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histoi japon

Publié le 05/03/2014

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japon
Histoire du Japon ancien Le Japon est appelé le Japon en français. En Japonais ?? (Nihon ou Nippon) Nippon était plus utilisé avant 1945. Les portugais ont entendu des Malais qui eux avaient entendu des Chinois du sud et cela donna Japaô. Avant, le Japon était appelée Cipango dans le livre de Marco polo, qu'il a écrit quand il était en prison. (livre « il millione «). Quand Marco Polo était en chine, il avait entendu parler d'une île dans le nord Cipango : « go «. Les Japonais spécifient tout, les chinois aussi, donc pour Cipango le « go « en chinois « guo « veut dire pays, ce qui amène à « pays de Cipan «. Depuis 1947, le Japon dans tout les documents officiels s'appelle Nihon koku ??? l'état Japonais, sans préciser sur état, 1947 entrée en vigueur de la constitution écrite par les USA. 1889 à 1947 : Le Japon s'appelait lui même «Dainihonteikoku « ????? « l'Empire du grand Japon « 1889 : Année de la promulgation de la première constitution japonaise, le 11 février 1889. Il prend le nom d'empire en référence au Chinois et de la Grande Bretagne. La G.B. Qu'ils appelait « Daieiteikoku « ???? « grand empire britannique «. Avant la prise de contacte, très peu de relations et pas de relations diplomatiques. Il y en a eu pendant longtemps avec la Corée. Ils se disignent comme ??? comme actuellement. L'empereur ne s'occupait pas de grand chose -> Le shogun avait le pouvoir. Ils ont nommés le Shogun pour les pays étranger : « Taikun « (grand seigneur). Il signait ???kun (?) Les Japonais ont utilisés les caractères chinois et les ont adaptés à leur langue. Pourquoi les japonais ont-ils utilisé une autre langue pour définir leur pays. ?? -> Hi no moto -> début du soleil, soleil levant Nihon -> empire du soleil levant. Pourquoi s'être défini comme ça ? : cela remonte assez loin. Histoire officiel de la dynastie du SUI, dynastie assez brève, écrite sous les TANG, il y avait un document qui parlait des SUI et Japonais . Le souverain japonais se définissait comme le ?? « fils du ciel « -> de l'endroit d'où sort le ciel adressé au souverain chinois « l'endroit ou se couche le soleil «, le souverain chinois était mécontent car un « barbare « se prenait pour le fils du ciel. Un autre texte qui parle du Japon est un texte de l'époque des « WEI «. Ce texte date du 3ème siècle de notre ère. Il est question du pays des ? « WA « -> prononciation sino-japonaise. On s'est posé la question pourquoi « WA « : Première explication : les japonais qui se définissent pas watashi, le kanji de « wa « en Chine voulait dire nain de façon dépréciative. « Womu « en chinois contemporain pour désigner les Japonais dépréciatif. En japonais, Homophone avec le ??, le « wa « était entendu de la même manière, les Japonais ont prit la deuxième forme : « harmonie « au lieu de « nain «. Le 1er mot pour designer le Japon est « Yamato « ce terme est d'un nom de lieu situé actuellement à Nara, à l'est d'Osaka. Confédération appelée « Yamatai «. Les Japonais n'ayant pas d'écriture ils se servent du chinois pour écrire leur langue. Le premier texte ou ont lit Nihon date de 720 dans le Nihonshoki. Première histoire officielle du Japon écrit en chinois par des Japonais coréen. Écrit en chinois lut en japonais. Récapitulatif : actuellement le Japon = Nihon, les chinois les désignaient le Japon par le terme « wa «. Histoire : si un pays n'écrit pas ou ne laisse pas de traces écrites on dit préhistoire. Paléolithique, mésolithique, néolithique. 3 choses qui apparaissent presque en même temps, l'élevage, la poterie et l'évolution de la fabrication des outils de pierre. L'âge de bronze et l'age de fer avant l'écriture. L'antiquité il y a les premiers textes écrits par les égyptiens ou sumériens. Dans le cas du Japon, il faudrait repartir des premiers documents écrit. Fin de l'antiquité en Occident : Mort de Théodore Pour d'autre, c'est 410, la chute de Rome 476 : disparition du dernier empereur d'occident. Début du moyen âge : 481, avènement de Clovis Fin du moyen âge  : 1453 prise de Constantinople 1492 prise de grande, découverte de l'Amérique. Les temps moderne commencent avec la renaissance et fini en 1789 (révolution). 1789 époque contemporaine. Ce qui distingue l'histoire Japonaise, c'est le découpage des périodes. Au Japon on utilisait une chronologie relative. Ex : en 1868, année de Meiji -> guerre nommée du nom de ce cycle de 60 appelé Boshin : le shin est dragon. Lié à un système de croyance (yin et yang), croyance qui disait que les filles née de l'année du Cheval sont considérés comme dangereuses. En 1966(?) brusque chute de la natalité. Les Chinois ont inventé un autres système : nengô traduit par « ère «. Période de temps dont on fixe le point de départ. Le plus souvent le début était marqué par des événement néfastes ou fastes. Pour éviter que le sang ne soit « contaminé «, on change d'ère. Les premières ères en Chines sous les Han, -140 à -134. Le Japon ne reprend pas les mêmes ères, à partir de Meiji il décide qu'il n'y avait qu'une seule aire pas règne. L'ère commence au règne de Meiji, et se terminera à sa mort. On décide de classer les noms d'ère par les noms des empereurs. Nom d'ère en deux caractères qui ce prononcent à la chinoise. (Poly) Préhistoire Nous avons traversés diverses ères géologiques, climatiques. Les conséquences pour le Japon : Il se retrouve lié par le Nord et le Sud au continent, pendant la baisse de l'eau. L'arrivé des Hommes dans l'archipel Japonais, nous n'avons pas d'ossements anciens, car le Japon à une terre « mangeuse de cadavre «, des terres souvent acides, la chair et l'au disparaissent vite. ----> La géologie est donc assez difficile au Japon. Néanmoins, on a retrouvé des pierres taillées, mais aussi des aménagements de tombes, donc on peut penser, il est