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Définitions de Français

Publié le 06/05/2012

Extrait du document

Un référent : C’est le sujet d’une conversation

Le canal : Le moyen de communication

Le code : Le langage utilisé

Le message : C’est ce qui est dit par l’émetteur

Fonction expressive (émotive) : Se sont les indices qui montre ce que pense l’émetteur au moment où il émet son message

Fonction impressive : Se sont les indices qui sont liés au récepteur et qui permettent de voire que l’on fait pression sur lui

Fonction métalinguistique : Se sont les indices qui permettent d’expliquer le code

Fonction phatique : Se sont les indices qui permettent de vérifier que le canal passe bien

Fonction poétique : Se sont les indices formels, la syntaxe des phrases, le niveau de langue …

Fonction référentielle : Se sont les indices qui permettent de savoir de quoi on parle

Une connotation : C’est un sens que l’on rajoute à un mot et qui peut le rendre positif ou négatif

Une dénotation : C’est le sens premier d’un mot

La focalisation interne ou le point de vue interne : C’est lorsque l’on connait les pensées du personnage, que l’on voit ce qu’il voit, que l’on sait autant de chose que lui (ni +, ni -)

Le discours direct : verbe de parole + guillemets ou tiret + paroles telles prononcées

Le discours indirect : verbe dénonciation + que + paroles avec la transposition des temps et des pronoms

Le discours indirect libre : (que) + paroles avec la transposition des temps et des pronoms (il est « libre « de son verbe dénonciation)

Le discours narrativisé (récit de paroles) : C’est un résumé de paroles

Un protagoniste : C’est un personnage du livre

Une alternative : C’est un choix

Sordide : Quelque chose de pas morale

L’illusion romanesque : C’est quand on est tellement pris dans l’action que l’on s’y croit

Le récit : fiction + narration

Une analepse : C’est un retour en arrière

Narration : L ‘histoire telle qu’elle nous ai racontée

Fiction : L ‘histoire telle qu’elle c’est passée

Un sommaire : C’est une/plusieurs action(s) qui, pendants la narration est dite brièvement alors que pendants la fiction elle prend plus ou moins de temps à se faire

Une scène : Une action qui prend autant de temps dans la narration que dans la fiction

Une ellipse : Une action qui n’est pas présente dans la narration (pas dite) alors que dans la fiction elle a lieu

Une pause (descriptive) : Un passage qui est présent dans la narration, mais absent pendants la fiction (souvent une description)

Un ralenti : Un passage qui prend peu de temps dans la fiction mais est très développé pendants la narration (beaucoup de lignes)

L ’antépénultième : C’est l’avant avant dernière

La pénultième : C’est l’avant dernière

Eléments concrets : La réalité

Le registre fantastique : On part d’une situation réelle, un fait inexplicable surgit, puis, pour finir, on retourne au réel avec un doute

Le registre merveilleux : On part d’une situation imaginaire, un fait imaginaire se produit puis on reste dans l’imaginaire pour la fin

Le registre de l’étrange : On part d’une situation réelle, un fait inexplicable surgit puis on donne une explication pour finir

L ’organisation d’un récit : Une situation initiale ; un élément perturbateur       des péripéties ; un élément de résolution et une situation finale

L’incipit : C’est la notation littéraire pour définir le début d’un texte

Un paradoxe : C’est une idée contraire à celle communément admise

L’ironie : C’est lorsque l’on dit quelque chose pour en faire comprendre une autre

L ’hypocrisie : C’est lorsque l’on dit quelque chose alors que l’on pense le contraire (on cache la vérité)

Explicitement : C’est lorsque l’on dit clairement et sans ambiguïté quelque chose

Implicitement : C’est lorsque l’on dit quelque chose de manière non expressément formulée, mais que l’on comprend quand même

Une hyperbole : C’est une exagération

Une métaphore : C’est quand on associe une réalité à une autre ou que l’on remplace une réalité par une autre

Une métaphore filée : C’est une métaphore qui se développe sur plusieurs lignes

Mettre en exergue : C’est mettre en évidence ou alors de mettre en avant quelque chose

