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Définition: CAUSE2, substantif féminin.

Publié le 10/11/2015

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Définition: CAUSE2, substantif féminin. Ce qui produit un effet*. Il n'est pas d'effet sans cause (JACQUES BOUCHER DE CRÈVECOEUR DE PERTHES, De la création, tome 2, 1838-41, page 317 ). I.— [L'idée dominante est celle d'origine, de principe] PHILOSOPHIE. A.— Ce qui fait que des choses ou des êtres sont. Dieu est cause des êtres (ÉTIENNE GILSON, L'Esprit de la philosophie médiévale, 1931, page 77) : Ø 1.... l'athée qui, dominé, subjugué par la présence de l'effet, avoue à son propre insu, la nécessité de la cause, suppose la matière comme cause du monde physique, et le peuple ou l'homme comme cause du monde social. LOUIS-GABRIEL A. DE BONALD, Essai analytique sur les lois naturelles de l'ordre social, 1800, page 241. Ø 2.... l'univers doit tout savoir, puisqu'il connaît les causes, étant lui-même la cause sans cause, de toutes les causes. MAURICE MAETERLINCK, L'Autre monde, 1942, page 24. · Par antonomase. Dieu. [L'âne, à l'homme :] Et tu ne consens pas à l'univers, s'il est Comme l'a fait la Cause et non comme il te plaît (VICTOR HUGO, L'Âne, 1880, page 326 ). — Cause suprême, universelle. Dieu : Ø 3.... le monde fut regardé comme Dieu ou comme cause suprême et universelle de tous les effets qu'il produit, et dont l'homme fait partie. CHARLES-FRANÇOIS DUPUIS, Abrégé de l'origine de tous les cultes, 1796, page 2. — Spécialement. · Cause première. " Celle qui agit par elle-même, indépendamment de toute autre cause " (Dictionnaire de la langue philosophique (PAUL FOULQUIÉ, RAYMOND SAINT-JEAN)). Ô toi! Cause première à qui l'effet remonte, Aux yeux de Lucifer voile mon flanc si nu (MAURICE ROLLINAT, Les Névroses, Le Fantôme du crime, 1883, page 5) : Ø 4. Si Dieu est absolu, il n'est pas cause première : une idée de cause implique, en effet, une relation de cause à effet. Si, cherchant à tourner l'obstacle, on suppose qu'il existait par lui-même avant d'être cause et créateur, il cesse d'être infini, car l'infini suppose tous les modes d'existence possibles et simultanés. ÉDOUARD ESTAUNIÉ, L'Empreinte, 1896, page 267. · Cause seconde. Celle qui agit sous la dépendance d'une autre cause. Dieu laisse agir les causes secondes (Dictionnaire de l'Académie française. 1835-1932). SYNTAXE : Cause efficiente*, extrinsèque*, intrinsèque*, occasionnelle*, suffisante*; lien, rapport, relation de cause à effet. B.— Cause finale. Ce qui a pour origine la fin recherchée : Ø 5. Né d'une cause finale, l'univers est nécessairement imprégné de finalité, c'est-à-dire que l'on ne saurait en aucun cas y dissocier l'explication des êtres de la considération de leur raison d'être. ÉTIENNE GILSON, L'Esprit de la philosophie médiévale, 1931, page 107. II.— [L'idée dominante est " ce qui rend compte des conditions de l'existence ou de la nature d'une chose; ce qui permet de comprendre "] A.— 1. Ce qui produit ou occasionne quelque chose. Jamais il n'y eut de nobles effets d'une cause vicieuse (SOPHIE COTTIN, Claire d'Albe, 1799, page 223 ). Il souffrait sans connaître la cause de son mal (JULES SANDEAU, Mademoiselle de la Seiglière, 1848, page 313 ). Tout martyre est pour le grand homme une cause de génie (JACQUES-GABRIEL PROD'HOMME, Les Symphonies de Beethoven, 1921, page 462) : Ø 6.... je la voyais souvent triste sans qu'elle m'expliquât jamais le sujet de ses tristesses, autrement que par une cause physique. ALEXANDRE DUMAS FILS, La Dame aux Camélias, 