probable qu'il y ai eu des hommes primitifs au Japon. Un problème s'est posé, par la pollution d'un faussaire qui a saccagé des lieux de fouilles. L'arrivée des hommes type « Cromagnon « est à peu près à dater aux alentours de 30 000 ou 33 000 avant notre ère (dans les eaux de la découverte de la grotte Chauvet). Ils sont arrivés durant une période de glaciation, donc le passage était facile (le niveau de l'eau étant bas et gelé). Ces 1er hommes ont croisé des espèces qui ont disparu (ex : éléphants de « Noman «). Vers -20 000, ère de réchauffement -----> le niveau de l'eau remonte, c'est vers cette période que les îles se séparent, qu'on retrouve une mer à la place de lacs, remonté progressive de l'eau. Vers -11 000 que le passage entre l'Asie et l'Amérique a été coupé. -1ère période archéologique typiquement Japonais -------> JOMON L'inventeur n'est pas un Japonais, mais un Américain : Edward MORSE. Zoologue, il avait été invité au début de l'ère Meiji (1877-1878). Il étudiait les espèces vivantes et disparues. Il a pratiqué des fouilles, et découvert un amas de coquillages (vers Tôkyô). Il en trouve en quantité, et à l'intérieur il y a des morceaux de « poterie à décors cordés «, ce qui a donné le nom de période JOMON. Longtemps, la notion de recyclage est presque absente, donc on jetait les ordures à la mer. On a retrouvé au Danemark, des amas de coquillages de même type. En japonais, on appelle ces amas de coquillages « kaizuka «. Lorsque Morse a trouvé ces amas, on a pu en déduire : que ce n'était pas des amas spontanés. les personne qui les ont jeté connaissait la poterie. La datation reste néanmoins problématique. Ces amas de coquillages étaient complètement inconnus des Japonais, ceux ci n'ont d'ailleurs pas voulu y reconnaître une trace de leurs ancêtres, car ils trouvaient ça barbare et non raffiné. Pendant longtemps, les plus anciennes poteries découvertes ont été les plus anciennes du monde. Il y eu une sorte de compétition à celui qui découvrirait les poteries les plus anciennes. Ce qui est sure, c'est que la poterie n'a pas eu un seul lieu de création. Comme l'écriture, inventée à des endroits différents, toutes très différentes. L'homme a pu avoir un foyer d'invention au Japon. Une fois la poterie inventée, elle va croître et se multipliée et donner naissance à la période JOMON . On trouve des abris sous roches, et déjà des premières traces d'aménagement, d'artéfacts. La poterie a été utilisé à un stade ou l'on pensait que l'homme était incapable de la faire. En europe ou au Proche-Orient, c'est la préhistoire ---> pas de poterie. Au Proche-Orient, on a eu presque en même temps l'agriculture, la sédentarisation, la poterie etc... . Au Japon, on a la poterie. On a eu juste des fragements. -> Période « Proto JOMON « 1ère trace de poterie. Puis selon auteurs et mise à jour : -> « JOMON initial «, on oscille entre -9000 ou -7000. On commence à faire des « Kaizuka «. 1ère poterie intacte, à fond conique et ensuite à fond plat. On rencontre les premiers « Dogû «, sorte de figurine en terre cuite, sorte de poupée, en majorité en forme de femmes. -> « JOMON antérieur « vers - 5000. -> on assiste au début de la sédentarisation. Au Japon, on assiste à une sédentarisation MAIS SANS agriculture. ( 1site très connu : « SANNAI MARUYAMA «). (fin poly) Ce fut un site qui fut fouillé de façon très minutieuse. Ils viennent à la conclusion d'une agglomération qui avait regroupé 500 personnes, et surtout pendant 1500 ans. Comment sans agriculture ? Grâce à la cueillette, chasse, pêche. Les fruits sont saisonnier, les hivers sont très froids, impossible de faire le lien entre Automne et printemps sans réserves. (a revoir)L'analyse des dents et des os, excrément, la base n'était pas carré, mais des fruits durs, type noix, gland, châtaigne et autre. EX : le gland n'es pas directement comestible, il faut faire sortir l'amertume donc le faire tremper et donc il fallait un récipient, comme il avait la connaissance de la poterie cela était possible. (a revoir) Ce type d'acclimatation centre sur les fruits durs, de forêts à forme caduc, à cause de cette répartition de ce type de forêt, le centre de (?) de culture JOMON se trouvait au centre et Nord Est du Japon (pour JOMON) donc l'environnement n'est pas fixé par le gibier, mais pas les arbres. Les gens de JOMON ont réussi à faire quelque chose qui s'apparente à de la sylviculture, car densité d'arbre moyenne, régulier. ( pas d'agricultures mais on s'en rapproche). Comment savoir qu'ils les mangeaient ? On a retrouvé l'endroit ou ils les stockaient. Ils ont inventé un type de réserve, réservoir (sorte de cave) en forme de bouteille souterraines, et réserves de fruits durs dedans. Caves spéciales en fonction des fruits. Une de ces caves pouvait contenir la nourriture d'une personne pour 1 ans. JOMON antérieur -> nouvelle technique -> « le laqué «, la laque. On utilise cette résine pour enduire des objet qui deviennent impérissables grâce à cette protection. Qui dit village dit organisation de l'espace. Vers -2000 traces de villages très bien organisé. Le plus beau est une place circulaire : Au centre un espace vide sans construction qui servait de cimetière. Autour du 1er cercle construction de plusieurs pieds et cases. Entre le 1er et 2eme cercle : zone avec habitation en général ronde, de type tateama. (semis enterré, avec foyer au milieu permettant de bien résister au froid. 