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Sexualité et Pornographie

Publié le 23/11/2012

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C'était une journée d'école banale... comme les autres. J'étais encore au secondaire quand deux jeunes femmes sont entrées dans mon cours de français. Elle venait faire de la prévention contre les maladies transmises sexuellement. Je me suis dit que je ne devais pas vraiment écouter car je croyais que ça ne me concernait pas vraiment les MTS. À la fin de la présentation, elles nous ont remis un dépliant avec des statistiques. Je ne peux pas me rappeler la majorité mais une seule est gravée dans mon esprit. Ça disait que la chlamydia, une maladie transmise sexuellement, était très rependue chez les jeunes du secondaire. J'étais choqué mais je n'ai pas voulu m'informer d'avantage sur le sujet. Alors aujourd'hui, après la lecture du recueil de sexualité, je me suis souvenu de cet évènement et les textes m'ont éclairé un peu sur quelques sujets. En premier lieu, pourquoi les adolescents ne sont pas bien informés à propos des relations sexuelles et comment, selon moi, devrait-on éduquer la sexualité chez les...

« de pénétration non protégée est fortement favorisée dans les films pornographiques.

Il est évident que les deux personnes qui font l’amour dans les films ont déjà fait leur pour les MTS.

Ils sont donc tous les deux « safe » .

En est-il ainsi dans la vraie vie des adolescents ? Dans un « party » , demandons-nous à notre partenaire s’il est infecté ou s’il a déjà faite un test sur les MTS? Non! Nous ne nous préoccupons pas de cela alors la relation sexuelle sans protection ne nous semble pas un problème.

C’est justement là que les infections se transmettent et parfois même sans le savoir (la chlamydia ne présent souvent aucun symptôme).

Alors, croire que justement devant ton écran d’ordinateur, les relations sexuelles se passent sans protection, ça ne veut pas dire que tu ne dois pas te protéger pour autant.

Eux c’est leur métier et ils font le nécessaire avant chaque relation sexuelle. La solution est simple selon moi.

Le choix inconscient ou non de laisser notre enfant faire sa propre éducation sexuelle et de laisser la pornographie disponible amène de la confusion.

En effet, parle passé, il y avait un cours d’éducation sexuelle au secondaire.

Oui! On pouvait lui reprocher plusieurs choses mais avec le nombre de réformes qu’on a fait dans le milieu scolaire pourquoi ne pas réformer cette compétence très importante qui pourrait, selon moi, remplacer un ou deux cours d’éthique et de culture religieuse (qui n’est pas mauvais non plus mais au moins en remplacer quelques-uns !) Le cours devrait aborder des sujets sérieux que les jeunes ont habituellement peur de parler.

Par exemple : o ù se situe le clitoris, les orgasmes qu’est que c’est, comment reconnaitre les symptômes de MTS.

Des choses vraiment utiles à notre cheminement sexuel en devenir ! Oui on peut toujours apprendre comment mettre un condom mais il est important d’avoir un temps o ù on peut s’informer sur des sujets sans nécessairement avoir l’air d’être obsédé au dans un bureau « caché » d’un psychologue à l’école pour poser nos questions.

Selon moi, la sexualité est encore un sujet tabou et avec la réintégration d’un cours sérieux sur la sexualité, on serait bien mieux informé et on aurait moins peur d’en parler ouvertement.. »

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