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Faire un compte-rendu Passé composé La concordance des temps Les homophones L'accord de l'adjectif Le groupe

Publié le 05/04/2015

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Faire un compte-rendu Passé composé La concordance des temps Les homophones L'accord de l'adjectif Le groupe nominal et ses constituants Q U A T R I E M E P L A N D E T R A V A I L Pour faire le compte-rendu des visites que tu as faites avec ta classe, tu as besoin de maîtriser le passé composé et donc l'accord du participe passé, la concordance des temps, et l'accord des différents constituants du groupe nominal pour faire tes descriptions... A toi de jouer ! Compte-rendu de la visite de la Basilique St Sernin, Toulouse, par les Cm1 de Montgiscard 1. La mort de Saint-Sernin. Au 3 ème siècle après Jésus-Christ, les Romains occupaient toute la région de Toulouse. Ce jour là, les Romains devaient faire un sacrifice de taureau, mais Saint-Sernin passait par là. Les Romains décidèrent de sacrifier Saint-Sernin au lieu du taureau parce qu'il était le premier évêque de la ville. Ils attachèrent Saint-Sernin par les pieds et accrochèrent la corde aux cornes du taureau. Et ils piquèrent la croupe de l'animal. Le taureau a couru jusqu'au bout de la rue appelée plus tard la rue du Taur. Puis on a trouvé Saint Sernin mort. Depuis, à cet endroit, s'élève la basilique. 2. L'extérieur du monument. Dans le style roman les ouvertures sont arrondies. Presque toute la basilique est romane. Dans le style gothique le haut des ouvertures est en pointe: les ouvertures gothiques sont apparues beaucoup plus tard. Vue du ciel, la basilique est en forme de croix. Elle est bâtie en brique et en pierre. La construction de la basilique St Sernin a duré 2 siècles et demi. Les deux derniers étages du clocher sont de style gothique. A St Sernin, il y a plusieurs portes : une pour les pèlerins, une pour les habitants de Toulouse, une pour les rois, une pour les religieux et une autre pour les comtes. Le matériau le plus cher est la pierre, qu'on faisait venir des Pyrénées. La pierre montre la richesse de la basilique : au début (vers le choeur) on voit beaucoup de pierre , ce qui prouve qu'ils avaient de l'argent ; mais de l'autre côté , il n'y a presque que de la brique. Donc on sait que les moines n'avaient presque plus d'argent pour acheter de la pierre vers la fin de la construction. 3. L'intérieur Le choeur : est la partie la plus importante parce que les pèlerins y priaient. Autour il y a des petites chapelles où on trouve des reliques de plusieurs saints. La crypte : elle est dans le sous-sol du choeur. Il y a des reliques (une épine de la couronne du Christ) et des coffres où il y avait des corps. La nef : c'est la partie la plus longue du bâtiment. Elle mesure 109 m de long. Les gens s'asseyaient sur des bancs pour écouter la messe. Au fond, il y a les reliques de Saint Sernin. Les couloirs (ou les bas-côtés) étaient séparés de la nef par des piliers. C'est là que les pèlerins circulaient pour ne pas gêner ceux qui écoutaient la messe. Les galeries : elles sont au-dessus des couloirs. Leurs fen&e...
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« a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 1 - Conjugue les verbes suivants au temps qui convient : ƒ Meg Murry ne dort pas cette nuit.

Dehors, la tempête fait rage et son père (partir) depuis si longtemps..

.

Charles Wallace, son petit frère, (être) dans la cuisine.

Il (attendre) Meg.

Il (savoir) qu’elle (aller) descendre.

Et qu’une fabuleuse vieille dame, Mrs Quiproquo, (aller) frapper à la porte et les emmener à la recherche de leur père dans la 5ème dimension.

Un raccourci dans le temps, M.

L’Engle, Pocket Junior 2 - Conjugue les verbes suivants au temps qui convient : ƒ Calvin entraîna Meg à travers la pelouse.

Les arbres (étirer) leurs longues silhouettes.

Il (flotter) un parfum d’automne, lourd et sucré.

Meg (trébucher) à l’endroit où le terrain (descendre) en pente, mais la main vigou- reuse de Calvin la (retenir).

