [Malherbe] ?crit contre les chevilles ou bourres nous para?t tenir ? une conception du vers trop mesquine et trop fausse pour ne pas exiger r?futation. CHARLES-AUGUSTIN SAINTE-BEUVE, Tableau historique et critique de la po?sie et du th??tre fran?ais au XVIe.

si?cle, 1828, page 157.

C.? Par analogie.

1.

BOTANIQUE.

Duvet v?g?tal qui se trouve sur les bourgeons, plus rarement sur les fleurs, feuilles, fruits ou. »

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