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L'art de la Renaissance

Publié le 10/02/2011

Extrait du document

naissance de l’espace et de la représentation

modernes (15ème et 16ème siècles)

 

Ø  Vasari auteur et artiste du 16ème sc. : Le Vites (les vies) 1550.

Ø  Période considéré comme une 2nd naissance.

 

La Renascita, le renouveau.

Ø  Période designée comme Renaissance en 1855.

Ø  Situé entre le MA et tps modernes.

Ø  Période d’essort intellectuel, mouv. culturel :

·         Quatrocento (15ème),

·         Cinquecento (16ème).

Ø  Diffusé en Italie du Nord (Florence) ds foyers humanistes.

Ø  Apogé à Florence, Rome, Venise au Cinquecento.

Ø  Manierisme : fase finale de R. (dès 1520).

Ø  Mouv. étendu en Europe du Nord (5Alpes) et Espagne à mouv. prolongé.

Ø  Redecouverte antiquité greco-romaine (connaissances : H. d’églises à accessible par la suite).

 

I.                    Relecture de l’antiquité.

à  Culture de l’antiquité remise au goût du jours.

Ø  Néoplatonisme (courent philo) : pensé Platon, Aristote réexploité + spiritualité du christ.

Ø  Litt, mytho : étude au travers texte, philo puis artistique (archi, sculture).

 

II.                 L’humanisme ou comment sortir du « Moyen-Age «.

Ø  Mouv. de pensé, redécouverte productrice du chang. : source prise ds antiquité.

Ø  j Marsile Ficin + disciple Pic de la Mirandole crées néoplatonisme à humanistes.

A/ Pourquoi revenir à l’antiquité

Ø  Artistes qui aspirent à une R., un renv. à ils se tournent vers antiquité époque la + brillante de leur civilisat° (délaissement du passé imédiat).

Ø  Humanisme : mouv. réactif.

B/ Un « moyen-age «

Ø  Période devenue obscure, sans interet à négligeance.

C/ Humanitas et umanistas

Ø  Humanitas seules études dignes de l’H. (grammaire et réthorie).

D/ L’humanisme de Pétrarque (1304- 1374)

Ø  Travail poursuit par Pétrarque : étude de l’antiquité, rech. réflexion spirituelle à dégout du présent, monde idéal rech. dans antiquité.

Ø  Pétrarque : créateur Humaniste.

E/ L’émulat° du quattrocento

Ø  « Au travers de la beauté, on peut accéder au bien. «

Ø  Marsile Ficin, philo influent de la R.

F/ L’H au centre de l’univers

Ø  Humanistes (H de pensés) parlent de tt ce qui mène à l’épanouissement de l’H.

Ø  H. placés au centre du monde (¹ MA Dieux, st esprit) : on se débarrasse des contraintes religieuses à rationel, période de libre arbitre.

Ø  Optimisme.

 

â  Enquête : Œuvres de l’antiquité dépoussierés,

Créat° : utilisés de façon créatives, on rebondit dessus.

 

III.               Giotto : précurseur de la renaissance (trecento, 13ème).

A/Art du MA

Ø  Madone trônant avec l’enfant (« 1280) :

·        Perspective médiocre,

·        Tailles : hiérarchie des pers (autre f. de réalité) à codes strictes,

·        Fond d’or à émanat° lumière divine,

·        Lisibilité, compréhension du msg,

Ø  Rech. de mettre volume : modelage à précose à la renaissance,

Ø  Constatat° sculpture ¹ peinture (besoin illusion pr transmettre réalité).

B/ Giotto, ou les prémice d’un art scénographique

Ø  Elève de Cimabue (1267-1337), travail de fresque.

Ø  La Charité et L’injustice série des Vices et Vertus (1306) :

·         Enorme ¹ impression de sculpture gothique (plis intenses, creues à illusion : on se détache du plan et de l’icône),

·         Impression sculpture en volume,

à  Domaine de vraisemblance : transposit° pictorale de la statuaire,

·         Modif. de concept° de l’image,

·         Questionnement su réalité phisyque : persept° humaine.

Ø  La mis au tombeau, Psautier (esprit médieval) : tentative vol. mais Æ soucis profondeur.

Ø  Lamentat° de la † du christ, Giotto (chapelle santa Maria dell’Arena à Patou) :

·         empirique, exp. volume/ espace.

·         Douleur + ressentie.

·         Scènes religieuse humanistes : début de la représentat° illusioniste.

·         Prémice d’une mise en scène théatrale instinctive  et non conventionnelle,

·         Divinités intouchables devenues proches de nous.

C/ Giotto un vaste retentissement

Ø  Prémice d’un art spectaculaire mis au service de la puissance politique.

Ø  Début de l’histoire de l’art confondu à l’histoire des artistes.

 

IV.               L’Italie comme berceau, ou un art pour s’imposer.

A/ Passé glorieux

Ø  Evanoui avec les invasions germaniques (art gothique).

B/ Rivalités de grandes familles

Ø  Villes qui gagnent en importances.

Ø  Pays non unifié (6 petits royaumes : antités territoriales) à régions indep. dominés par cités gouvernées par puissantes familles :

·         Médisis à Florence,

·         Montefeltro à Urbine,

·         Viscontis Fortsa à Milan,

·         Eites à Ferrare,

·         Gondzague à Mantoue.

â  Rivalités, concurence culturelles et artistiques. Les familles veulent profiter de cette nouvelle forme d’art (imposante et manipulatrice) : comprehansion du talent de Giotto mis au service pol.

 

V.                 Les écoles, « les manières «.

Ø  Manière : style, façon de faire.

Ø  Martini & Memmi, L’annonciat° (1333) :

·         Travail de finesse gothique,

·         Modernité : conscience de la perspective,

à  Equilibre.

 

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