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L'influance de la mode dans le monde

Publié le 12/09/2012

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Avez-vous déjà pensez à quel point la mode influence vos attitudes ? Dans bien des cas, le terme influencer se veux inadéquat. Il faudrait plutôt utiliser le terme obligation. Tiens, histoire de démontrer où je veux en venir. Dans un milieu à forte influence rock, quel gars aurait l'idée folle de porter un pantalon rose ? Dans un milieu affaire, quelle fille viendrait travailler avec une salopette en denim ? Imaginez alors le gars qui va arriver avec un chandail affichant un logo d'une marque commerciale comme Nike, Tommy et j'en passe. Vous voyez sans doute mieux ce que je veux dire avec ces petits exemples. L'aspect de la mode a toujours été bien ancré dans nos besoins. Que nous soyons issus de milieu pauvre ou riche, la mode est bel et bien présente pour faire de nous ses esclaves en quelques sortes. Même ceux qui se disent en marge de la mode comme les punks où d'autres formes d'alternatives répondent à des clichés qui leurs sont propres. La seule différence c'est qu'eux, refusent d'encourager les grosses compagnies à méga-dollards. Dans bien des cas je considère que la mode est quelque chose d'extrêmement matérialiste. Encore plus quand il est question de juger une personne sur son habillement. Mais on y est tellement habitué. Je crois qu'on le fait tous à un niveau plus ou moins élevé. Dans un métro le type veston/cravate va regarder le style punk comme un délinquant alors que le punk va regarder le style veston/cravate comme un capitaliste bourgeois. Cette tendance a toujours été et ne se terminera pas de sitôt. Les modes vont jusqu'à diriger nos idéologies. Pensons à la mode de nos parents qui on vécus un des trips les plus populaires. Woodstock. Les hippies. Le rock&roll. Tiens d'en parler, la musique n'est elle pas le plus grand véhicule de bien des modes. Encore plus à notre époque par l'intervention du vidéo-clip. Le Rock&roll a l'époque choquait les parents de ceux qui sont aujourd'hui nos parents. De nos jours des chanteurs comme Marylin Manson, le techno et d'autres styles choquent nos parents.  L'idée c'est que les jeunes générations vont toujours écouter de quoi qui est différent du temps de leurs parents. Et tant mieux si ça les choque. Ça fait parti de ce qu'on appelle le conflit des générations. Chaque génération veux vivre son expérience bien à elle. 2 eme partie :La Première Guerre mondiale a une influence considérable sur l'évolution de la mode : l'absence des hommes modifie la place des femmes dans la société. Confrontées à de nouvelles responsabilités, les femmes sont désireuses d'accéder à un style de vie qui soit l'expression de leurs nouvelles aspirations. Les années vingt savent traduire cette émancipation. On arrive peu à peu à une silhouette « à la garçonne ». Les robes sont alors raccourcies, largement décolletées à l'arrière, la taille peu marquée, le corset définitivement abandonné. Maquillées de manière artificielle (fards de couleurs vives, sourcils épilés), portant pyjama du soir et cheveux courts, parfois gominés, arborant de longs fume-cigarettes, les femmes manifestent une volonté de libération par rapport aux années de l'avant-guerre. 3 eme partie :  Les hommages sont unanimes aujourd'hui pour saluer la mémoire d'Yves Saint-Laurent. Pour son ami Pierre Bergé, \"il avait donné le pouvoir aux femmes\", notamment en mettant à la mode les smokings  pour femmes alors qu'ils étaient jusque-là réservés aux hommes. Une manière de casser les codes traditionnels.4 eme partie : on ne peut'être qu'admiratif devant un tel talent.Yves de StLaurent, avec Christian Dior et Chanel..ont donné une image de la grandeur de la France.Yves Saint Laurent pour la haute couture, c'est comme Picasso pour la peinture, ils sont inventeurs d'un art.maintenant le vent du changement actuel n'ira pasvers la haute couture, mais à des modes plus accessibles, c'est tout qui sera différent, et la haute couturedevra s'adapter à la civilisation que nous voulonsconstruire

« Quelques moments de fraternisation entre troupes ennemies se produisent au début de la guerre.

Mais la brutalité des combats et la place grandissante de la propagande développent rapidement une image très négative de l'adversaire, qui est relayée par la culture de guerre.

Généralement anonyme, donnée à distance par les artilleurs, la mort est aussi donnée de près lors des « nettoyage de tranchées », faits rarement avoués et narrés par les combattants.

Selon certains historiens, les soldats auraient subi un ensauvagement, G.Mosse parle alors de brutalization.

Confrontés à une violence intense et dans un contexte de levée de l'interdiction de tuer, certains soldats ont pris parfois plaisir à combattre.

Ils livrent alors de leur expérience du front pendant et après le conflit, une vision mythifiée de la guerre, vécue comme une expérience virile, dont les idéologies totalitaires ont pu se réclamer. Les raisons de l'endurance des combattants font encore débats.

Ainsi s'opposent les thèses de « l'école de Péronne » et de F.Rousseau.

La première défend l'idée que la ténacité des soldats est due à la recherche du « consentement patriotique ».

Ce patriotisme aurait été le fruit de 30 ans d'un enseignement patriotique dans l'école républicaine.

De plus elle prête aux poilus des convictions religieuses qui leur permettent de transformer la 1ere guerre mondiale en une espèce de guerre de religion à connotation de croisade.

A l'inverse, F.Rousseau insiste plutôt sur le poids de la contrainte et pense que la raison principale du consentement des poilus au combat est la camaraderie, l'amitié, la virilité : on se bat plus pour la « nation concrète » que pour la notion de patriotisme. Près de 10 millions de soldats sont morts et 17 autres ont été blessés pendant la guerre, c'est la première fois en Europe qu'un conflit se révèle aussi meurtrier.

L'expression de « guerre totale » utilisée dès le conflit renvoie au fait que l'installation imprévue de la guerre dans la durée a mobilisé de manière inédite et profondément les sociétés belligérantes.

Sur le plan technologique et industriel, la guerre de tranchées met en ?uvre une puissance de feu plus perfectionnée et plus dévastatrice que dans les conflits précédents.

Les systèmes industriels performants des belligérants permettent la production massive d'armements redoutables : canons qui envoient des obus à plusieurs kilomètres, chars et avions, qui sont des armes nouvelles ; mais aussi. »

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