Ils (traverser) prudemment le jardin potager des jumeaux, au milieu des rangées de choux, betteraves, brocolis et citrouilles.

Sur leur gauche le maïs (dresser) haut ses épis, face à eux le petit verger bordé d’un muret de pierre (offrir) ses pommes.

Un raccourci dans le temps, M.

L’Engle, Pocket Junior 3 - Conjugue les verbes suivants au temps qui convient : ƒ Le Nautilus, le sous-marin du Capitaine Némo, est attaqué par des pieuvres énormes.

Aussitôt un de ses longs bras (se glisser) comme un serpent par l’ouverture, et vingt autres (s’agiter) au- dessus.

D’un coup de hache, le capitaine Némo (couper) ce formidable tentacule, qui (glisser) sur les échelons en se tordant.

Au moment où nous (se presser) les uns les autres pour atteindre la plate-forme, deux autres bras, cinglant l’air, (s’abattre) sur le marin placé devant le capitaine Némo et l’(enlever) avec une force irrésistible.

Le capitaine Némo (pousser) un cri.

Nous (se précipiter) à sa suite.

20000 lieues sous les mers, Jules Verne, 1870.

CONJ ► EMPLOYER LE BON TEMPS GRAM ► LES CONSTITUANTS DU GN : DETERMINANTS, NOMS, EXPANSIONS DU NOM.

ORTH► CHOISIR LA BONNE TERMINAISON : E/ ER/AIS/AIT 1.

Ecris la bonne terminaison entre er et é : ƒ J’ai essay(é/er) et ça a march(é/er) ! ƒ Tu devrais peut-être mont(é/er) sur la chaise.

ƒ Nous avons envoy(é/er) cette lettre hier.

ƒ Le chat, après avoir saut(é/er), a fait s’envol(é/er) les oiseaux.

ƒ Elle a pu parl(é/er) sans interruption. 2.

Ecris la bonne terminaison entre er/é/ais/ait : ƒ Je finis de mang(é/er).

ƒ Il part(é/er/ais/ait) loin.

ƒ Il a choisi d’all(é/er/ais/ait) au travail pour se chang (é/er/ais/ait) les idées.

ƒ Alors que tu chant(é/er/ ais/ait), la pluie s’est mise à tomb(é/er/ais/ait).

ƒ J’aim(é/er/ais/ait) bien all(é/er/ais/ait) à la plage cet été.

3.

Ecris la bonne terminaison entre er/é/ais/ait : ƒ Tu commences à m’agac(é/er).

ƒ Elle port(é/er/ ais/ait) des bagues à chaque doigt.

ƒ Lorsque j’ét(é/ er/ais/ait) petit, je voul(é/er/ais/ait) m’en all(é/er/ ais/ait).

ƒ Elle a pay(é/er/ais/ait) les bonbons et les a distibu(é/er/ais/ait).

ƒ Ils ont jet(é/er/ais/ait) les morceaux sans cherch(é/er/ais/ait) à les recoll(é/er/ ais/ait).

1.

Recopie le texte, encadre les noms, souligne les déterminants et les expansions du nom : ƒ Au premier plan se tordaient les squelettes convulsifs de quelques vieux ormes tourmentés (...) dont les branches noires (...) se détachaient sur un ciel gris jaune très bas et gros de neige, qui ne laissait filtrer qu’un jour livide ; au second plan, s’étendaient des plaines dépouillées de cultures qui bordaient près de l’horizon des collines pelées ou des lignes de bois roussâtres.

De loin en loin, comme une tache de craie, quelque masure dardant une légère spirale de fumée apparaissait entre les brindilles menues de ses clôtures.

Théophile Gautier 2.

Souligne le, la, l’ seulement s’ils sont des arti- cles : ƒ La méchante reine reconnut Blanche Neige.

Elle la salua et lui proposa la pomme la plus belle qui soit.

Blanche Neige la prit et la croqua.

La Reine, heureuse d’être enfin débarrassée de la jeune fille, quitta la forêt pour rejoindre le château du Roi.

Elle consulta de nouveau le miroir qu’elle craignait tant.

Elle l’interrogea et fut satisfaite de l’entendre répondre : “tu es la plus belle”.

Elle le remercia, quitta la chambre pour se rendre aupès du Roi qui l’attendait pour le bal.. »

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