Concomitant : C’est quelque chose qui se passe en même temps

Cautionner : C’est se porter garant de…

Arguments convaincants : Se sont des arguments vérifiables, mesurables et rationnels (la raison)

Arguments persuasifs : Se sont des arguments liés à l’émotion, la sensibilité et l’image de soi  

Registre polémique : C’est un registre qui critique, qui incite à la dispute, à la discussion par un ton agressif (origine latine «  guerre «)

Anthropophage : Ce qui mange de l’homme = cannibale

Négationnisme : C’est quand on ni ce qui c’est passé (remettre en cause le passé)

Inhérent : Qui appartient en propre à …

Toiser : C’est dévisager, regarder de haut et de la tête aux pieds

Lecture cursive : Une lecture assez rapide (différent d’analytique)

Un huis-clos : Un lieu fermé (toute l’action se passe au même endroit)

Une planche : (dans une BD) C’est une page

Un cartouche : C’est un indice temporel qui se situ « souvent « en haut d’une vignette

Une vignette : Une image (un dessin)

Une case : Forme qui délimite l’espace de la vignette

Un travelling : C’est un mouvement de caméra

Une vue en plongée : Une vue de haut

Une contre plongée : Une vue d’en bas

Un strip : Un bandeau d’une seule case

Un bandeau : Une ligne de case

Un phylactère : C’est une bulle

Un périchamp : C’est une image dans une BD, qui utilise les images qui son autour pour pouvoir la comprendre ou qui influence une autre (c’est l’action)

Une segmentation : Plusieurs morceaux ou des parties

Une concentration : Un morceau ou une partie

Un seuil : C’est un passage précis pour aller d’un endroit à un autre

Une onomatopée : Un mot pour traduire un bruit

Une séquence : C’est un ensemble de planche ou de cases qui forment une unité

Le prologue : C’est l’histoire avant l’histoire. L ’enquête policière commence concrètement après

Le destin : C’est quelque chose qui est prévu et qui est inévitable. On ne peut pas le changer

Un fils putatif : C’est un fils probable, présumé

Le complexe d’Œdipe (par Freud, un psychanalyste) : C’est un enfant qui aime sa mère et qui a pour rival son père (pour les filles, c’est le complexe d’Oelettre)

Un mythe : C’est une histoire qui raconte l’origine de l’homme

Le roman à énigme : L ’analyse compte plus que l’horreur, l’enjeu est de savoir qui à commis le(s) crime(s) et comment

Le roman noire : L ’enjeu est de mettre fin aux crimes

Le roman à suspense : L ’enjeu est d’éviter le(s) crime(s)

Une typologie : C’est une classification des types

Un héros :

1)       C’est un demi-dieu, il est surhumain, il n’est pas comme nous

2)       Il accomplit des tâches difficiles, voir impossibles, il est immortel (il a toutes les qualités du demi-dieu)

3)       C’est le personnage principal (celui qui va résoudre l’enquête)

4)       Il a absolument aucune des qualités du demi-dieu, c’est un antihéros (ex : Columbo, Nestor Burma …)

Un bas-fond : C’est une ruelle sombre, une impasse

Le récit dialogué : C’est un jeu de questions/réponses

Un truand : C’est un voleur, un assassin

Une arnaque : C’est un piège

Un anachronisme : C’est placé un objet dans une époque non approprié habituellement

Un continuum : Sa marche dans la continuité (aucune coupure)

Une aphasie : C’est une perte de parole

Lyrique : C’est l’expression des sentiments personnels de manière poétique

Le tragique : C’est la prise de conscience par le héros, d’un destin, d’une fatalité inéluctable (inévitable)

Un athée : Un non croyant (sans dieu)

Un éloge funèbre : C’est un discours gratifiant pour une personne morte

La dérision : C’est une moquerie, c’est méprisant. C’est tourner en ridicul

La trivialité : C’est populaire, non noble (commun)

Erratique : C’est par hasard

La contextualisation : C’est le cadre dans lequel le sujet s’intègre

Les mœurs : Se sont les habitudes de vie

« Delectare « : Faire plaisir

«  Docere « : Enseigner

« Movere « : Emouvoir

Un rire grave : C’est un rire qui fait apprendre

La satire : C’est une critique

Oisive/Oisif : Qui ne fait rien

Un néologisme : C’est un nouveau mot

Un archaïsme : C’est un ancien mot

Un quiproquo : C’est lorsque 2 personnes parle mais n’ont pas le même référent (sujet de conversation)

