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Commentaire fin du chapitre 13 Au bonheur des dames

Publié le 20/01/2013

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Nous allons étudier la Fin du chapitre 13 de Au Bonheur des Dames, à partir de « Denise, cette nuit là, eut encore une insomnie « à « devant la misère sacrée des vaincus «. Ce texte est tiré du roman d'Emile Zola qui est un écrivain français instaurateur du naturalisme en littérature. Zola était un homme perfectionniste et précis il a donc énormément travaillé sur ses brouillons pour réussir à faire ce roman qui contient de nombreux détails. Dans cette partie du texte, l’auteur décrit ce que Denise endure sur son lieu de travail. Cette étude sera formée de deux grands axes. Le premier nous expliquera en quoi il y a transfiguration du réel dans l’image qui nous est donnée du magasin, puis, grâce au second nous allons comprendre en quoi ce texte exprime la prise de conscience tourmentée du personnage de Denise face aux bouleversements provoqués par le grand magasin. Pour débuter, dans ce premier axe, nous allons expliquer en quoi il y a transfiguration du réel dans l’image qui nous est donnée du magasin. Il y a tout d’abord transfiguration du réel grâce a la souffrance de Denis, comme nous le décrit l’expression: « elle venait de toucher le fond de son impuissance «. Zola analyse d’abord le magasin à travers toute cette souffrance qui est décrite avec le champ lexical de la souffrance : « impuissance «, « pas un soulagement «, « la mort «, « la lutte «, « pleurs « « souffrante «… De plus, il amplifie intentionnellement sa peine grâce a toute les interrogations posées : « n’y avait-elle pas saigné ? Ne l’avait-on pas meurtrie, chassée, trainée dans l’injure ? « tout ceci afin d’afficher la dureté du grand magasin. Enfin l’auteur crée une transfiguration du réel du grand magasin en utilisant des hyperboles pour révéler sa puissance,: « Et la force qui balayait tout, l’emportait« ; « au milieu de la besogne du monstre «. Mais la description désigne aussi le grand magasin comme une ½uvre, « Mouret avait inventé… «, « la grandeur de son ½uvre «. Le grand magasin, Au Bonheur des dames est donc un endroit où la douleur, et l'acharnement sont présents tout le temps. Denise étant une vendeuse qui subit toute cette souffrance prend conscience du bouleversement provoqué par le grand magasin. Maintenant nous allons comprendre en quoi ce texte exprime la prise de conscience tourmentée du personnage de Denise face aux bouleversements du grand magasin. En effet Denis semble tourmentée par la force du grand magasin, « Denise, cette nuit-là, eut encore une insomnie. «, « encore « nous indique que ce n’est pas la première fois qu’elle est insomniaque ce qui montre bien qu’elle est préoccupée par la grandeur du magasin. Nous comprenons que Denise s’est rendu compte que son combat est inutile contre le grand magasin, « elle ne se débattait plus «. Denise prend conscience du bouleversement provoqué par le Bonheur quand elle décrit le malheur des petits commerçants dans le quartier « devant la misère sacrée des vaincus « ; « le quartier de ruines «… Toute cette description bouleverse Denise, « dont le fonctionnement brutal l’indignait « ; « le flot de larmes qui la soulevait «. Mais malgré tout Denise est amoureuse de Mouret et le dit clairement dans ces deux expressions : « elle l’aimait quand même pour la grandeur de son ½uvre « ; « elle l’aimait davantage à chacun des excès de son pouvoir « Pour conclure, cette partie de texte d’Emile Zola nous a prouvé que les magasins comme le " Bonheur des dames ", pouvaient bouleverser la vie des vendeurs, des commerçants et de la clientèle.

« de son ½uvre ».

Le grand magasin, Au Bonheur des dames est donc un endroit où la douleur, et l'acharnement sont présents tout le temps.

Denise étant une vendeuse qui subit toute cette souffrance prend conscience du bouleversement provoqué par le grand magasin. Maintenant nous allons comprendre en quoi ce texte exprime la prise de conscience tourmentée du personnage de Denise face aux bouleversements du grand magasin.

En effet Denis semble tourmentée par la force du grand magasin, « Denise, cette nuit-là, eut encore une insomnie. », « encore » nous indique que ce n'est pas la première fois qu'elle est insomniaque ce qui montre bien qu'elle est préoccupée par la grandeur du magasin. Nous comprenons que Denise s'est rendu compte que son combat est inutile contre le grand magasin, « elle ne se débattait plus ». Denise prend conscience du bouleversement provoqué par le Bonheur quand elle décrit le malheur des petits commerçants dans le quartier « devant la misère sacrée des vaincus » ; « le quartier de ruines »… Toute cette description bouleverse Denise, « dont le fonctionnement brutal l'indignait » ; « le flot de larmes qui la soulevait ».

Mais malgré tout Denise est amoureuse de Mouret et le dit clairement dans ces deux expressions : « elle l'aimait quand même pour la grandeur de son ½uvre » ; « elle l'aimait davantage à chacun des excès de son pouvoir » Pour conclure, cette partie de texte d'Emile Zola nous a prouvé que les magasins comme le " Bonheur des dames ", pouvaient bouleverser la vie des vendeurs, des commerçants et de la clientèle.. »

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