1848, page 195. Ø 7.... la haine lente, inconsciente, s'aggrava entre Lise et Françoise. Leur bonne tendresse de jadis en arrivait à une rancune sans raison apparente, qui les heurtait du matin au soir. Au fond, la cause unique était l'homme,... ÉMILE ZOLA, La Terre, 1887, page 306. SYNTAXE : a) Une cause apparente, déterminante, directe, fortuite, immédiate, profonde, occulte. b) Descendre des causes aux effets; rechercher les causes d'un échec. — Locutions. a) Locutions verbales. · Avoir pour cause : Ø 8.... il arrive d'ordinaire qu'une génération fait peu de cas de ce pourquoi la génération précédente a donné sa vie. Ces variations ont pour cause l'incertitude de nos idées sur le but à atteindre et sur la fin ultérieure de l'humanité. ERNEST RENAN, L'Avenir de la science, préface, 1890, page XVI. · Être cause de.. Causer, provoquer. C'est toi qui es cause de ma folie, c'est toi aussi qui en es le remède (VICTOR HUGO, Lettres à la fiancée, 1822, page 221 ). Messieurs, vous serez cause de ma ruine (EDMOND DE GONCOURT, JULES DE GONCOURT, Journal, 1858, page 549) : Ø 9. Je sais que l'argent est cause de tous les maux qui désolent nos sociétés si cruelles et dont nous sommes si fiers. ANATOLE-FRANÇOIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, Le Petit Pierre, 1918, page 59. · Être cause que.. Être responsable de ce que. Cela est cause que j'ai tâtonné si longtemps (ANDRÉ GIDE, Les Faux-monnayeurs, 1925, page 1098) : Ø 10. Je vous avouerai, Madame, que je ne puis vous aimer, car vous serez cause que mon fils mourra de la poitrine. HENRI BEYLE, DIT STENDHAL, Lucien Leuwen, tome 3, 1836, page 301. Ø 11. Le choc de l'arrêt en gare de Nevers fut cause que l'ivrogne, de la banquette où il gisait, roula sur le plancher. LOUIS FARIGOULE, DIT JULES ROMAINS, Les Copains, 1913, page 95. b) Locution prépositive. · À cause de. Du fait de. On la croyait moins vieille, à cause de ses cheveux bruns (GUSTAVE FLAUBERT, Trois contes, Un Coeur simple, 1877, page 64 ). On ne pouvait laisser les fenêtres ouvertes, à cause du bruit (ROMAIN ROLLAND, Jean-Christophe, Antoinette, 1908, page 865 ). " Pour l'amour de, en considération de " (Dictionnaire de l'Académie Française). À cause de lui; à cause de cela (Dictionnaire de l'Académie Française). · Pour cause de (+ substantif de l'inanimé sans article, désignant le plus souvent des événements ou des phénomènes fréquents). En raison de. 229. Le mari pourra demander le divorce pour cause d'adultère de sa femme (Code civil des Français (ou Code Napoléon) 1804, page 43 ). Ce proviseur est un digne prêtre, il m'a conseillé de retirer mon petit fantassin pour cause de santé (HONORÉ DE BALZAC, Le Médecin de campagne, 1833, page 253) : Ø 12. Je me rappelle distinctement (...) la visite du médecin, les sangsues qu'on me mit derrière l'oreille, l'inquiétude de ma mère, et la bonne congédiée pour cause d'ivrognerie. AURORE DUPIN, BARONNE DUDEVANT, DITE GEORGE SAND, Histoire de ma vie, tome 2, 1855, page 152. SYNTAXE : Expropriation pour cause d'intérêt public; (en parlant d'un magasin, d'une entreprise commerciale, etc.) fermé pour cause de décès, d'inventaire. Fermé pour cause de première communion (MAUPASSANT, Contes et nouvelles, tome 1, La Maison Tellier, 1881, page 1183). c) Locution conjonctive, vieillie. À cause que.. Parce que : Ø 13. Si les choses nous apparaissent en songe plus grandes, plus belles, plus touchantes ou plus terribles, c'est à cause qu'elles y sont mesurées à la puissance d'un sentiment délivré des liens de la raison. OSCAR VLADISLAS DE LUBICZ-MILOSZ, L'Amoureuse initiation, 1910, page 138. 