Analyse des articles.
Publié le 12/11/2011
Extrait du document
Dans cet article, on parle de la tailla de Sarkozy, le président de France, le journaliste essaie de faire une critique physique d’une personnalité publique, dans le but de le ridiculiser. En effet, nous retrouvons dans l’article deux informations qui confirme ce que je viens de dire, le premier c’est la sélection des ouvriers qui se tient derrière le président ne dépasse pas sa taille, et l’autre c’est quand on parle de sa femme qui porte des talents plats alors que les semelles des chaussures de son mari sont compensées, et cela, pour montrer au public que le président veux pas paraître trop petit. Alors, cet article ne suscite pas notre attention dans la pertinence des informations invoquées, car ces informations nous n’ont parmi pas de questionner la compétence ou l’aptitude de Sarkozy sur le plan professionnel.
Article le moins lésé: « Droit a l’image : La Cour suprême donne tort aux médias». Boisvert, Yves, La presse, 11 avril 1998, p.A6
Dans ce texte, on parle d’une jeune femme qui s’est fait prendre accidentellement en photo à son issue et qui réclame un dédommagement. Celle-ci soutient qu’elle a reçu une atteinte à sa vie privée, car lors de la publication de sa photo dans un magazine, ses camarades se sont moqués d’elle. Cette mésaventure est selon nous le cas le moins lésé, car elle n’a reçu aucun dommage qui a pu être prouvé. Cette photo ne diminue pas sa qualité de vie. Or, la jeune femme a simplement voulu profiter de la situation et réclamer par la suite un montant d’argent en affirmant que le magazine n’a pas pris sa permission lors de la prise de la photo et que sa vie privée a été violée.
Toutefois, les juges ne lui ont pas donné raison, car elle n’était pas considérée comme l’image principale, mais seulement comme une image accessoire. Donc, dans une telle situation la permission n’était pas requise.
. Cet article porte sur un prof d’éducation physique qui est accusé d’agression sexuelle et de contact sexuel aux dépens de 19 fillettes. Sauf que ces accusations sont basées sur des rumeurs, et toutes les victimes ont la même histoire, c’est qu’elles avaient subie à des touches sexuelles soit dans le cours ou bien dans le bureau du prof et toujours devant des témoins sauf que ces témoins n’avaient rien vu.
Toutefois, le juge lui a donné raison, car il était clair qu’il était victime d’une accusation basée sur une rumeur et a de faibles témoignages. Donc, dans une telle situation la permission n’était pas requise. Donc ce professeur ne représente aucun danger sur le public.
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