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Prendre conscience

Publié le 04/04/2011

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Prendre conscience

-          Si on « prend conscience » c’est que cette consience n’était pas là. La « prise » se fait sur fond d’absence, ce qui déjà sugere une remarque un element une caracteristique la conscience est un phenomene provisoire, aléatoire intermittent.

-          Prendre suppose un effort, un travail

Où suis-je ? Realiser on peut l’exploiter de 2 manieres

-          Dans la continuité de « prendre «  si le sujet cherche son lien avec un monde, un milieu c’est bien que la conscience est toujours conscience de quelque chose. Il n’y a pas de conscience sans conscience d’un objet sinon d’un monde, c’est la presence au réel, à soi, au monde.

-          Le conscience est ce pouvoir de se donner n’importe quel objet y compris elle-même.

-          Mais « où suis-je » pointe une autre idée : le dédoublement  le « je » qui se cherche experimente une distinction entre 2 dimensions de lui-même : « Je » et « Moi », or ce dédoublement est la condition pour coinsider avec soi d’où cette capacité de se dédoubler. Nous sommes double et c’est cette experience de la dualité qui nous permet de produire, construire une identité/unité .

-          On retrouve cette idée dans « se rendre compte » , quand « Je » me rends compte tout se passe comme si un « moi » venait témoigner devant un « je » et qu’un « je » interroge un « moi ».

-          Rendre des comptes se rapproche de « réaliser » revenir au réel.

-          La conscience morale confirme cette dimension là, la mauvaise conscience est l’experience d’un décalage d’un écart entre ce que l’on devrait être et ce que l’on est, entre un Idéal, une norme et une action, un ensemble d’action. Mais c’est aussi la condition pour œuvrer/agir dans le sens d’un accord avec la norme, on retrouve l’idée dans laquelle on retrouve le dédoublement et l’unité

-          A travers cet ensemble la conscience apparait comme un pouvoir fragile, menacé.

- Ce pouvoir se déploie à travers les modes de la conscience que sont le langage, la raison,  l’imagination,  la temporalité.

-Mais ce pouvoir porte une ombre. On sait l’envers du langage, de la conscience du temps, de l’imagination,…par ailleurs il est bien clair que le caractere intermittent, provisoire de la conscience laisse place à une insconscience constitutive, envers nécessaire de la conscience. L’inconscience est une absence, l’inconscient est une présence.

L’hypothese de l’inconscient pose/suppose, la realité, sous la conscience d’une pensée, d’une volonté, d’une part du psychysme qui travail et conditionne/determine cette surface qu’est la conscience, dont on peut penser avec Freud qu’elle est une partde l’inconscient détachée sous l’impact du réel.

 

Revenir à soi

Se rendre compte

 

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