3eme zone : zone de réserves et stockages. On à retrouver aussi des traces de tombes « organisées «, ainsi que des traces de 1ére production de sel. Des l'évolution de JOMON , pas de communauté séparé, mais des échanges pour coquillages, ils trouvent un moyen de les conserver avec le sel, on a « fumer « les coquillages pour stocker ou échanger des coquillages. Tout aurait du continuer comme ça, mais toutes les sociétés évolues, mais pas JOMON on ne sais pas vraiment pourquoi peut être à cause d'une surpêche ou sur-chasse (moins probable). Surpêche les avis divergent, volition de la taille des coquillages, mais pas sûr. Par contre il y a une évolution des poteries -> qui surgissent et disparaissent. DOGU -> style très différents, (style anthropomorphique ) mais a trouvé à la fin de JOMON des statuts bizarres (yeux globuleux, bras estropiés) un style farfelu. Le problème ? Pourquoi on à fait ces objets ? On les à toujours trouvé cassé (objets normal en terre cuite). Une fois utilisés pour un rite, ils cassaient volontairement pour éviter de le réutiliser. Objets probablement pour utilisation religieuse, forme de femme peut être pour une divinité de la fécondité. Objets en pierre qui eux avaient la forme de bâtons. Ils n'avait pas peur de la mort car enterré au milieu du village. Conclusion sur JOMON, la grande originalité est qu'ils sont sédentaire sans agriculture et l'invention d'un certain nombre de technique qui vont perdurer. Chasse à l'arc, cueillettes, pêche (hameçon, harpon, mais pas de filet (mais sûrement connu), travail du bois. (il y a 2x plus d'espèce d'arbre au Japon qu'en France). Il n'y avais pas que des habitations semi-enterré il y avais aussi des maisons surélevé. Technique de transport pour déplacer les gros troncs d'arbre. Grâce aux amas de coquillages, quelques objets en bois ont été conservé. Ils ont aussi trouvé des traces de (?) (tissage...), certains laqués avaient atteins un degré de raffinement extraordinaire. (héritage de technique considérable). Construction bien équilibré, stable, mais à un moment, ces agglomérations disparaissent et il y a une chute de la population et déplacement, l'est perde de la vigueur et l'ouest prend le relais. Arrivée de la riziculture au Japon. (d'abord suite d'effondrement de JOMON avant l'arrivée de la riziculture. -> JOMON pas d'explication, disparition, sans de vestiges, époque qui fut complètement négligé. Durant EDO, des poterie de JOMON retrouvée, Ils disaient « du temps de dieux «. Autre problème, l'anthropologie, à la suite de préhistoire, il y à études des squelettes et donc établissement de « race «, en occident sujet délicat « ex Hitler «. Pour le Japon pas de problème, les chercheurs Japonais utilise sans problème « race de JOMON « mais très peu de squelettes. Néanmoins un type humain un peu différent mais pas de races Japonaise à proprement parlé. Dernière particularité : Utilisation des dents. Dents limés par le passage à l'age adulte. À la fin de JOMON, on a l'apparition du jardinage, horticulture, et est arrivé un jour la riziculture. Ce qui se passe sur le continent. Continent Chinois : agriculture apparaît vers -8000, entre -6000 et -5000, dans le nord de la chine culture du millet, dans le sud riziculture. Des dynasties apparaissent, centralisé, des -1700. Deux noms : Shang - Yin, sous cette dynastie apparaît le bronze et l'écriture. Au XIe siècle avant notre ère commence la dynastie shang, qui maîtrise la culture du riz et se perfectionne dans le Sud. Jusqu'à l'arrivé d'un prince en -221 qui va fonder l'empire chinois, la dynastie Qin. (celui qui avait fait construire une tombe avec des soldats de poterie). En -211, la chine commence à avoir une institution qu'on appelle empire Chinois, avec en -206, l'arrivée de la dynastie HAN. Elle est devenue le symbole de la Chine (dynastie HAN qui a naviguer (?), premier contact reconnu, sous forme d'écrit entre l'archipel et la Chine. Pendant la dynastie vont être crée dans la période Coréenne une administration Chinoise dans la capitale. Problème de date, on faisait commencer le YAYOI au 3eme siècle avant notre ère -> 3eme siècle après. Les progrès de l'archéologie ont permit de parler de plus en plus de 5eme siècle. Pourquoi peut-on dire ça ? Quels critères pour dire YAYOI plus que JOMON ? JOMON -> type de poterie YAYOI -> également Entre les 2 poteries il est quasiment impossible de faire la différence. Le grand critère est la culture. Une expansion très rapide de la riziculture, son arrivée bouleverse tout. Alors qu'au Proche-Orient on a été doucement, au Japon il y à le déclic de l'agriculture, culture très sophistiqué. On a la certitude que la riziculture est venu d'ailleurs, car il n'y à pas de ri sur l'archipel, et une technique déjà élaboré, d'où un contact évident. Comment elle est arrivé sur l'archipel ? On a pensé à des sauts (?) de grâces entre Chine, et arriva peux après Okinawa, mais on a retrouvé aucune rivière. Les plus anciennes retrouvés -> Nord de Kyushu. Mais le Nord de la Corée ne connaissait pas la riziculture. Pendant une grande partie de l'époque YAYOI, pas de différences culturelles entre le nord et le sud. Qui a apporté et à quelle proportion ont-il été apporté ? On a presque la preuve de transfert de population. On a peu de vestiges de squelettes de YAYOI, et montre que des gens du continent sont venu, mais on ne sait pas combien. L'implantation des habitation va changer en grande partie en fonction des rizières. Les premières régions de rizicultures -> plusieurs marécageuses. La pluplart du temps, rizières en plain à côté d'une forêt, un paysage typique. Cela explique 2 choses : La riziculture part du Nord de Kyushu, déplacement complet des centres de gravité. L'habitat groupé de JOMON en forêt, mais centre de grands charge (?) -> autre habitation ce créé dans la région de riziculture. Quand on est agriculteur, le bon sens est d'habiter près des champs. Mais l'habitat de YAYOI n'est pas près des champs, habitation groupé près des village, situés sur les hauteurs. A la différence de JOMON, les villages YAYOI ont des choses qui ressemble beaucoup de fortifications avec fossés en V. Les gens du YAYOI avaient inventé la guerre. En tout cas, il est clair que l'on sais ce battre. L'outillage du YAYOI ne se prête pas à une utilisation en guerre intense. Grâce à la riziculture la densité de population est plus fortes, donc fonctions plus