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Commentaire de la fin de Notre Dame de Paris de Victor Hugo ( l'exécution d'Esméralda )

Publié le 05/11/2011

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hugo

Introduction + plan possible + conclusion 

 

INTRODUCTION : 

          Le romantisme est apparut au milieu du XVIIéme siècle en Grande Bretagne et n'apparait en France qu'au début du XIX eme siècle . Ce nouveau genre se caractérise par l'expression des tourments du coeur et de l'âme . C'est à ce genre romanesque qu'appartient Victor Hugo , écrivain du XIX eme siècle connu pour ses oeuvres comme Les Misérables et Notre-Dame de Paris . Nous allons étudier un extrait de cette dernière oeuvre , écrite en 1831 . Elle est traite l'histoire de Quasimodo , un sonneur de cloche sourd et bossu et d'Esmeralda , une gitane pour qui Quasimodo est amoureux . Le passage que nous allons étudier , se situe a la fin du roman lors de l'exécution d'Esmeralda .

          Nous nous demanderons en quoi cet extrait a une connotation tragique .

          Nous nous interrogerons alors sur l'intérêt dramatique du passage ,le pathétique puis sur l'opposition entre le bien et le mal . 

 

PLAN PROPOSE : 

I/ L'intérêt dramatique du passage 

  1. Une scène de "spectacle"
  • champs lexical du regard
  • une foule est présente et veut assister au spéctacle 
  • focalisation du regard de Quasimodo sur Esmeralda 
  • le peuple est malsain car il souhaite insister à la scène 
  1. Les actions en train de se dérouler 
  • Victor Hugo insiste sur le deroulement des actions 
  • les phrases sont breves 
  • actions sont au passé simple 
  1. Progression des actions 
  • acceleration de l'action 
  • coup de theatre , la scene se termine par une action grave ( mort de Dom Frollo) , au lieu d'une mort il y en a deux "tout à coup" , "se ruant sur lui " ... ces exemples soulignent l'action impuslive de Quasimodo , c'est un meurtre de vengeance juste sur le lieu de l'execution . 

II/ Le pathetique 

  1. L'imuissance de Quasimodo 
  • inquietude pour Esmeralda "brulait de "
  • Impression que Quasimodo est seul fasse a cette catastrophe 
  • il ne peut pas savoir tout de suite ce qui se passe
  • il voit Esmeralda que lorsqu'elle est en train de mourrir ( pendue ) 
  • le souffle etant la vie , Quasimodo semble perdre la vie losque son souffle est coupé = sa vie est etroitement liée a celle d'Esmeralda 
  • il ne peut rien faire devant l'execution de celle qu'il aime , assiste a une souffrance horrible 
  1. La solitude d'Esmeralda 
  • elle ne represente rien pour la societe "egyptienne" c'est ainsi que l'appelle les gens de la foule 
  • Hugo prend parti " malheureuse enfant ", "chose blanche ..." 
  • Il utilise un crescendo de "l'egyptienne" a "malheureuse enfant" , de plus il insiste sur son jeune age et le fait qu'elle ne merite pas de mourrir sans procés 
  • elle est l'objet dans les phrases et non sujet , ce qui montre qu'elle n'a aucune valeur dans la societe 
  1. Horreur de la mort 
  • elle est victime d'une justice arbitraire est donc innocente , a cause de Frollo " ce qu'il avait fait de " 
  • Métaphore + antithèse = fille innocente prise au piege par les homme ( societe ) 
  • le romancier est sensible a cette mort oragnisee par la presence du bourreau qu'il ne designe pas par sa fonction mais par la periphrase "l'homme" 
  • tout est fait pour qu'elle n'echape pas a sa mort 
  • la corde semble etre animée ( phrase sur la corde )

III/ L'opposition entre le bien et le mal 

  1. le presence du mal 
  2. le bien 
  3. un chatiment divin ? 

CONCLUSION + OUVERTURE : 

Dans cet extrait d'un roman historique , Hugo a crée 2 figures tres contrastées l'une qu'on peut associer au bien Esmeralda et la bete en Quasimodo qui peut etre un peu sauvage mais qui se hisse au rang de heros en vengeant Esmeralda .A travers cette execution qui se passe au moyen age , Hugo dénonce toute l'horreur des executions capitales en place publique et fait en sorte que le lecteur participe aux souffrance de l'héroïne .

Sous un cadre medieval , Hugo denonce une injustice frequente a son epoque celle de l'opressions des petits par les plus puissants et finallement l'absence de justice . 

CONSEIL POUR LA REDACTION D'UN COMMENTAIRE : 

Ne pas mettre de titres , toujours introduire un exemple , faire minimun deux parties et maximun trois composées de deux ou trois sous parties . 

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