2. Principe qui inspire une action, ce en vue de quoi on fait quelque chose; visée qui est à l'origine de. Synonymes : mobile, motif, raison : Ø 14.... pourquoi le frère tuait-il ainsi le frère? JEPPO. — Je ne vous le dirai pas. La cause du meurtre est tellement abominable, que ce doit être un péché mortel d'en parler seulement. VICTOR HUGO, Lucrèce Borgia, 1833, I, partie 1, 1, page 10. Ø 15. Peut-être cette jeune fille [Sara] avait-elle été compromise par quelque cause provenant de l'avidité de sa mère (...) elle avait l'air si candide... GÉRARD DE NERVAL, Les Illuminés, 1852, page 205. · Sans cause. Sans raison, sans motif. C'étaient des épanchements sans fin, des gaietés sans cause (GUSTAVE FLAUBERT, L'Éducation sentimentale, tome 1, 1869, page 69 ). Vous tâcherez de combattre ses tristesses sans cause (JOSEPH ARTHUR COMTE DE GOBINEAU, Les Pléiades, 1874, page 300 ). · Locution interjective. Et pour cause Avec raison; pour un motif légitime. Quant à la couleur qui est partie de la peinture, vous faites semblant de la mépriser, et pour cause (EUGÈNE DELACROIX, Journal, 1856, page 12 ). — DROIT. · Avantage recherché, motif qui est à l'origine d'un contrat. Cause d'un contrat, d'une obligation. 1131. L'obligation sans cause, ou sur une fausse cause, ou sur une cause illicite, ne peut avoir aucun effet (Code civil des Français (ou Code Napoléon) 1804, page 204 ). · Locution adverbiale. À ces causes. Pour ces motifs; " en considération de ce qui vient d'être exposé " (Dictionnaire de l'Académie Française). 3. GRAMMAIRE. Complément* circonstanciel de cause. B.— Dans le domaine des sciences expérimentales. Ce qui, en tant que condition constante et nécessaire, a pour corrélation la production d'un phénomène. La même cause produit toujours le même effet : Ø 16. [il s'agit de] saisir dans toutes les circonstances qui accompagnent la production du phénomène celle qui constitue réellement son déterminisme et qui doit être appelée sa cause prochaine. CLAUDE BERNARD, Principes de médecine expérimentale, 1878, page 4. — Cause adéquate. Celle qui fournit une explication suffisante : Ø 17.... les traces cérébrales et les autres dispositifs corporels ne sont pas la cause adéquate des phénomènes de mémoire;... MAURICE MERLEAU-PONTY, Phénoménologie de la perception, 1945, page 472. Remarque : On rencontre dans la documentation le substantif féminin causabilité. Synonyme de causalité. J'ai détruit les principes de causabilité et de finalité, et quatorze doctrines philosophiques (Marcel Aymé, Brûlebois, 1926, page 172). Forme dérivée du verbe "causer" CAUSER1, verbe transitif. Être à l'origine de, avoir pour effet quelque chose (l'effet désigne généralement un dommage). A.— [L'effet est exprimé par le complément d'objet seul, ou par le sujet agent de la forme passive du verbe] Les gelées causent de grands dégâts (CHARLES MAURAIN, La Météorologie et ses applications, 1950, page 163) : Ø 1.... j'ai vu plusieurs fois des opérés mourir le troisième ou le quatrième jour après une opération qui avait causé une perte de sang considérable. AUGUSTE NÉLATON, Élémens de pathologie chirurgicale, tome 1, 1844, page 10. Ø 2. Au contraire de la plupart des hommes, prêts à soulager tous les chagrins du monde fors ceux qu'ils causent eux-mêmes, il voulait qu'elle souffrît le moins possible. HENRI DE MONTHERLANT, Les Lépreuses, 1939, page 1467. — [À la tournure passive] La gale est causée par un acarien (ENCYCLOPÉDIE MÉDICALE DICTIONNAIRE ENCYCLOPÉDIQUE QUILLET. 