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Publié le 22/03/2011

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Montesquieu est  né 1689 et  mort  1755  est un moraliste et surtout un penseur politique, précurseur de la sociologie, philosophe et écrivain  français  des Lumières. Marie-Henri Beyle dit Stendhal, ( né 1783 et mort 1842 ) est un écrivain  français  de la première moitié du XIXe siècle. Honoré de Balzac, ( né en 1799 et mort en 1850 ) sont tous les 2  des écrivains  français  de la première moitié du XIXe siècle. Quand a Émile Zola , écrivain, journaliste et homme public français, considéré comme le chef de file du naturalisme est né en 1840 et est mort en 1902 . Dans les romans qui constituent le corpus , le plus récent est celui de Zola puisqu'il a été écrit en 1877 Le rouge et le noir de Stendhal et Le colonel chabert de Balzac ont été écrit respectivement en 1830 et 1832 . En revanche les lettres Persanes de Montesquieu ont été écrites en 1721. Le rouge et le noir de Stendhal et Le colonel chabert de Balzac appartiennent au romantisme . Les lettres persanes , au mouvement des lumières et L'assommoir appartient au symbolisme . Dans les différents textes qui constituent le corpus il serait intéressant d'étudier le regard de l'autre . Le rouge et le noir de Stendhal Le texte commence par \"Messieurs les jurés\" , on en déduit donc que ce sont ces derniers qui assistent a la scene et peuvent voir Julien Sorel , Personnage principal du texte . Par la suite dans la phrase \"Vous voyez en moi un paysans qui s'est révolté contre la bassesse de sa fortune\" , il y a le verbe \"Voir\" qui est utilisé a la fois au sens propre et figuré : En effet les jurés peuvent voirent Julien Sorel parler, mais il semblerait que les jurés \"voient en lui\" donc de façon supperficiel Par la suite , Julien exprime les plus sincères regrets et reconnait qu'il mérite d'aller en prison . Il  emploi a la ligne 10 \"messieurs les jurés \" pour attirer leur attention et leurs faire boire ses paroles . Julien Sorel fait encore réfférence au regard des autres avec la phrase \" Je vois des hommes qui , sans s'arrêter a ce que ma jeunesse peut mériter de pitié , voudront punir en moi [...] et l'audace de se mêmer à ce que l'orgueil des gens riches appelle la société . Vers la fin de son discours , il ré insiste sur l'attention des jurés en les nomment \"Voilà mon crime , messieurs\" . Il fait également pars de sa vision des jurés avec la phrase \"[...] Dans le fait que je ne suis point jugé par mes pairs. Je ne vois point sur les bancs des jurés quelque paysans enrichi , mais uniquement des bourgeois indignés \" . Vers la fin du texte , le narrateur repprend la parole et décrit certainnes scènes tel que l'avocat qui \"bondissait sur son siège \" ou encore \"toutes les femmes fondaient en larmes \" Le colonel Chabert de Balzac Après une première lecture du texte , on peut affirmer avoir a faire a une descrition détaillée . C'est donc l'auteur qui \"voit\" le personnage , ici le Colonel Chabert . Il est décrit comme étant \"aussi parfaitement immobile que peut être une figure en cire de ce  cabinet \" L'auteur décrit l'ensemble du personnage comme \"un spectacle surnaturel\" Il continut sa descrition avec les adjectif \"sec ; maigre\" . Il utilise la phrase \"volontairement caché sous les cheveux de sa perruque lisse \" en parlant du front du soldat et ajoute que ça lui donnait \"quelque chose de mystérieux\" . Il continue sa descrition avec les yeux . D'après lui \"ils paraissaient couverts d'une taie transparente '' . Il poursuit avec le visage qu'il califie de \"pâle ; livide et en lame de couteau\" . Il va même jusqu'a dire que son personnage paraissait \"mort'' Enfin arrive la descrition des vétements \"une mauvaise cravate de soie noire ; les bords du chapeau qui couvraient le frond du vieillard projetaient un sillon noir sur le haut du visage\" L'auteur se permet toujours de rajouter ses impressions \"cet effet bizarre , quoi que naturel faisait ressortir [...]cadavéreuse\" Il conclut avec les mouvements du soldat c'est a dire aucuns \" { Enfin l'absence de tout mouvement [...] exprimer . Nous remarquons ces 2 phrases \"Qu'un homme d'imagination aurait pu prendre cette veille tête pour quelques silouhettes due au hasard ou pour un portrait de Rembrandt sans cache\" ainsi que \"pour faire de cette figure je ne sais quoi de funeste\" ; \"qu'aucunes paroles humaines ne pourrait exprimer \" elles rappellent  bien la vue d'ensemble qu'a l'auteur et donc que c'est lui qui voit la scene . Lettres Persanes de Montesquieu L'auteur est vue par les habitants de Paris . On sait que c'est l'auteur car le texte commence par \"je'' . Ensuite on voit la phrase \"Je fus regardé comme si j'avais été envoyé du ciel\" \" Hommes , femmes , veillards , enfants tous voulaient me voir'' . Ces deux phrases montrent que tout le monde veut \"voir\" le narrateur . Par la suite , l'auteur prend des exmples pour démontrer qu'il est \"suivit\" et ''vue'' par tout le monde ; qu'il semble adulé. Il emploie le verbe \"voir\"  dans la phrase \"jamais hommes n'a tant été vue que moi \" L'auteur dit souvent entendre la phrase \"il faut avouer qu'il a l'air bien persant\" : On en déduit que ceux qui ont dit ça ont du le regarder pour pouvoir affirmer cela . L'auteur peut être vu aussi d'un autre façon , par exemple par le bié de portrait \"je trouvais de mes portraits un peu partout \" Par la phrase \"je ne me croyais pasun homme si curieux et si rare \" , il faut entendre que les adjectifs qu'il emploi sont les adjectifs qu'utilisent les habitants de Paris pour le califier . Il semblerait que les habitants de Paris lui trouvent aussi \"quelque chose d'admirable'' \"je me vis apprécié au plus juste\" : Le verbe voir ici a un double sens Il se voit admiré ( là sens figuré ) mais on peut aussi ajouter qu'il se voit dans le regards des autres ( sens propre ) . Il raconte aussi qu'un jour , a cause de son tailleur , il aurait perdu \"un instant l'attention et l'estime publique \" . Ce personnage a beaucoup d'estime pour lui depuis qu'il est \"regardé\" et il ne s'en cache pas : seulement on ne peut pas vérifier ses dires et peut être même qu'il en rajoute . L'Assommoir de Zola : Dans L'assommoir de Zola il est difficile de trouver le regard de l'autre . Il y a la fois l'auteur qui semble omnicient et aussi 2 femmes qui regarde Coupeau \"Et les deux femmes revenaient toujours à la toiture , avec des sourires , des hochements de tête comme pour dire qu'elles ne s'impatientaient pas \" On peut aussi remarquer qu'une autre personne dont on ne sait rien observe la scèce : Une veille dame apparemment \"En face la veille n'avait pas quitté sa fenêtre regardant l'homme , attendant \" . Par la suite les descritions viennent surtout de l'auteur : \"Mainteanant penché sur son établie il coupait du zinc en artiste \" ; \"d'un tour de compas il avait tracé une ligne\" ECT .... Coupeau recherche ensuite Zidore , le trouva , cria un peu et finalement fini son travail . Unes des deux femmes continaient de le \"regarder\" ' Gervaise , tranquillisée , continuait à sourire en suivant ses mouvements\" . On remarque sa fille , Nana , admire aussi la scène : \"Nana [...] s'était assise sur le trottoir pour mieux voir là-haut\" . Elle essaya d'attirer l'attention de son papa sur quelque chose avec la phrase \" Papa ! Papa ! , criait-elle de toute sa force , papa ! Regarde donc ! \" Coupeau fini par tomber du toit et s'écraser sur le sol . Tout le monde \"assiste\" , \"voit\" la scène : \"Gervaise [...] resta les bras en l'air\" \" des passants accoururent , un attroupement se  forma\" , \"mme Boche , [...] pris Nana entre les bras pour lui cahcer la tête et l'empêcher de voir \" . Le texte se fini par \" Cependant , en face , la petite veille , comme satisfaite , fermait tranquillement sa fenêtre\"

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