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Définition du terme: CONSOLATEUR, -TRICE, adjectif et substantif.

Publié le 17/11/2015

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Définition du terme: CONSOLATEUR, -TRICE, adjectif et substantif. A.— (Celui, celle, ce) qui console, qui apporte un réconfort religieux ou moral. Ange consolateur. Ces saintes amitiés exerçaient toute leur influence consolatrice et fortifiante (CHARLES, COMTE DE MONTALEMBERT, Histoire de Sainte Elisabeth de Hongrie, duchesse de Thuringe (1207-1231), 1836, page XCIX) : Ø 1. Le Journal, je l'avais commencé depuis plusieurs années, (...) Mais aussitôt après son départ [de Geneviève] , je l'ai repris. Il a été mon confident et quelquefois mon consolateur. HENRI BOSCO, Le Mas Théotime, 1945, page 301. SYNTAXE : Divin consolateur; espoir consolateur; mots consolateurs; voix consolatrice. — [Avec une nuance de soulagement physique s'ajoutant au réconfort moral] L'escalier de service (...) le menait (...) vers ces déesses subalternes : consolatrices aux bras forts (PAUL-JEAN TOULET, Mon amie Nane, 1905, page 194) : Ø 2. Je n'avais pas encore à cette époque éprouvé la sensation que produit l'un de ces rayons consolateurs, quand il vient à percer furtivement les ténèbres d'un cachot. JEAN DUSAULX, Voyage à Barège et dans les Hautes-Pyrénées fait en 1788, tome 1, 1796, page 337. B.— Spécialement. 1. RELIGION CHRÉTIENNE. a) (Esprit) consolateur. Le Saint-Esprit. Ils reviennent chez eux bénissant le Seigneur En attendant Ton jour, Esprit consolateur! (FRANCIS JAMMES, Les Géorgiques chrétiennes, Chant 4, 1911, page 53 ). b) Consolatrice des affligés. La Vierge. Salut, vous qui êtes bénie entre toutes les femmes, Refuge des pécheurs, Consolatrice des affligés! (FRANÇOIS-RENÉ DE CHATEAUBRIAND, Les Martyrs ou le Triomphe de la religion chrétienne, tome 3, 1810, page 171 ). 2. Argot. Celui qui incite à jouer à la consolation, bonneteur (Confer Hogier-Grison (PSEUDONYME COLLECTIF), Les Hommes de proie, Le Monde où l'on triche, 1re. série, 1886, page 210). STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 338. Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 702, b) 436; XXe. siècle : a) 593, b) 246.

« religion chr?tienne, tome 3, 1810, page 171 ).

2.

Argot.

Celui qui incite ? jouer ? la consolation, bonneteur (Confer Hogier-Grison (PSEUDONYME COLLECTIF), Les Hommes de proie, Le Monde o? l'on triche, 1re.

s?rie, 1886, page 210).

STATISTIQUES?: Fr?quence absolue litt?raire?: 338.

Fr?quence relative litt?raire?: XIXe.

si?cle?: a) 702, b) 436; XXe.

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