1965). Remarque : La relation de l'effet avec une personne peut être exprimée par un complément déterminatif ou un adjectif possessif Causer la mort de quelqu'un, causer sa mort : Ø 3.... les quatre ou cinq cents coups de bâton que tu réserves au cheikh de Médyk causeront infailliblement sa mort. MAXIME DU CAMP, Le Nil, Egypte et Nubie, 1854, page 149. B.— [L'effet est exprimé par un complément d'objet premier complété par un complément d'objet secondaire (préposition à), qui indique le retentissement de l'effet sur une personne, ou plus rarement une chose] 1. [L'objet second désigne une personne; l'objet premier désigne un désagrément physique ou moral éprouvé par cette personne] Causer du chagrin, du mal à quelqu'un : Ø 4.... il prétendait avoir un estomac délabré dont les douloureuses digestions lui causaient des insomnies continuelles;... HONORÉ DE BALZAC, Le Lys dans la vallée, 1836, page 195. Ø 5. Je sais que vous avez participé ce matin à un de ces déjeuners d'orgie qu'il a avec une femme qui le déshonore. Vous devriez bien user de votre influence sur lui pour lui faire comprendre le chagrin qu'il cause à sa pauvre mère et à nous tous en traînant notre nom dans la boue. MARCEL PROUST, Le Côté de Guermantes 1, 1920, page 278. — Locutions, rares. Causer (du) préjudice, (du) tort à quelqu'un : Ø 6.... une peur, chez l'homme, d'être repris par sa passion, par sa « faiblesse », et, s'il revoit la femme, de lui causer tort. ROMAIN ROLLAND, Beethoven, tome 2, 1928, page 541. — Rare. [L'objet premier désigne un effet agréable] L'approbation de Votre Éminence me cause une joie précieuse (ANATOLE-FRANÇOIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, L'Orme du mail, 1897, page 8 ). 2. Rare. [L'objet secondaire désigne une réalité vivante autre qu'une personne] : Ø 7. Parfois deux ou trois sangliers descendent de la montagne et causent quelques dommages aux récoltes. HENRI BOSCO, Le Mas Théotime, 1945, page 149. Remarque : 1. Le caractère occasionnel [causer " occasionner "] ou nécessaire [causer " entraîner "] de la relation de cause à effet peut être exprimé par un adverbe (confer supra exemple 3 et 7). La relation nécessaire (principalement dans les cas A) ou habituelle s'exprime aussi par l'idée d'intemporalité ou de répétition habituelle jointe au temps verbal (confer supra exemple 2 et également Charles Maurain, loco citato; Encyclopédie médicale Dictionnaire encyclopédique Quillet, 1965). 2. On rencontre dans la documentation a) Le participe présent adjectivé causant, ante. Qui est cause. L'individualité humaine doit, d'après cette induction très scientifique, à mon sens, doit augmenter par la mort, c'est-à-dire nous faire passer à des conditions plus divines (plus actives, productives, efficaces et causantes). Nous sommes visiblement ici des commencements, des foetus de la vie à venir. Tout montre que nous y marchons (Jules Michelet, Journal, 1849, page 652). b) L'adjectif causateur, trice. Qui est capable de produire un effet. Vertu, force causatrice. La volonté est une puissance causatrice (Cousin, Histoire de la philosophie du XVIIIe. siècle, 1829, page 235). c) L'adjectif causeur, euse. Qui est cause de. Mâles inutiles et causeurs de troubles conjugaux (François Vidron, La Chasse en plaine et au bois, 1945, page 63). DÉRIVÉS : Causation, substantif féminin. Action de causer; rapport de cause à effet. Les choses, dit Machiavel, procèdent gradatim, et le temps, qui dévoile la causation, est le « père de toute vérité » (VLADIMIR JANKÉLÉVITCH, Le Je-ne-sais-quoi et le presque-rien, 1957, page 104 ).