importantes. Avec le YAYOI, on rentre dans le « néolithique «, habitation fixe. Arrivée d'autres techniques, qui ailleurs est différencié par de grandes étapes de la civilisation. ( L'occident : agriculture -> bronze -> fer). Les premier indice de métallurgie au Japon (-300). Le bronze ou fer, cette métallurgie n'a pas été faite avec des minerais du Japon, le Japon importait des lingots pour ensuite les transformer. Au YAYOI il y a un développement de l'agriculture, mais pas d'élevage, juste des trace de chien. Rizières -> travaux -> forces humaines. Paysage très différents de l'occident. Avant Meiji l'élevage ne va jamais atteint un niveau important, pour la poterie, tout ne change pas entre YAYOI et JOMON. Que font-ils avec les métaux ? Bronze a servit à faire des armes, mais pas nombreuses et pas très fonctionnelle. Pas trop d'utilisation du bronze pour la guerre, surtout des armes de pierres. Certains archéologue disent pouvoir différencier les différentes pointes de flèches. Pour la chasse -> conçue pour être réutilisable. Pour la guerre -> pointe plus lourde et d'usage unique. Personnes tués par les flèches est plus sur de réussir. Première utilisation du fer est surtout agricole, pour renforcer les outils en bois. Ex : outils en bois plus fragile et ne ramène pas bien la terre, mais si il est renforcé en fer mouvement plus simple donc, plus de productivités et une meilleur résistance et possibilité de transformer des terrains en rizières. Les conséquence de cette techniques une population en hausse, donc la riziculture progresse plus vite que ce qu'on pensait (18km/an), progression par de proches en proches. Une progression aussi rapide ne peut que s'expliquer par une invasion. Dans le village des habitation semi-enterré comme JOMON. On trouve aussi des bâtiments sur pilotis, pas d'habitation mais grenier pour sécher le riz. Présence de pierre sûrement intercalée entre les piliers et le sol, pour empêcher les rats de monter. Pour certains cas, des trous de poteaux qui indiquent de très gros poteaux, et peut être tour de guet, ce que veux dire sûrement un village défensif. Site connu -> Toro, découvert il y a 50ans. Il y avait divers outils de bois de l'époque YAYOI, ainsi que des graine de riz, du riz rouge. Ce riz rouge est un riz qui mûri petit à petit, il faut le cueillir au fur et à mesure. Autre site -> Yoshinogari, à kyushû. Site intéressant car complet, avec disposition des tombes à l'extérieur, le long d'une route qui menait du village à une grande tombe. Ex : Portes de lances (?), mais aucun dispositif pour adapter une rampe (?). 2 objets très fréquents -> Les miroirs et de cloches. 1Er miroir découvert au Japon, c'est un miroir, on le reconnais par l'analyse de la matière -> miroir rond avec face poli, et recouvert de décors avec inscriptions et dates. Ces miroirs étaient si précieux qu'on les cassait et on offrait des morceaux transformé en pendentif. On a pu faire des copies de miroirs Chinois car la techniques n'était pas compliqué. Pour certains miroirs, il y avait une grande difficulté pour faire la différence, la techniques fut maîtrisé. Le miroir va rester une industrie florissante au Japon et va devenir un symbole très important. 2Ème objet -> les cloches (Dôtaku, clache de bronze) Le modèle est Chinois, ils avaient depuis longtemps inventer les carillons. Il faut taper dessus, pas de battants. Les premières cloches trouvées sont très proche du modèle Chinois ; on ne savait pas trop à quoi elle pouvait servir. Petit à petit, les cloches fabriquées au Japon ne vont plus qu'être utilisé en instrument, plus pour faire du bruit. Mais on ne sait pas pour quoi. Problème de l'endroit , on les a trouvé surtout en grand nombres de tailles identiques et enterré dans un même endroit. Il y a beaucoup d'hypothèses : à la fin de l'époque, Nobles -> ont enterré les trésors, donc les cloches. L'enfouissement répondait à des rites, enfouis et ensuite déterré. Un instrument fabriqué avec des matériaux rares ne pouvait être des objets du quotidien, donc peut être des objets religieux. Pour faire bref on peut penser que tous ceci étaient des instruments de prestige. Les tombes étaient organisées, un chemin mène à un petit tertre. Les tombes sont une aubaine pour les archéologue, quand ont inhumait quelqu'un on mettait toujours quelques choses. Dans le cas de YOSHINOGARI , il est pauvre mais existe. Perles diverses, pour certains en grandes quantités, pots de verre blanc avec motifs. La population de YAYOI ignorait la fabrication du verre, donc l'importation du verre servait pour la décoration. Autres objets -> « Magatama « en forme de crocs, virgule. Elles pouvaient être en pierre polis dure ou en pâtes de verre. Il servait d'objet pour l'habillement, bracelet ou collier. Les tombes sont faites avec des jarres -> cercueils jarres. Le problèmes est qu'ils n'ont pas encore de fours, donc compliqués. Beaucoup de défunts en positon foetal, une sorte de renaissance, ou pour éviter qu'il reviennent nous hanter. Toutes les sépultures ne sont pas des jarres, des fois ils sont enterrés avec des pierres tout autour et au dessus ainsi qu'un petit fossé autour pour bien séparer. La civilisation n'est pas monolithique, car des tombes plus grandes que d'autres, ce qui signifie qu'une partie de la population est supérieur. Il y a un certaine hiérarchie. Cela apparaîtra dans des textes Chinois parlant du Japon. 22/10 Sceaux émis par les Han pour le Yamato, donc il y avait bien un lien entre WA et NA (ou NU). Le sceaux fut trouvé à kyûshû et est authentique, il existait des amitié politique à cette époque. Les histoire des Han rédigé avant les WEI en Chine, n'a pas suivt l'ordre chronologique. Normalement la dynastie suivante écrit l'histoire mais pas les HAN. Trois dynastie : WEI, SHU et WU. AU 4ème siècle -> Gishi Wajinden = partie relative au WA (prempier texte du Japon). Il rapporte la réalité du 3ème siècle, ce texte parle des WA. Mais les Chinois n'ont jamais été sur l'archipel donc c'est un récit d'autre pays. Ils parlent des WA comme une trentaine de pays et dans ces pays il y a des NA ou NU. Ce texte nous apprend qu'en 237-239 sur l'archipel une personne nommé HIMIKO, elle n'avait aucun contact avec l'extérieur, son frère faisant l'interprète. La souveraine suivait la voie des "?"