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La violence est-elle acceptable ?

Publié le 22/02/2012

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  Introduction   La violence est un abus de force, une façon de faire agir quelqu’un contre sa volonté. Qu’elle soit physique ou psychologique, on constate que le recours à la violence est une attitude de plus en plus fréquente dans notre société. Face à une situation de conflit, la violence est-elle acceptable ? Dans le premier temps, nous examinerons les situations dans lesquelles, malheureusement, la violence devient la seule issue pour certains d’entre nous. Puis, dans un second temps, nous verrons que dans la plupart des cas, elle ne constitue en rien une réponse acceptable.     DEVELOPPEMENT     La violence est une façon de se faire respecter quand un individu se retrouve face à des gens fragile et démunis. Elle se rencontre chez les adultes, les adolescents et mêmes les enfants. Les différences ( culturelles, physiques, sociale….)  peuvent favoriser la haine, la jalousie et se trouve parfois au sein de la famille. Les enfants maltraités et les femmes battues sont encore trop nombreux dans notre société actuelle. Le regard des autres peut susciter des réactions violentes  comme dans le roman de Steinbeck « des souris et des hommes «. Curley complexé par sa petite taille se lance des défis et essaye de « grandir « par la force en s’attaquant à Lennie qui est un personnage très grand.         Néanmoins, la violence peut –être aussi le seul recours possible pour défendre la liberté de l’homme. Elle se traduit , alors , par la guerre.     La violence est une forme de régression, un retour à la loi de la jungle où aucune règle n’existe. Cela peut très vite dégénérer. C’est de la violence gratuite dans le but de faire mal sans aucunes rasions valables. Prenons exemple dans les stades. Lors d’un match, en fonction des équipes qui se rencontrent, les forces de l’ordre sont obligés d’intervenir pour assurer la sécurité des «  supporters et spectateurs «. L’esprit sportif est vite oublié pour laisser place aux injures et aux « poings « . Dans ma vie de collégien, j’entends parler de plus en plus de raquette avec menace physique et psychologique. J’ai du mal à comprendre et à excuser de tel comportement.   Quant à moi,  je trouve que toutes forme de violence est inadmissible ( sauf peut-être dans les cas politique pour préserver un droit) En ce qui me concerne je trouve que toutes les sortes de brutalités ne résolu rien. De plus en plus dans notre société, la violence est employée pour diverses raisons. Le dialogue devient de moins en moins fréquent dans une situation de conflit.    Aucune violences ne peut être légitimes sinon toutes le seraient et la violence deviendraient alors un recours normal dans une position embarrassante.         --- Contenu à insérer: ---

 

Introduction

 

La violence est un abus de force, une façon de faire agir quelqu’un contre sa volonté. Qu’elle soit physique ou psychologique, on constate que le recours à la violence est une attitude de plus en plus fréquente dans notre société. Face à une situation de conflit, la violence est-elle acceptable ?

Dans le premier temps, nous examinerons les situations dans lesquelles, malheureusement, la violence devient la seule issue pour certains d’entre nous. Puis, dans un second temps, nous verrons que dans la plupart des cas, elle ne constitue en rien une réponse acceptable.

 

 

DEVELOPPEMENT

 

 

La violence est une façon de se faire respecter quand un individu se retrouve face à des gens fragile et démunis. Elle se rencontre chez les adultes, les adolescents et mêmes les enfants. Les différences ( culturelles, physiques, sociale….)  peuvent favoriser la haine, la jalousie et se trouve parfois au sein de la famille. Les enfants maltraités et les femmes battues sont encore trop nombreux dans notre société actuelle. Le regard des autres peut susciter des réactions violentes  comme dans le roman de Steinbeck « des souris et des hommes ». Curley complexé par sa petite taille se lance des défis et essaye de « grandir » par la force en s’attaquant à Lennie qui est un personnage très grand.

