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Corpus de texte « Seigneur, je ne saurais regarder d'un bon œil... »Du Bellay

Publié le 03/11/2013

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Corpus de texte , 1558 « La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion « Jean de la Fontaine, 1668 « L'enterrement « Paul Verlaine, 1866 « A la musique « Arthur Rimbaud, 1870 Entre les années 1500 et les années 1900, les auteurs utilisent l'apologue, qui est un récit à caractéristiques didactique, pour critiquer la société. Notre premier texte s'intitule «Seigneur, je ne saurais regarder d'un bon œil...« écrit par Joachim Du Bellay en 1558. Ce texte est un poème qui est le sonnet 150 extrait du recueil Les Regrets. Le poète fait une critique des courtisans. Notre second texte, «La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion« est écrit par Jean de La Fontaine en 1668. Extrait du livre I, 6, de Fables, La Fontaine critique l'abus du pouvoir par le roi. «L'enterrement« de Paul Verlaine est extrait de Poèmes saturniens, écrit en 1866. Arthur Rimbaud, a écrit notre dernier texte s'intitulant « A la musique« en 1870. Extrait du recueil Poésies, Rimbaud déstructure son sonnet pour critiquer. Nous pouvons nous demander en quoi ses quatre textes relèvent-ils de la poésie satirique. Dans un premier temps nous verrons la critique d'hommes comme des courtisans, des nobles, des bourgeois et même des héritiers, puis dans un second temps, nous analyserons la critique de l'abus de pouvoir dans ces textes.   Dans ces quatre textes, les auteurs critiquent tous quelque chose. Nous constatons que Du Bellay critique les courtisans, nous pouvons le voir grâce au vers 2: «Ces vieux singes de cour, qui ne savent rien faire«. Il les critique en les comparant à des animaux. Mais on peut également le voir avec le vers 5 et 6: «Si leur maître se moque, ils feront le pareil,«, «S'il ment, ce ne sont eux qui diront le contraire«, il veux dire qu'ils font tout comme leur maître, il les compare un peu à des moutons. Quant à La Fontaine, il critique le roi et non les courtisans, mais aussi la soumission du peuple, on peut le voir avec les vers 12 et 13: «C'est que je m'appelle Lion : A cela l'on n'a rien à dire«. Dans son sonnet, Verlaine fait une satire des héritiers en critiquant les croques morts qui travaillent juste pour gagner de l'argent. Il utilise l'ironie «Tout cela me paraît charmant, en vérité!« vers 9. Et pour terminer, Rimbaud critique les bourgeois en disant que ce sont des «Bourgeois poussifs« vers 3. Mais il critique également les militaires qui essaient de séduire. Mais les auteurs critiquent aussi l'abus du pouvoir dans ces textes. Celui-ci est le plus remarquable dans le texte de La Fontaine, car on sait que le Lion veut tout pour lui du fait qu'il est le roi et qu'il à plus de droit que le peuple. Mais cet abus de pouvoir est aussi présent dans les textes de Du Bellay, car il critique les courtisans en disant qu'ils font comme leur maître. Les maîtres abusent de leur pouvoirs en disant que leurs courtisans fasse la même chose qu'eux car ils ont le pouvoir.     Nous avons pu voir dans ce corpus, que certains auteurs critiquent en passant par l'apologue. Mais les auteurs peuvent éviter la censure en remplaçant les personnages par des animaux comme l'a fais Jean de La Fontaine. Nous avons donc répondu à notre problématique en montrant que ces textes de Du Bellay, La Fontaine, Verlaine et Rimbaud révèlent de la poésie satirique. Dans certaines autres grandes œuvres, les auteurs critiquent la société à travers des apologues.
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« Dans ces quatre textes, les auteurs critiquent tous quelque chose.

Nous constatons que Du Bellay critique les courtisans, nous pouvons le voir grâce au vers 2: «Ces vieux singes de cour, qui ne savent rien faire».

Il les critique en les comparant à des animaux.

Mais on peut également le voir avec le vers 5 et 6: «Si leur maître se moque, ils feront le pareil,», «S'il ment, ce ne sont eux qui diront le contraire», il veux dire qu'ils font tout comme leur maître, il les compare un peu à des moutons.

Quant à La Fontaine, il critique le roi et non les courtisans, mais aussi la soumission du peuple, on peut le voir avec les vers 12 et 13: «C'est que je m'appelle Lion : A cela l'on n'a rien à dire».

Dans son sonnet, Verlaine fait une satire des héritiers en critiquant les croques morts qui travaillent juste pour gagner de l'argent.

Il utilise l'ironie «Tout cela me paraît charmant, en vérité!» vers 9.

Et pour terminer, Rimbaud critique les bourgeois en disant que ce sont des «Bourgeois poussifs» vers 3.

Mais il critique également les militaires qui essaient de séduire. Mais les auteurs critiquent aussi l'abus du pouvoir dans ces textes.

Celui-ci est le plus remarquable dans le texte de La Fontaine, car on sait que le Lion veut tout pour lui du fait qu'il est le roi et qu'il à plus de droit que le peuple.

Mais cet abus de pouvoir est aussi présent dans les textes de Du Bellay, car il critique les courtisans en disant qu'ils font comme leur maître.

Les maîtres abusent de leur pouvoirs en disant que leurs courtisans fasse la même chose qu'eux car ils ont le pouvoir.     Nous avons pu voir dans ce corpus, que certains auteurs critiquent en passant par l'apologue.

Mais les auteurs peuvent éviter la censure en remplaçant les personnages par des animaux comme l'a fais Jean de La Fontaine. Nous avons donc répondu à notre problématique en montrant que ces textes de Du Bellay, La Fontaine, Verlaine et Rimbaud révèlent de la poésie satirique. Dans certaines autres grandes oeuvres, les auteurs critiquent la société à travers des apologues.. »

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