(ki/oni). Elle avait donc un statut religieux, d'où l'interdiction de contact. On sait qu'elle a entretenu des rapports avec la Chine où elle aurait reçu un sceau d'or (toutefois jamais retrouvé). Elle aurait également reçut cent miroirs... Le texte chinois spécifie qu'elle fut inhumée dans un grand tertre de 100 pieds de long avec une centaine de ses servantes. Ce texte explique qu'il pêche des coquillages et ont des tatouages, qu'ils marchent pied nu et mangent avec les mains. Ils utilisent des procédés de divination en brûlant des os, qu'ils seraient polygames et s'agenouille au lieu de s'asseoir. Donc l'entré du Japon dans l'histoire commence avec la chine KOFÛN (ancien tertre) Terme utilisé très tôt alors. A partir du texte l'archipel et le continent on des relation plus intense. Grâce au texte chinois, 5 noms sont ressortie au cour du 5ème siècle : (lecture sino) Son Chin SEI KO BU Bu ce détache il corespondrait à Yuriaku. On a retrouvé 2 épée avec des inscription du 5ème siecle. Premier texte écrit à la chinoise en lecture sino. Il comportait 2 noms de province : Saitama (471) Kyûshû Datée avec cycle de Go. Un souverain aurait pu offrir une épée à un autre souverain. A l'époque organisation politique préfigure l'état. Pas de bouleversement technologique. Il y a 2 type de poterie : Haji-ki : Chaleur faible, rougeâtre/orange forme simple Sue-ki : fabrication milieu Kofun, grise couverture glacé, plus solide et plus raffiné, mais nécessite un four particulier (Nobori gama). Même techniques que la Corée, impossible à différencier. La tour de potier arrive en l'an 400. Le fer connais une grande expansion mais est toujours importé. La techniques de terrassement est améliore pour les rizières et tertre. L'armement aussi, épée, bouclier de vois avec renfort de fer et armure un type pectoral avec une petit pièce de fer qui restera le long des époques, plaque lié avec un fil de soie et cuir. Des casques avec des décorations.L'écriture arrive. Le cheval arrive aussi au Japon fin du 4eme siècle, tout harnaché. On le sais car retrouvé dans tertre des trace de scelle et étrier. Ils disent qu'il y a eu une invasion de Kira Minzoku mais démentie, car la techniques d'élevage est différente de l'asie et pas de trace de combat. Les habitations sont dispersé a l'époque Kofun et difficile à retrouver. Les rares sont importantes, sûrement des aristocrates, type d'habitation renforcé. Un groupement d'habitation a été retrouvé, ver Nara au pied de la montagne Niwa. Période Kofun car les tombes sont les plus visible , apparition de grande tombe puis disparition à la fin. 1Ere tombes date du milieu/fin du 3èeme siècle (Himiko), à la fin du 4eme debut du 5eme le plus grand tertre DAISENYAMA (Nintokuryô), 180m de long 35m de haut. Dispose de 3 faussé ( au moins 2) et pleins de poteries. Il fallut environ 200 000 travailleurs pour la construire. Il correspond sûrement au premier des 5 noms (SON). Il y avait des Haniwa comme une barrière autour, et sur la tombe 3 série de Haniwa. (10aine de millier). Il y avait des village de potier autour de la tombes pour réalisé tout ce qu'il à autour et sur la tombe, qui est en forme de trous de serrure (zempôkôenfun). La partie antérieur ne servait à rien, la partie postérieur servait sûrement à des rituel. La forme n'était visible que par avion. La tombe est dans la partie funéraire, dans le 1ere partie de Kofun enfouissement à la vertical et dans la 2eme partie de Kofun latérale avec une porte scellé. Dans la techniques vertical inhumation qu'une fois avec 1 ou 2 corps. Dans la techniques latéral plusieurs inhumation, on peu retrouver une 10aine de corps. 2 type de cercueils , le 1er est un tronc évidé, le 2eme est un sarcophage (très lourd) de Shikoku pou Nara, sarcophage à double usage (pour deux). Le mobilier est riche, on y trouve des miroir, armure, épée. Pièce de chevaux, la vaisselles en Sueki pour les offrandes. Des maquettes de maison, des Haniwa et des hommes. Pour les hommes, il y a le paysans, guerrier avec bouclier et aristocrate. Sichishito -> Il ce trouve dans le sanctuaire Isonokamijinja. Cette épée à une inscription qui commence par une date qui correspond à l'année 369. Il a été donné à Yamato (ou prince des wa) par l'empereur de chine actuel. Donc il y a relation diplomatique et confirmation qu'il y a un prince des Wa. Le second objet est une stèle (au nord de la Chine), une stèle monumentale inscrit sur les 4 faces. Ce qui ressort de ces textes, est d'avoir repoussé les Wa ? en 414. Donc preuve de puissance dans la péninsule Coréenne (?). (?)Au 5eme siècle c'est Kokurio qui dirige, à la fin du 5eme siècle c'est Sila qui dirige et attaque partout (sud est principalement) et va chercher des allier chez les Wa. (?) Après la chute de Han les 3 royaumes ce morcelles en une 20aine à la fin du 6eme siècle. Détruit petit à petit, les autres royaumes et ce termine en 589 par la dynastie des SUI(SUE), ne dure pas très longtemps. Donc il y a un roi des Wa mais sûrement pas de pouvoir précis, car pas d'informations. Avec du Kofun un peu partout et un roi on est peut-être en face d'une féodalité. Il y avait un segeineur Iwai responsable de la province de Tsukushi. La rébellion d'Iwai (????, Iwai no Ran) est une révolte contre la cour de Yamato qui a lieu à Tsukushi près de l'actuelle ville d'Og?ri dans la préfecture de Fukuoka) en 527. La rébellion tient son nom de son chef, Iwai, dont les historiens pensent qu'il est un puissant gouverneur de la province de Tsukushi. La révolte est écrasée par la