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L'arctique russe : synthèse

Publié le 14/04/2013

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Gérer les ressources terrestres 2e partie : les mondes arctiques Synthèse sur l'Arctique russe : Introduction La Russie est le plus grand pays au monde et possède la plus longue "frontière arctique", c'est donc un pays majoritairement sec et froid. Pour les Russes, l'Arctique leur appartient. En quoi l'Arctique constitue une "nouvelle frontière" pour la Russie ? La Russie possède deux types de végétations: La toundra (mousse, arbuste, nickel) et la taïga (forêt de conifères) où il y a dans cette dernière tous les matériaux pour transporter les ressources en Russie. Les Russes vivant en Arctique sont soumis à des contraintes climatiques et saisonniers, selon un expatrié français, il y aurait deux heures de jour en hiver, pas de nuit en été, des températures qui varient entre -56°C et jusqu'à 30°C, un sol cloaque à partir de juin peuplé de moustiques énormes, cela dure trois mois. Ce lieu hostile fut beaucoup utilisé à partir de 1930 pour accueillir des goulags, comme le goulag Vorkouta. Le cercle polaire est le début d'une zone hostile où seuls les pétroliers et les scientifiques osent s'y aventurer. L'Arctique possède des ressources de pétrole et de gaz, par exemple un champ de pétrole de 320 km² que se partagent Loukoil et Total. Il faut essayer de maintenir "l'or noir" à l'état liquide, pour cela il y a beaucoup de structures. La Russie exploite depuis des années les gisements géants situés dans les terres sibériennes et certains champs comme celui de Medvezh' alimentent la Russie et l'Europe en gaz naturel. Comme ces ressources s'épuisent, les russes ont décidés d'exploiter des gisements "offshore". L'Arctique est plus exploité qu'avant grâce au réchauffement climatique et aux progrès technologique. Selon le tableau du document 6 page 197, Nénets dans sa production industrielle consacre 98,4% aux ressources naturelles sur ses 1% de territoire russe, tandis que Mourmansk y consacre que 40,9 % sur ses 0,9 % de territoire russe. L'arctique est l'un des plus grands réservoirs de ressources naturelles au monde, il recel 1/4 des réserves mondiales de pétrole et de gaz. Ces ressources sont peu utilisées aujourd'hui mais les ressources du Brésil et du Moyen Orient s'épuisent puisque dans chaque pays elles sont énormément utilisées donc quand les ressources des autres pays seront épuisées, le monde se tournera vers les ressources russes, ils pourront les vendre à ceux qui en proposent le plus d'argent et en tirer une notoriété. L'industrie minière, gazière et pétrolière représente 30% (Nord de la Russie) de l'économie des régions arctiques. La Russie serait donc le plus grand exploitant de pétrole et autres ressources naturelles. Les russes ont visés aussi le prestige en plantant leur drapeau au fond de l'arctique pour marquer leur territoire. Conclusion La Russie est un pays majoritairement très contraignent du point de vue du climat. Depuis de nombreuses années les pays nordiques du monde entier se battent pour avoir l'Arctique, il est l'un des plus grands réservoirs de ressources naturelles, c'est pour cela que la Russie a décidée de planter un drapeau au fond de l'Arctique. En faisant ce geste, ils ont déclenché des réactions de mauvaise foi. Mais quand toutes les autres réserves seront épuisées, la Russie en tirera tous les bénéfices. Déjà aujourd'hui, ces ressources servent à alimenter toute l'Europe et la Russie. Le réchauffement climatique a aussi participé à faciliter l'accès à l'Arctique. -880745-842645

« En 1795, pour effacer les sou­ venirs sanglants de la Terreur, la Convention décide d'attri­ buer à la place une nouvelle appellation : celle de « place de la Concorde ».

En 1815, Louis XVIII lui redonne son nom originel de place Louis­ XV ; qui, sous Charles X, de 1826 à 1830 , sera remplacé par «place Louis-XVI ».

Au lendemain des événe­ ments de juillet, on opte briè­ vement pour la dénomination « place de la Charte >>, en réfé­ rence à la charte constitution­ nelle .

Puis Louis-Philippe, le nouveau ·roi des Français, dé­ cide de revenir à celle de « place de la Concorde », nom que l'esplanade conservera définitivement .

De Louis XV à Louis ...

Philippe Sous la monarchie de Juillet, entre 1833 et 1846, l'achève­ ment de la décoration de la place est confié à Jacques Hit­ torff .

Sur chacun des huit pa­ villons d'angle , l'architecte fait élever des statues représen­ tant les grandes villes de France : Lyon et Marseille sont l'œuvre du sculpteur Petitot, Lille et Strasbourg celle du Suisse Pradier, Bordeaux et Nantes de Caillonette, Rouen et Brest de Cortot .

En 1836, l'horizontalité de l'ensemble est contrebalancé par l'érection du fameux obé­ lisque de Louxor .

Dressé à l'emplacement de la statue de Louis XV, le monument offert à la France par le vice-roi d'ɭ gypte Méhémet Ali est flan­ qué de deux hautes fontaines à bassins, inspirées de celles de la place Saint-Pierre de Rome et auprès desquelles le poète Charles Baudelaire se plaira à venir méditer .

Deux ans plus tard , l' ensemble est complété par dix-huit super­ bes colonnes-lampadaires en fonte destinées à l 'éclairage public.

En 1853, les fossés, que six passages permettaient de franchir, sont comblés .

Jusqu 'en 1788, l'hôtel particu­ lier faisant face au garde­ meuble royal a appartenu à la famille Crillon, qui en a repris possession en 1814 .

Ce palais , dans lequel la France a offi­ ciellement reconnu l'indépen ­ dance des États-Unis d'Amé- LE PONT DE LA CONCORDE Dès la conception du projet, l'architecte du roi Jacques Ange Gabriel a songé faire édifier un pont reliant la place Louis-XV, située sur la rive droite de la Seine, au palais Bourbon, qui lui fait face sur la rive gauche .

Ce pont sera construit entre 1 788 et 1791, sous la direction de l'ingénieur Jean Rodolphe Perronet.

Il est promptement terminé grâce aux pierres de taille provenant de la Bastille, dont la destruction a été décidée avant même que la forteresse ne soit prise ! Comme la place Louis-XV, ce pont changera plusieurs fois de nom au gré des vicissitudes de l'histoire .

Alors qu'il était d'abord prévu de le baptiser « pont Louis-XVI », il deviendra « pont de la Concorde » en 1 791 .

Sous la Restauration, il reprendra sa première appellation, puis, en 1830, de nouveau celle qu 'il porte toujours aujourd 'hui : « pont de la Concorde ».

rique, le 6 février 1778, de­ viendra en 1907, après la mort de la duchesse de Polignac, dernière descendante des Cril­ lon, l'un des palaces mythi­ ques de la capitale .

Les aménagements et les embellissements successifs dont bénéficiera la place de la Concorde lui donnera un char­ me et un style inimitables .

« Le goût du x1x · siècle vient finir ce qu 'avait commencé celui du XVIII", mais sans rien modifier, sans rien détruire ; le Louis-Philippe s'est superpo­ sé au Louis XV, mais les deux couches sont restées bien distinctes », commentera le poète Gérard de Nerval.. »

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