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peter ferdinand drucker

Publié le 16/12/2012

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Peter Ferdinand Drucker, né le 14 avril 1909 à Vienne en Autriche, mort le 11  HYPERLINK "http://fr.wikipedia.org/wiki/Novembre_2005" \o "Novembre 2005" novembre 2005 à Claremont en Californie aux États-Unis, est un théoricien américain du management. Il est à l'origine de nombreux concepts utilisés dans le monde de l'entreprise. Depuis la fin des années 1930 jusqu'à sa mort, Peter Drucker a écrit 35 livres : 15 sur le management dondccdt les 2 célèbres The Practice of Management et The Effective Executive. Peter Drucker a aussi régulièrement collaboré à plusieurs journaux et revues économiques de 1975 à 1995, il fut chroniqueur au Wall Street Journal. il écrit plusieurs articles pour l'Atlantic Monthly et The Economist. il fut un important contributeur à la revue américaine Harvard Business Review Idées-forces. On retrouve plusieurs idées-forces dans ses différents travaux : Un profond scepticisme sur la macroéconomie ; L'importance du rôle des managers dans la réussite de l'entreprise avec cinq points principaux : fixer des objectifs, organiser le travail, motiver et communiquer, mesurer la performance, former les salariés ; Un désir de rendre tout le plus simple possible.Selon Drucker, les entreprises doivent se concentrer sur ce qu'elles savent faire et ne pas trop diversifier leurs activités. Elles tendent à fabriquer trop de produits, à embaucher trop de personnel dont elles n'ont pas besoin (la meilleure solution est de sous-traiter) ; il était reconnu pour la clarté de sa pensée, sa largeur de vues et sa capacité à restituer en langage simple des problèmes complexes d'entreprise. Dans un de ses derniers ouvrages Au-delà du Capitalisme, Drucker bien que restant un farouche défenseur du libre-marché, remet en cause certains aspects du capitalisme. Pour lui, la recherche du gain financier ne devait pas primer sur la création de valeur. Il sera ainsi très critique sur les dirigeants et les investisseurs de start-up pendant la « bulle Internet «. Un de ses travaux les plus controversés porta sur la rémunération : il déclara que le management général ne devrait pas être rémunéré plus de 20 fois la rémunération la plus basse de l'entreprise qu'il dirige. L'économie des organisations est une branche de l'économie qui étudie l'ensemble des arrangements institutionnels permettant la mise en oeuvre de la production et l'échange de biens et de services. Dans un sens plus restreint, l'économie des organisations consiste dans l'étude de l'organisation comme entité économique spécifique, l'entreprise étant l'organisation analysée de manière privilégiée. L'économie des organisations s'intègre également dans le corpus plus large de la théorie des organisations. La « théorie des mandats « ou « théorie de l'agence « s'attache à étudier les conséquences économiques de la séparation entre les propriétaires du capital (les actionnaires) et les managers salariés et professionnels d'une organisation (les gestionnaires). Michael Jensen et William Meckling ont écrit, en 1976, un article séminal, sur la théorie de l'agence. Une relation principal-agent existe lorsque l'une des parties (l'agent) est d'accord d'agir au nom d'une autre partie (le principal). Henri Mintzberg, né le 2 septembre 1939 à Montréal, est un universitaire canadien en sciences de gestion, auteur internationalement reconnu d'ouvrages de management. Les mécanismes de coordination Pour Mintzberg toute activité humaine donne naissance à deux besoins fondamentaux : la division du travail entre différentes tâches et la coordination de ces tâches pour accomplir une activité1. Il distingue six mécanismes de coordination : L'ajustement mutuel : La réalisation du travail par le biais d'une communication informelle (par exemple deux ouvriers qui communiquent à l'oral). La supervision directe : La coordination du travail par l'intermédiaire d'une seule personne, qui donne les ordres et instructions à plusieurs autres personnes travaillant en relation. La standardisation des procédés de travail : Elle réalise la coordination en spécifiant les procédés de travail. Ces standards sont habituellement au niveau de la technostructure. La standardisation des résultats : Elle réalise la coordination du travail en spécifiant les résultats des différents types de travail. Les standards sont eux aussi établi par la technostructure. La standardisation des qualifications et du savoir : Elle effectue la coordination des différents types de travail par le biais d'une formation spécifique de celui qui exécute le travail. La standardisation des normes : Une standardisation à travers laquelle les normes dictent le travail dans sa globalité. Les parties de la structure d'une entreprise Mintzberg distingue six parties de base à l'organisation : Sommet stratégique : C'est l'organe de direction de l'Entreprise Ligne hiérarchique : C'est une hiérarchie d'autorité composée de cadres opérationnels chargés d'animer des équipes de travail directement productives (coordination entre le sommet et le centre opérationnel) Centre opérationnel : Il constitue la base de toute organisation au sein de laquelle on trouve ceux qui effectuent le travail directement productif. La technostructure : Elle est composée d'analystes et d'experts qui réalisent des activités appelées indirectement productives, ce sont la plupart des cadres fonctionnels. Fonction de support logistique : Elles fournissent différents services internes à l'organisation (d'une cafeteria jusqu'à l'entretien des locaux). Idéologie des organisations : L'idéologie se fonde sur les traditions, normes, valeurs dominantes et les croyances de l'organisation. Les configurations d'entreprises Mintzberg attire l'attention sur les particularités de différents types d'entreprises. Il parle de 6 « configurations «. L'entreprise entrepreneuriale : petite entreprise où le patron s'occupe de tout. L'entreprise professionnelle : personnel compétent avec un travail routinier. L'adhocratie : personnel hautement formé et très flexible. La bureaucratie : grandes entreprises avec beaucoup de procédures. L'entreprise missionnaire : entreprise au service de grands buts. L'arène politique : où manipulation et pouvoir sont les objectifs de la plupart du personnel.

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