Princesse de Clèves la rencontre

Un mouvement littéraire et culturel : le classicisme Madame de la Fayette, 1634 -1693, La Princesse de Clèves, 1678 Extrait 1 : La rencontre de Mme de Clèves et de M. de Nemours : le bal     Roman d’amour ac scène clé de la 1ère rencontre. Ts les romans célèbres sont des romans d’amour. Cette scène permet d’exprimer la « magnificence », premier mot du roman. I. La magnificence : la cour comme théâtre du paraître     A. Le cadre de la nouvelle historique     Les grds événements de la cour comme repère de l’intrigue : célébration d’un mariage et formation d’un couple amoureux.     Le cadre historique qui sert à la vraisemblance, car il justifie le retour de M. de Nemours à la cour.     B. La cour, comme théâtre du paraître     On joue ds un cérémonie réglée comme une représentation.     La parure : les pers. se préparent à être vus.     L’entrée en scène du héros, le roi et les reines comme metteurs en scène.     C. Un monde clos connu et reconnu où il faut paraître selon son rang     Parure et beauté qui suscitent des louanges, de l’admiration. Les réputations sont construites et vérifiées. => Cette apparence brillante est sans cesse soumise au regard et au jugement. Qd ce regard va dépasser ? II. la galanterie : l’apparition de l’objet aimé     A. « L’aventure qui avait qqc de galant et d’extraordinaire »     M. de Guise, M. de Nemours qui passe par-dessus les chaises = ce qui reste du héros courtois franchissant les obstacles.     Couple formé au bal par le roi, admiré de ts. Réf. à un conte de fée : aventure galante valorisée par ces 2 aspects.     B. La surprise de l’amour     Terme employé pr les 2 pers ( La beauté qui fait naître l’amour au 1er regard. La variation de la focalisation : d’abord, le pt de vue de la princesse, qui se retourne et est surprise ; puis le pt de vue de M. de Nemours, surpris également. =>Réciprocité par rapport aux autres scènes.     C. Des personnages qui vont se transformer     Le coup de foudre qui va entraîner un véritable changement chez les 2 pers :         - M. de Nemours, qui était galant, voit en elle le seule objet d’amour au moment où il danse ac la Dauphine qui était sensée être son amante.         - Mme de Clèves, qui n’a jamais aimé, voit pour la 1ère qu’elle est sensible à un homme. Elle est embarrassée et fait des louanges de M. de Nemours à sa mère. => Naissance de l’amour sous les regards de la cour. Des regards qui à la fois encouragent et menacent les sentiments. III. La passion : les apparences révélatrices     A. Donner des marques d’intérêts : la différence entre les hommes et les femmes     La bienséance, les codes de politesse ac lesquels M. de Nemours a bcp d’aisance et qui embarrassent Mme de Clèves tenue par 2 exigences : la vertu et l’amour naissant : son embarras et sa fragilité.     B. Les observateurs lucides : le jaloux et la mère     Le jaloux et la mère : la passion et l’intérêt qui leur permettent de repérer et de décrypter des signes infimes. Tt trahie la passion, tt peut-être signes.     C. L’héroïne exposée, découverte avt même d’accéder à la conscience de ses sentiments     1ère étape d’un cheminement douloureux vers la conscience de soi     Mme de Clèves n’est plus transparente ac sa mère, elle laisse paraître à la cour, des choses qu’elle maîtrise mal. => Une courte très brillante où ttes les apparences montrent une gaieté… alors qu’il y a une énorme pression qui cause le malheur de certains. Moralistes : La Bruyère : amour qui naît au 1er regard et on n’y peut rien. Le 2nd bal où Mme de Clèves n’est pas allée pr affirmer son amour à M. de Nemours = 1er signe de l’amour