« conditions de l'existence ou de la nature d'une chose; ce qui permet de comprendre "] A.— 1.

Ce qui produit ou occasionne quelque chose.

Jamais il n'y eut de nobles effets d'une cause vicieuse (SOPHIE COTTIN, Claire d'Albe, 1799, page 223 ).

Il souffrait sans connaître la cause de son mal (JULES SANDEAU, Mademoiselle de la Seiglière, 1848, page 313 ).

Tout martyre est pour le grand homme une cause de génie (JACQUES-GABRIEL PROD'HOMME, Les Symphonies de Beethoven, 1921, page 462) : Ø 6....

je la voyais souvent triste sans qu'elle m'expliquât jamais le sujet de ses tristesses, autrement que par une cause physique. ALEXANDRE DUMAS FILS, La Dame aux Camélias, 1848, page 195. Ø 7....

la haine lente, inconsciente, s'aggrava entre Lise et Françoise.

Leur bonne tendresse de jadis en arrivait à une rancune sans raison apparente, qui les heurtait du matin au soir.

Au fond, la cause unique était l'homme,... ÉMILE ZOLA, La Terre, 1887, page 306. SYNTAXE : a) Une cause apparente, déterminante, directe, fortuite, immédiate, profonde, occulte.

b) Descendre des causes aux effets; rechercher les causes d'un échec. — Locutions. a) Locutions verbales. · Avoir pour cause : Ø 8....

il arrive d'ordinaire qu'une génération fait peu de cas de ce pourquoi la génération précédente a donné sa vie. Ces variations ont pour cause l'incertitude de nos idées sur le but à atteindre et sur la fin ultérieure de l'humanité. ERNEST RENAN, L'Avenir de la science, préface, 1890, page XVI. · Être cause de..

Causer, provoquer.

C'est toi qui es cause de ma folie, c'est toi aussi qui en es le remède (VICTOR HUGO, Lettres à la fiancée, 1822, page 221 ).

Messieurs, vous serez cause de ma ruine (EDMOND DE GONCOURT, JULES DE GONCOURT, Journal, 1858, page 549) : Ø 9.

Je sais que l'argent est cause de tous les maux qui désolent nos sociétés si cruelles et dont nous sommes si fiers. ANATOLE-FRANÇOIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, Le Petit Pierre, 1918, page 59. · Être cause que..

Être responsable de ce que.

Cela est cause que j'ai tâtonné si longtemps (ANDRÉ GIDE, Les Faux- monnayeurs, 1925, page 1098) : Ø 10.

Je vous avouerai, Madame, que je ne puis vous aimer, car vous serez cause que mon fils mourra de la poitrine. HENRI BEYLE, DIT STENDHAL, Lucien Leuwen, tome 3, 1836, page 301. Ø 11.

Le choc de l'arrêt en gare de Nevers fut cause que l'ivrogne, de la banquette où il gisait, roula sur le plancher. LOUIS FARIGOULE, DIT JULES ROMAINS, Les Copains, 1913, page 95. b) Locution prépositive. · À cause de. Du fait de.

On la croyait moins vieille, à cause de ses cheveux bruns (GUSTAVE FLAUBERT, Trois contes, Un Coeur 2. »

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