La pitance : C’est la nourriture

Une anaphore : C’est une répétition de son ou de mot en début de phrase

Une allitération : C’est une répétition de consonnes

Une assonance : C’est une répétition de voyelles

Humus (latin) : La terre

Polysémique : Cela signifie que les mots on plusieurs sen dans un texte (on peut comprendre de plusieurs façon le texte)

La grandiloquence : C’est parler grandement (avec des mots compliqués, des longues phrases …) (négatif)

L’emphase : C’est parler avec des grands mots et des grandes phrases (longs discours) (négatif)

Un roman épistolaire : C’est un roman par lettres

Pittoresque : C’est ce qui mérite d’être peint

Le romanticisme (1800/1850) : C’est l’art de présenter au peuple les œuvres littéraires qui son susceptibles de leur donner le plus de plaisir possible 

Le classicisme : C’est présenter au peuple la littérature qui donnait le plus grand plaisir à leurs arrière grands-parents

Un éloge : C’est dire du bien, valoriser, Quelqu’un ou quelque chose

Un blâme : C’est dire du mal, dévaloriser quelqu’un ou quelque chose

Une hypallage : C’est quand on associe un adjectif à une réalité qui n’est pas la sienne

Se déliter : C’est se décomposer

Une allégorie : C’est représenter quelque chose d’abstrait par une image concrète

Une unité syntaxique : C’est quand il y a besoin d’un(e) seul(e) pour comprendre

Un leitmotiv : C’est un refrain

Un accent tonique oratoire : C’est quand on déplace un accent tonique pour faire un effet de style

Stiche : Une mesure

Un hémistiche : C’est un demi-vers

Une métonymie : C’est la partie qui évoque le tout

Un poème éponyme : C’est un poème qui donne son nom à l’œuvre

Pulvérulent : Poussiéreux

Une chimère : C’est une création imaginaire des gens qui les emprisonnent

Une édition posthume : C’est une édition après la mort de l’auteur

Synesthésie = Correspondance : C’est le mélange des sens, ce qui permet de voire d’autres choses

Un confiteor : En latin « je crois «, c’est le début d’une prière catholique (profession de foie) (c’est ceux en quoi croît l’artiste artistiquement)

Un syllogisme : C’est un résonnement faux, mais qui a l’apparence d’un vrai

Une argutie : C’est un mauvais argument

 

L ’art poétique : C’est dire ce que l ’art est pour l’auteur

Le désir (latin) : C’est le manque, l ' absence

L ' homophonie : C’est 2 mots qui se ressemble (1 seule syllabe change)

Un doublon : C’est 2 textes d’un même auteur et qui se ressemble

Le spleen : le malaise

Une gradation : C’est de plus en plus …

Parallélisme : C’est une construction identique de plusieurs idées

Une antithèse : C’est une opposition de 2 idées pour faire ressortir leur différence

Une antre : C’est une ouverture

Un oxymore : C’est lorsque l’on met l’un à côté de l’autre, 2 mots qui s’oppose

« ni queue, ni tête « : c’est ce qui n’a pas de sens, pas de début ni de fin

OULIPO : OU/= ouvroir (lieu ou l’on travail) //LI/= littérature //PO/=potentielle (tout ce qui est possible de faire)

Exercice d’écriture (exemple) : C’est lorsque l’on remplace certain mot, par ceux qui les suivent dans le dictionnaire

La Littérature définitionnelle : C’est lorsque l’on prend un sens plus générale pour définir un mot (e chat=l’animal)

Une thèse : C’est une idée développée qui aboutit à un petit livre

Une parodie : C’est une imitation amusante

Chicago : C’est une contrainte qui consiste à couper les mots, de trouver des mots de la même famille a ces morceaux (voir feuille de cour)

Un Lipogramme : C’est une contrainte qui consiste à écrire en enlevant une lettre (sans « e « par exemple)

Un Monovocalisme : C’est lorsque l’on utilise qu’une seul voyelle (que des « e «)

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