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HISTOIRE DE LA TECHNOLOGIE MILITAIRE

Publié le 02/05/2019

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histoire

différentes économies. L'économie la plus forte, celle qui est en mesure de produire le plus rapidement possible des armes plus sophistiquées et en plus grande quantité, peut s'assurer la victoire, même si les technologies et les quantités ont une importance relative. Israël a régulièrement triomphé de ses adversaires arabes malgré son désavantage en termes qualitatifs, quantitatifs et économiques. Le facteur humain et l'impondérable sont aujourd'hui encore des éléments décisifs quant à l'issue d'un conflit armé.

Il faut en outre enregistrer la tendance de la part des pays les plus industrialisés à déplacer l'affrontement militaire de la lutte entre les hommes à l'affrontement entre systèmes d'armes et technologies. Tous les projets américains visent à remporter la victoire sur le champ, en frappant avec des armes intelligentes à longue portée, en limitant de plus en plus le recours à la « reine des batailles » traditionnelle : l'infanterie. Cet effort ne s'accorde d'ailleurs pas avec les dures nécessités des « guerres à basse intensité », où les technologies les plus avancées ne suffisent pas à décider de l'issue des conflits.

 

Si l'on envisage le progrès et les développements technologiques dans le domaine des armements, on doit enfin rappeler que les armes en elles-mêmes ne sont ni « bonnes » ni « mauvaises ». Faire la distinction entre armes défensives et armes offensives n’a plus de sens. Comme il arrive toujours, tout dépend de l'usage que l'homme fait des instruments qui lui sont offerts par la technologie.

histoire

« 2 différentes économies.

L'économie la plus forte, celle qui est en mesure de produire le plus rapidement possible des armes plus sophistiquées et en plus grande quantité, peut s'assurer la victoire, même si les technologies et les quantités ont une importance relative.

Israël a régulièrement triomphé de ses adversaires arabes malgré son désavantage en termes qualitatifs, quantitatifs et économiques.

Le facteur humain et l'impondérable sont aujourd'hui encore des éléments décisifs quant à l'issue d'un conflit armé. Il faut en outre enregistrer la tendance de la part des pays les plus industrialisés à déplacer l'affrontement militaire de la lutte entre les hommes à l'affrontement entre systèmes d'armes et technologies.

Tous les projets américains visent à remporter la victoire sur le champ, en frappant avec des armes intelligentes à longue portée, en limitant de plus en plus le recours à la « reine des batailles » traditionnelle : l'infanterie.

Cet effort ne s'accorde d'ailleurs pas avec les dures nécessités des « guerres à basse intensité », où les technologies les plus avancées ne suffisent pas à décider de l'issue des conflits. Si l'on envisage le progrès et les développements technologiques dans le domaine des armements, on doit enfin rappeler que les armes en elles-mêmes ne sont ni « bonnes » ni « mauvaises ».

Faire la distinction entre armes défensives et armes offensives n’a plus de sens.

Comme il arrive toujours, tout dépend de l'usage que l'homme fait des instruments qui lui sont offerts par la technologie.. »

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