 

 

 

 

Néanmoins, la violence peut –être aussi le seul recours possible pour défendre la liberté de l’homme. Elle se traduit , alors , par la guerre.

 

 

La violence est une forme de régression, un retour à la loi de la jungle où aucune règle n’existe. Cela peut très vite dégénérer. C’est de la violence gratuite dans le but de faire mal sans aucunes rasions valables. Prenons exemple dans les stades. Lors d’un match, en fonction des équipes qui se rencontrent, les forces de l’ordre sont obligés d’intervenir pour assurer la sécurité des «  supporters et spectateurs ». L’esprit sportif est vite oublié pour laisser place aux injures et aux « poings » .

Dans ma vie de collégien, j’entends parler de plus en plus de raquette avec menace physique et psychologique. J’ai du mal à comprendre et à excuser de tel comportement.

 

Quant à moi,  je trouve que toutes forme de violence est inadmissible ( sauf peut-être dans les cas politique pour préserver un droit) En ce qui me concerne je trouve que toutes les sortes de brutalités ne résolu rien. De plus en plus dans notre société, la violence est employée pour diverses raisons. Le dialogue devient de moins en moins fréquent dans une situation de conflit. 

 

Aucune violences ne peut être légitimes sinon toutes le seraient et la violence deviendraient alors un recours normal dans une position embarrassante.

 

 

 

 

« poèmes ont été composés en Norvège et seulement transcrits en Islande.

Enfin cer­ tains érudits (installés plus au sud, sur le continent) vont même jusqu'à affirmer que nous n'avons affaire qu' ·à des traductions scandinaves de poèmes disparus, dont les au­ t eurs étaient des Germains établis sur l'ac­ tuel territoire allemand.

On se fonde sur le fait que certains récits hérolques de l'Edda se déroulent sur les bords du Rhin et que les poèm e s ne contiennent aucun nom de lieu scandinave.

Cet argument, ·à vrai dire, n'est pas dé­ cisif, puisqu'il s'agit peut-être d'une HUé­ rature d'émigrants souvent dominés par la nostalgie du pays qu'ils viennent de quitter .

Il n'est pas aisé non plus de fixer une date pour la composition des divers poèmes constituant l'Edda.

Nous ne saurions affir­ mer que tous les éléments du recueil pro­ viennent d'une même époque.

Il se peut que certains d'entre eux, rédigés ·plus récemment que les autres (la Gripisspd, ou Prédiction de Gripir entre autres), ne soient que d'habiles pastiches.

On peut dire, en toute certitude, que les poèmes de l'Edda se fondent sur la culture raffinée d'un âge cosmopolite, l'âge des Vikings.

Mais, ceci dit, les appréciations des savants varient : si l'on admet que les poèmes ont été com­ posés en Islande, cela signifie qu'ils ne peu­ vent être antérieurs à la fln du 1x• siècle.

D'autre part, l'Islande s'est convertie au christianisme en l'an 1000.

On serait tenté de croire que l'Edda a été consignée sur le parchemin aux abords de cette date, en un temps où le paganisme germanique, se sentant menacé, subissant la pression du monde chrétien (dans l'Edda les infiltrations de la pensée et du dogme chrétiens se laissent aisément discerner) cherchait à se pérenniser, au moins sous la forme d'un testament poétique.

On a formulé aussi l'hy­ pothèse que, vers 1'an 1100, une réaction contre l'influence chrétienne aurait pu ame­ ner des poètes à fixer les traditions reli­ gieuses et nationales du monde germaniaue.

Le Codex Regius constitue déjà comme une édition bien ordonnée et classée des textes qu'il nous propose : les premiers poèmes nous introduisent dans le monde des dieux et nous découvrons la cosmogonie et la sagess ·e des anciens Germains.

Citons d'abord la Voluspd ou Prédiction de la Voyante.

Nous apprenons comment est cons­ titué l'Univers, d'où il vient, où il va.

Nous vivons .

à l'avance les heures tragiques du. »

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