cour de Yamato et joue un rôle important dans la consolidation du Japon ancien. Le fils à donné des terres au roi des Wa mais garde une bonne partie, il ne fut pas tué. Au sud de Kyushu (region du Hayato) le style des tombes différentes (hypogée), souterraines trouver nul part ailleurs. Il continue a ne pas être soumis, ils envoient plusieurs émissaires et interprètes. Les nord-est du Japon n'est pas sous l'influence Kofun, donc ils sont dans l'ère des Ishi (?) ou Ebisu (barbare de l'est, poilu, barbu) ils resteront insoumis jusqu'à Heian. Évolution historique, par la modification des tertres. Les grand tertres deviennent rare et il y a une multiplication de petits tertres (rond). Utilisation de falaise pour creuser une chambre funéraire, et changement de l'organisation social. A la fin du 6eme siecle ils sont encore moins grand les Kofun disparaissent. Dans la région centrale on retrouve des Kofun carré. Donc la fin du 6eme siecle marque la fin de Kofun. Le bouddhisme arrive ainsi que l'écriture. A la fin de Kofun on apprend que les Wa sont les gens du Yamatto, à leur tête un souverain ôkimi (grand seigneur). Le Clan Ujigami, système clanique (groupe de famille descendant du même anscetre mais pas forcement directe), lié à ce clan un titre : Hiko, Kimi, Sukune pour les clans moyen. Les noms de titre Kabane sont donner après le nom des clans et avant le nom personnel, ceci va perdurer jusqu'à EDO. C'est pour distinguer les famille du même clan. Les Kabane (dernier fin 7eme siècle). Il y a 2 Kabane important OMI et MURAJI. Parmi tout les OMI un était considéré comme grand OMI (ÔOMI/ÔMURAJI). Ces clans sont proche du souverain. En province, les clans noble avait le titre de KUNI NO MIYZTSUKO (serviteur du palais), envoyé à la cour comme 2eme categorie de personne. Les garçons devenaient des TONELI (serviteur attaché au souverain) et les filles des UNERE. En dessous de cette aristocratie, système de s BE (?), 2 type de population. type rattaché à un clan. Ex ; Sogabe (ils peuvent être dans différentes régions) population dépendantes. Type spécialisé (artisans, techniques). Ex : URABE (Divination) clan de divination. INKAIBE (éleveur de chien), HAJIBE (poterie rouge). A la tête de ces BE spécialisé il y a des chefs. Milieu 6eme fin 6eme siècle il y a l'arrivée de l'écriture, mais peu utiliser et puis plus utilisé. Le bouddhisme : 5eme siècle avant notre ère, il rentre dans la région occidental au Pakistan. Il eu une rencontre entre des Bouddhiste et des généraux d'Alexandre le grand. IL arrive en Chine par le commerce à la fin du 1er siècle. C'est à l'explosion des HAN que ceci va plus s'étaler. EN péninsule Coréenne avec Sila (535), au Japon il arrive en 552 et le NIHONSHIKI 538. Ils reçoivent tous ce qu'il fait pour le culte (statut, textes ect..). IL y a les Soga, Monobe, Nakatomi. Les Soga sont pour mais pas les autres, il confit la statue au Soga, il eu une épidémie et ont pensé que c'était à cause de la statue et la jette, mais l'épidémie reprendre et vont récupérer la statue. Ensuite il eu une guerre pour régler les différent entre SHITOKU et TAISHI. Le bouddhisme devient alors indispensable dans l'histoire du Japon. Il arrive par le Haut, par le souverain puis la population suit, la maison impériale et bouddhisme reste soudé jusqu'à l'ère de MEIJI. Sans le bouddhisme les Japonais ne serraient pas ce qu'ils sont maintenant. D'abord la religion est au service de l'état qui a subventionné les monastères car elle donne une image protectrice, car il n'est pas arrivé seul (médecin, sculpture, fondeur,charpentier). Premier bâtiment construit d'un style Chinois pour la religion puis pour le souverain. Le plus vieux Horyuji. Avant l'arrivée du bouddhisme pas de représentation par des statues, cette culture va être conservé. 19 novembre Première apparition du titre de Tennô (tenno). Les choses vont se précipiter, beaucoup de bouleversement, une suite d'événements d'importances égales. Préparation de ce qui va aboutir, en 701, les 1er cales Japonaises (taihô ritoryô) suivi par une refaite (?) sous le nom de (yôrô ritoryô) en 757. Système qui va permettre a l'administration de fonctionner. Autre fonction : celle de prouver, de façon géographiques avec les capitals (694 : fujiwara kyô, 710 : hiyokyô, 784 : Nagaoka kyô, 794 : heian kyô) jusqu'à 1868).Elles changent malgré tout, il aura fallut presque 100 ans pour passé d'un système non fixe à celui de capitale. Première frappe de monnaie les premières datent de 708. (Ere de Wadô)  cette ère car on a trouvé des mines de cuivres ce qui a permis de faire les premières monnaie. Complexe, il se pourrait que parce qu'il y en avait en Chine, on à des doutes sur son rôle. La dernière frappe est de 959. Le monnayage disparaît en plein milieu de Heian, l'état est prospère, les monnaies ne correspondent pas au besoin de l'état. Les monnaies émises sont de style chinois, rondes avec centre carré. Du point de vue des croyances, basculement des élites dans le bouddhisme, référence religieuse : bouleversement dans les rites funéraires. Quand le Tenno est mort, 2 ans de funérailles. En 702, la veuve du Tenno, Jito à demandé que sont corps soit incinéré, et les dans le tombeau de son mari. Cette évolution va s'accroître par une haute impératrices Genma, mort ...., elle demande une incinération, pas de funérailles. A partir du 8eme siècle, le bouddhisme devient de plus en plus présent dans les rites funéraires, quasiment pas de tombes d'étudié. La construction de 2 monastères par province, systeme kokubunji. Chaque province devaient en avoir. Les maires sont chargé d'accomplir des rites. Au sommet de cette hiérarchie, un monastères de nones et un grand monastères Todaiji. Ce monastères comportait beaucoup de batiments, batiment centrale avec un gran Bouddha. (Rushanabutsu (?)). Les statues ressemblent au corps du bouddha, elle faisait 1mètre. Bouddha cosmique (dainichi : bouddha illuminé) sorte de parallèle entre le Bouddha et empereur. Inauguré en 752, le grand événement du 8eme siecle (kaigemkuyô : offrande pour ouverture des yeux) les statues ne sont pas sacralisé. La cérémonie consiste à prendre la pupille, on a conservé le pinceau pour prendre la pupille. On dit qu'il y avait 10 000 moines (dont chinois, corèen ) aussi spectacles dont on a conservé les masques (gigaku), bizarre car les modèles pas d'usages Japonais, le modèle sûrement de population Indo Européenne. L'inauguration de ce grand Bouddha, on a trouvé de l'or. On a fait appel à l aprotection d'un dieu Japonais, on a fait venir de kyushu (Hachiman). En ce milieu du 8eme siecle, on oublie pas les dieu. Hachiman va recevoir un titre : « Hachiman daibosatsu «. Le dernier considéré comme ancêtre de la famille impériales Amaterasu Omikami : la grande déesse qui illumine le ciel. Elle a choisie comme lieu de résidence « Ise «. A Ise , on a construit un double sanctuaire.(Il est reconstruit tout les 20 ans) le début de ce système à lieu sous Jitô. Aussi à ce moment la que se mit en place un autre système: Saigû. On envoyait une femme proche de l'empereur : sa fille mais si trop jeunes une autre femme proche. Sanctuaire réservé à la famille impériales. A partir de Tenno, le soucis est de dater le Japon des mêmes éléments que la Chine, dont l'écriture d'une histoire. En Chine, le bureau chargé d'écrire l'histoire. Au Japon, pas de chagement de dynastie, donc envie de doter le Japon d'une histoire (Seishi), société, musique ect.... Histoire très complète. Le Japon connaissait ces histoires et en a voulut se doter. Projet lavé par Tenmu et résultat arrive en 720 avec présentation du Nihonshoki. Tout les événement sont des datés, avec pour point de départ (?) grace à ya (?) datation néanmoins concrète. Des la fin des Han, les histoires prennet le nom des dynasties., au Japon on prend le titre de Nihon. Histoire Chinoise, utilise le terme de « Cho «, pour dire, beaucoup d'histoires Chinoises s'appellent Cho à la fin. Cho peut être « histoire « Le Nihon shoki commence à la séparation du ciel et de la terre. Le point de vue des Chinois, impensable de mêler l'histoire des dieux et des hommes. Cette ouvrage à été réalisé par de très bon lettrés, sous la direction d'un prince (Toneri). Il apparaît qu'il y à une suite (Shokuyongi) avec des suites qui ont des suites... pour donner Rikkokushu. Le Kojik date de 712, arrivage bizarre, pendant longtemps il est inconne et non cité, le texte est un melange de chinois et de Japonais difficile à lire. Il a beaucoup de succes à Edo, une sorte de « bilble «. pour antiquité Japonaises, c'est le premier texte en japonais du Japon et donc une seule version des mythes Japonais. Domaine qui résista la « Poèsis «, dans le Nihonshoki, quelques passages ne sont pas en Chinois, des poèmes et chants. Cette forme me Waka naît à la même époque. Cette poèsie avec les poètes officielle, les Japonais se mettent aussi à écrire en Chinois. Anthologie de poèmes Chinois : Kafûsô Anthologie de poèmes Japonais : Man yôshû. Les codes, depuis 701, codes qui permet au Japon de fonctionner. Les provinces (base de 60) quelques un rejoints la base pour arriver à 66 provinces. Gérer les provinces difficiles, donc créations de groupe. Le système inégale car circuit (ex : tôkaidô : circuit de la mer orientale). Répartition de tout l'espace en 7 circuits, les provinces s'y accrochaient. Puis provinces à part le Kinai. Mesure de référence : le shoku : le pied mesure à un peu sauvée selon modèle. Système Jôri : répartition de l'espace en petit carré, qui veut se subdiviser. Pour les H, les codes sont très précis, sauf sur l'empereur. L'organisation se fait sous la direction de 2 ministères et ensuite 7 ou 8 départements. 1er ministères : Jingikan (kan : ministères des déesse célestes et terrestre), du point de vu protocolaire, c'est le premier des ministères, néanmoins ceux qui le servait sont des subalternes. 2eme ministères : Dajôka : ministères des offrandes suprêmes, a sa tête, le Dejôdaijin. Titre si important qu'il n'était pas assez paru (des fois a titre posthume) 3 autres : sadajin : ministre de gauche Udaijin : ministre de droite naidajin : Tiers ministre (apparaît en 779). Par ordre de hiérarchie, la gauche prédomine. Quand la fonction suprême pas paru, Sadaijin était celui qui dominait. 2 groupes : contrôle de gauche et de droite. Sabenken et Ubenken. Sabenken : Département des affaires de la cour, département des rites, département des affaires noble et département des population (seulement pour le peuple) Ubenken : Affaires militaires, justice, trésor, département du palais et gardes du palais. Les militaires savait bien tirer à l'arc et la façon de tirer est très importantes. Pour les gardes de portes Emon était un titre et petit à petit devient un surnom et apres un nom personnel. Système hiérarchisé très précis de 8 rangs + 1. 1,2,3 sont subdivisé en Inférieur et Supérieur donc 6 divisions. 4 et 5 : 4 subdivisions : Inférieur majeur, mineur Supérieur majeur, mineur. Il existe plusieurs barrières, les 3 premiers forment « aristocratie des astres « Pour espérer intégrer les premiers rangs, il fallait commencer au 5em rang. Les familles aristocratique sont puissantes car déterminer par le poste occupé. 26/11 Les Daigakujo/yo sont chargé de former les fonctionnaires bas pas les hauts. Il y avait une confession le 1er du moi et le 8eme. Lecture classique, source classique, puis un banquet. Au Japon la confessions est réservé au lettré, alors qu'en Chine non. L'empereur ne ce déplaçait pas mais en chine oui. Il s'est développer au cour de Heain une autre voix, la voix des lettres. L'ouvrage le plus étudié est le Monzen qui est chinois. Une autre voix : JIDA (Erya en chinois), et les ministres historique SHIKI-SHIBA-SEN. La formation des fonctionnaires est une formation à la Chinoise. Heian Fin d' époque de Heain 12eme (INSEI JIDAI) . Milieu période Fujiwara Jidai. 