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RESUME DU CHAPITRE SUR L'INCONSCIENT

Publié le 04/06/2012

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Freud: psychiatre et neurologue autrichien, il va élaborer ce que certains philosophes avaient subodoré : tel un iceberg, la conscience n’est que la partie visible de l’appareil psychique. L’inconscient n’est plus un degré inférieur de la conscience, une conscience en quelque sorte moins intense, il est autre chose que la conscience il désigne« tout processus psychiques dont l’existence nous ai démontrée par ses manifestations, mais dont nous ignorons tout bien qu’il se découle de nous ï¿½ Freud. C’est un inconscient tr�s obscur, souterrain, caché fait de pulsions et de désirs inavouables, Comme l’a dit un de ces collaborateurs Carl Gustav Jung « En chacun de nous, existe un autre être que nous ne connaissons pas. Il nous parle à travers le rêve, et nous fait savoir qu’il nous voit bien différent de ce que nous croyons être. ï¿½ L’hypoth�se de l’inconscient pose que des pensées inconscientes sont efficaces, dynamiques, et qu’une force les maintient à l’écart de la conscience. Cette force est celle du refoulement. 

« Les philosophes du Soupçon » : A l’entrée du XXème siècle, Freud publie ses leçons sur la psychanalyse ( 5 leçons sur la psychanalyse 1905) dans le contexte de ce que Pierre Ricoeur nomme « l’ère du soupçon ».

Il existe 3 grands « philosophes du soupçon » : Marx (1818- 1893) Nietzsche (1849- 1900) et évidemment Freud (1856-1939).

Qu’estiment- ils suspect ? Vis-à -vis de quoi sont -ils suspicieux, dubitatifs ? Ils estiment suspects la métaphysique (croyance en un absolu), l’ère du soupçon est en effet caractérisée par une « crise de la métaphysique » : Nietzsche qualifie Dieu d’Idole, Or Idole > Illusion, donc Dieu s erait une Illusion.

(cf : Le crépuscule des Idoles Nietzsche) Ces « nouveaux » philosophes veulent en effet, nous annoncer la fin des Illusions, soit la fin de la croyance en un Dieu Absolu mais aussi que l’homme n’est pas libre, qu’il ne possède pas de li bre-arbitre, « les philosophes du soupçon » ne pensent pas que l’homme est sujet : la maison de l’homme, son point d’encrage, ses fondements ne sont pas la raison, la conscience, la liberté.

Les philosophes du soupçon ne sont pas des philosophes au sens classique du terme puisqu’ils remettent en cause l’Idée de Vérité qui est au cœur des philosophes Idéalistes tels que Platon, mais aussi des philosophes rationalistes comme Descartes.

Se sont des philosophes caustiques, cyniques, provocateurs qui usent et abusent d’aphorismes (formules chocs, saisissantes).

Nietzsche: il se proclame lui -même le plus grand philosophe de tous les temps > très orgueilleux.

Pour Nietzsche, prendre conscience c’est se mutiler, car la richesse de nos sentiments, nos émotions, nos souvenirs s’accordent mal avec la parole réductrice.

C’est en ce sens que la conscience est superflue : « Ce dont nous avons conscience, que c’est peu de chose », c’est en ce sens que la conscience est superflue.

L’inconscient, plus profond, plus acces sible, est bien plus riche ; plus élaboré.

La conscience appauvrit la vie lorsqu’on en fait la seule source de connaissance.

Nos instincts recèlent de plus grandes ressources que ce qui en devient conscient.

Marx: confère la feuille « IV.

Obstacles et limites à la conscience » du chapitre sur la Conscience.

» Freud: psychiatre et neurologue autrichien, il va élaborer ce que certains philosophes avaient subodoré : tel un iceberg, la conscience n’est que la partie visible de l’appareil psychique.

L’inconsci ent n’est plus un degré inférieur de la conscience, une conscience en quelque sorte moins intense, il est autre chose que la conscience il désigne« tout processus psychiques dont l’existence nous ai démontrée par ses manifestations, mais dont nous ignorons tout bien qu’il se découle de nous » Freud.

C’est un inconscient très obscur, souterrain, caché fait de pulsions et de désirs inavouables, Comme l’a dit un de ces collaborateurs Carl Gustav Jung « En chacun de nous, existe un autre être que nous ne connai ssons pas.

Il nous parle à travers le rêve, et nous fait savoir qu’il nous voit bien différent de ce que nous croyons être.

» L’hypothèse de l’inconscient pose que des pensées inconscientes sont efficaces, dynamiques, et qu’une force les maintient à l’écar t de la conscience.

Cette force est celle du refoulement.. »

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