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Définition et usage du mot: BARBE2, adjectif.

Publié le 02/11/2015

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Définition et usage du mot: BARBE2, adjectif. Cheval barbe. Cheval de selle, de race orientale (Barbarie). — Emploi comme substantif. Un barbe. " Son barbe cordouan, rétif, faisait des voltes/Et hennissait... " (José Maria de Hérédia, Les Trophées, 1893, page 198) : Ø Mergy observa, non sans quelque étonnement l'adresse de Mme. de Turgis à manier son cheval, et (...) dut à la bonté du barbe qu'il montait de ne pas se séparer d'elle. PROSPER MÉRIMÉE, Chronique du règne de Charles IX, 1829, page 99. Forme dérivée du verbe "barber" barber BARBER, verbe transitif. Populaire et familier. Ennuyer, assommer, raser : Ø 1. Le fait est qu'il ne perd aucune occasion de nous barber avec ses expériences dramatiques. PAUL CLAUDEL, Le Ravissement de Scapin, 1952, page 1341. · Importuner, poursuivre quelqu'un de ses réclamations, de ses récriminations : Ø 2. J'avais un boulot du diable, je vais barber tout le monde pour avoir des munitions, je reviens à quatre heures. ANDRÉ MALRAUX, L'Espoir, 1937, page 589. Remarque : Selon DICTIONNAIRE ALPHABÉTIQUE ET ANALOGIQUE DE LA LANGUE FRANÇAISE (PAUL ROBERT ) Supplément 1970 " avec un sujet de personnes, moins usuel que les autres emplois ". — Emploi pronominal : Ø 3. Eh bien, c'est juste la coiffure que Landoff m'avait inventée pour le Wintergarten de Berlin, l'année que je me suis tant barbée à chanter le « petit cohn! » GABRIELLE COLLETTE, DITE COLETTE, Claudine s'en va, 1903, page 211.

« ? Emploi pronominal?: ? 3.

Eh bien, c'est juste la coiffure que Landoff m'avait invent?e pour le Wintergarten de Berlin, l'ann?e que je me suis tant barb?e ? chanter le ? petit cohn! ? GABRIELLE COLLETTE, DITE COLETTE, Claudine s'en va, 1903, page 211.. »

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