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Ecriture d'invention: Ecrire le journal intime d'un homme qui voit son rève se réaliser : Voir son article paraitre dans un journal.

Publié le 27/02/2008

Extrait du document

05 Juillet 1880

 

 

 

 

Hier soir fût la nuit la plus longue que je n'ai jamais passé. L'excitation et le désir de voir enfin mon article paraître étais bien plus fort que le sommeil qui m'enivrait. Mais après une lutte presque acharnée pour enfin me retrouver dans les bras de Morphée, le sommeil a eu raison de moi,et je me laissa guidé dans le pays des songes.

Mon réveil fût des plus joyeux. Je me suis pressé de m'habiller et me rendit a la gare Saint-Lazare afin d'avoir le journal « La vie Française » plus tôt que si j'aurai du attendre dans mon quartier. Mais, malheureusement, le journal tant attendu n'y étais pas vendu.

Je retourna donc a mon quartier, alla vers le kiosque, puis le fameux moment arriva, le journal était là, devant moi, et dans un élan joie et de soulagement je le pris et je le feuilleta. Au début, pour tout te dire une peur m'envahit lorsque je ne trouva pas le titre de mon article dans la première page, mais quand je l'ouvrit, et que je vit écrit en grosses lettres « Georges Duroy » mon bonheur fût immense.

Afin de pouvoir lire mon article tranquillement, je me rendit dans un café pas très loin.

J'avais l'impression de redécouvrir ce que j'avais écrit au fur et a mesure de ma lecture.

Quand j'eus terminé, un grand sourire orna mon visage. J'étais fier de ce que j'avais écrit, fier de savoir que tout le monde pourrait lire mon article et l'apprécié comme il se doit.

J'aurai voulu crier au monde entier le bonheur que je ressentais a ce moment, le partager avec tout mon quartier. J'avais envie de leur dire  « Lisait mon article, regarder c'est moi Georges Duroy je suis dans le journal » C'était je crois le plus beau jour de ma vie, après tant d'attente, je pouvais enfin donner un nom a mon bonheur : réussite .

Je n'en revenait pas. Moi, publié, moi, Georges, dans le journal.. je n'aurai pu rêver mieux, rêver plus. Je me sentais redevenir enfant , comme lorsqu'on est tout heureux d'ouvrir ses cadeaux de Noël ou d'anniversaire. Je pense que rien ni personne n'aurai pu et ne pourra enlever le bonheur qui comble mon cœur. Tu sais, quand tu t'acharne a une tâche, durant des jours et des jours et que tu vois enfin que tout se concrétise, et bien pour toi tu touche le parfait bonheur du doigt. Puis tu essaies donc de l'attraper et de toute tes forces le tenir afin de ne pas le lâcher. Et bien, c'est ce que j'ai décidé de faire, je vais faire de mon mieux afin de rester le plus longtemps possible, heureux, content et fier de ce que je suis.

C'est inimaginable comme sensation, jamais je n'aurai pu croire arriver a ce que je suis maintenant.

Peut être est-ce le début d'une grande carrière de journaliste. Je ne sais pas mais peux importe, je me dois de savourer cette gloire, ce bonheur chaque minutes, chaque secondes. Pour tout te dire c'est la première fois que je suis dans cette état.

Je ne sais comment exprimer réellement cette foule de sensation qui se bouscule dans mon être, je ne sais comment te décrire la joie qui coule dans mes veines. Je ne trouve pas les mots, ce doit être indescriptible comme sentiment je pense.

Je ne peux qu'essayer, mais cela se résumerai a des cris et des sauts, c'est fort comme sentiment, très fort et je pense qu'on ne peux que les ressentir mais ne pas les décrire exactement tel qu'ils le sont.

C'est pourquoi je pense m'arrêter là et te quitter cher journal, et je te dis a demain.

05 Juillet 1880

 

 

 

 

Hier soir fût la nuit la plus longue que je n'ai jamais passé. L'excitation et le désir de voir enfin mon article paraître étais bien plus fort que le sommeil qui m'enivrait. Mais après une lutte presque acharnée pour enfin me retrouver dans les bras de Morphée, le sommeil a eu raison de moi,et je me laissa guidé dans le pays des songes.

Mon réveil fût des plus joyeux. Je me suis pressé de m'habiller et me rendit a la gare Saint-Lazare afin d'avoir le journal « La vie Française » plus tôt que si j'aurai du attendre dans mon quartier. Mais, malheureusement, le journal tant attendu n'y étais pas vendu.

Je retourna donc a mon quartier, alla vers le kiosque, puis le fameux moment arriva, le journal était là, devant moi, et dans un élan joie et de soulagement je le pris et je le feuilleta. Au début, pour tout te dire une peur m'envahit lorsque je ne trouva pas le titre de mon article dans la première page, mais quand je l'ouvrit, et que je vit écrit en grosses lettres « Georges Duroy » mon bonheur fût immense.

Afin de pouvoir lire mon article tranquillement, je me rendit dans un café pas très loin.

J'avais l'impression de redécouvrir ce que j'avais écrit au fur et a mesure de ma lecture.

Quand j'eus terminé, un grand sourire orna mon visage. J'étais fier de ce que j'avais écrit, fier de savoir que tout le monde pourrait lire mon article et l'apprécié comme il se doit.

J'aurai voulu crier au monde entier le bonheur que je ressentais a ce moment, le partager avec tout mon quartier. J'avais envie de leur dire  « Lisait mon article, regarder c'est moi Georges Duroy je suis dans le journal » C'était je crois le plus beau jour de ma vie, après tant d'attente, je pouvais enfin donner un nom a mon bonheur : réussite .

Je n'en revenait pas. Moi, publié, moi, Georges, dans le journal.. je n'aurai pu rêver mieux, rêver plus. Je me sentais redevenir enfant , comme lorsqu'on est tout heureux d'ouvrir ses cadeaux de Noël ou d'anniversaire. Je pense que rien ni personne n'aurai pu et ne pourra enlever le bonheur qui comble mon cœur. Tu sais, quand tu t'acharne a une tâche, durant des jours et des jours et que tu vois enfin que tout se concrétise, et bien pour toi tu touche le parfait bonheur du doigt. Puis tu essaies donc de l'attraper et de toute tes forces le tenir afin de ne pas le lâcher. Et bien, c'est ce que j'ai décidé de faire, je vais faire de mon mieux afin de rester le plus longtemps possible, heureux, content et fier de ce que je suis.

C'est inimaginable comme sensation, jamais je n'aurai pu croire arriver a ce que je suis maintenant.

Peut être est-ce le début d'une grande carrière de journaliste. Je ne sais pas mais peux importe, je me dois de savourer cette gloire, ce bonheur chaque minutes, chaque secondes. Pour tout te dire c'est la première fois que je suis dans cette état.

Je ne sais comment exprimer réellement cette foule de sensation qui se bouscule dans mon être, je ne sais comment te décrire la joie qui coule dans mes veines. Je ne trouve pas les mots, ce doit être indescriptible comme sentiment je pense.

Je ne peux qu'essayer, mais cela se résumerai a des cris et des sauts, c'est fort comme sentiment, très fort et je pense qu'on ne peux que les ressentir mais ne pas les décrire exactement tel qu'ils le sont.

C'est pourquoi je pense m'arrêter là et te quitter cher journal, et je te dis a demain.

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