1er période : reprend les codes. Il y a ey 2 grand commentaire. Des codes rédigé : ryo no gige ryo no shige Il y a aussi la compilation de règlement ENGISHIKI (901-923) le plus connu. Compilation des décrets (kyaku) émit l'époque de Nara. Un effort, une volonté de conformer du gouvernement avec les codes et les décrets. Ex : diminution des charges dans certain cas, permet au peuple de respirer. En 902 dernière tentative de redistribution des terres entre personne qui en ont besoin. La stabilisation de l'espace (fin de la conquête). L'appropriation des grandes îles Honshû, Kyushi, Shikoku à pris du temps. Dans le Nihon Shokion parle de YAMATO TAKERU partie à la recherche de pacification. A partir du 8eme siècle les documents sont fiable et l'archéologie aide. Avant le Yamato les terres était considéré aux Emishô (barbare), on envois quelqu'un pour pacifier ces barbares. ( Le titre de ce récit : SEITAISHOGUN) Il va servir plus tard pour d «signer le guerrier le plus fort. Les points de repère de la progression par rapport ay EMISHI, TAGAJO HI. Tagajo est une enceinte palissadé avec des Trous mais pas de fortifications. Il y avait une stèle qui indique la position par rapport au EMISHI. Au 9eme siècle plus de EMISHI libre. Il y avait une autre peuple barbare Hayato (sud Kyushu), ont utilise des interprètes pour discuter. La soumission c'est enchaîné par enroulement comme garde barbare à la cour. Ils étaient supposé accompagner l'empereur en aboyant. Encouragement des lettrés, et facilités des lettrés. Quelqu'un qui obtiens une poste important grâce à ces connaissance de lettres: SUGAWARA NO MICHIZANE, issu de petite noblesse. (ancêtre HAJIBE spécialisé en poterie puis funéraires). Le grand père était savant lettré, il a su plaire au souverain qui est sont protégé. Il à inflechit (?) la potlitque Fin 9eme siecle. Il fut désigné embasadeur en dérection de la chine à l'époque des TANG mais il n'est pas partit. Son argument : Les Tang vacille en 907 puis s'écroule. Partir est trop dangereux et trop long. Parmi les nombreux ouvrages de l'époque il participe au Nihonsandaijitsuroku ( chronique véridique des 3 règnes), dernière des 6 histoires officielle. (la meilleur). Problème : Pourquoi les Japonais ont arrêté d'écrire l'histoire des Japonais. Il érite aussi une présentation et classement des meilleurs empereurs. IL eu droit à des promotions ; UDAIJIN (ministre de droite) Mais il n'est pas un Fujiwawa et cela crée des précédent au sein des Fujiwara. Donc un autre que Fujiwara pourrait accéder au poste. Mais Fujiwara Tokihira dit que SUGAWARA complote contre l'empereur. Suite à ca il fut renommé DAIZAIFU, un titre moins interessant, Il fut maltraitéet meurt 1 an plus tard 903. Tokihara meurt en 909, ils disent que ça mort n'est pas naturel, et aussi la foudre tomba sur le palais. La divination disent que c'est SUGAWARA. Pour l'apaiser on lui donne le titre de ministre des affaires suprêmes. Mais il n'est toujours pas apaisé. ON crée un sanctuaire en son honneur dans la langue de Kitano ( Tenmangû). Au début de Heian commence le début d'une littérature Japonaise. Le Nihonryôiki (822) maire de Keikai(?) premier exemple : population de Setsuwashû (petit récit de prêche) en chinois facile à lire. Le premier texte japonais Taketori Monogatari (conte du coupeur de bambou). Hisoitre ironique par rapport au compte écrit en japonais. (vision par rapport à sont temps). Un peut après Isemonogatari ( les contes d'ISE) début 10eme, c'est un grand classique de la littérature japonaise. Il est encore étudié, un recueille de petites hisoitres. Koki Wakashû (collection de poèmes Japonais hier et aujourd'hui) 905. l'un des responsable est Kinotsu Rayuki. Première anthologie impériales, fin 9eme-10eme rassemble les meilleur poèmes pour les conserver. Préface du debut de la langue japonaise et poésie. 03/12 -Tosa Nikki 935 (journal de Tosa) Kinotsu Rayuki. Nikki est un genre de litterature. Il existe 2 genres de Nikki : Serieux (noble) femme (en japonais) Journal émailler de poèmes L'influence du bouddhisme et 2grand courant. Deux grand personnage : Kukai et Saichô qui marque le courant. Kukai : 774-835 né à Shikoku dans une petite noblesse provincial. À 18 ans il rentre au Daigokuryô, à 24 ans il écrit Sangôshiki, considéré comme un livre comique. Le livre est l'essentiel des 3 enseignement et dit que le bouddhisme est le meilleur. Il a été accepté pour participer à une ambassade en Chine au 8eme siècle, il met 5 mois pour y arriver. En 3 mois il obtient un titre : la consécration de la transmission de la loi. (Denpô Ajari Kanjô). Considéré comme premier patriarche de bouddhisme ésotérique. Il à une très grande capacité d'étude. Il revient au Japon avec des Sutra, rituel et 2 grand mandala (mandara). Il revient au Japon en 806 près de la capital. En 816 l'empereur Saiga lui offre une terre loin qui s'appelle Kôyasan. En 823 on lui offre la responsabilité du Toji qui ce situe au sud de la capital. En 824 il grimpe dans le bouddhisme, En 828 il crée une école ouverte à tous. Elle ne dure pas longtemps, mais première école ouverte à tous. En 834 il a la permission de célébrer la culture bouddhique dans le palais. En 835 il s'éteint dans la tradition. Il n'est pas mort mais il deviendra Mirokubasatsu (temple). Autour de lui va ce constituer un énorme cimetière pour l'attendre. (petit trou) Un personnage qui à marqué son temps. En Chine il les a épaté en calligraphie. Il rapporte des connaissances de Chine. Il transmet le bouddhisme ésotérique depuis la Chine au Japon. Shingon Shu mantra authentique. Le but est de ce fondre dans le bouddhisme cosmique. Saichô 767-822 Il rentre jeune dans le monastère Nara. Il reçoit un titre au Todaiji. A partir de l'époque de Nara ordination au Todaiji avant ordination en Chine.

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