Rimbaud (Arthur)
Publié le 18/12/2010
Extrait du document

C'est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent; où le soleil de la montagne fière
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.
[...]
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au coté droit.
Poésies, Le Dormeur du val
Oisive jeunesse
A tout asservie,
Par délicatesse
J'ai perdu ma vie.
Vers nouveaux et Chansons, Chanson de la plus haute tour
A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles
Je dirai quelque jour vos naissances latentes.
Poésies, Voyelles
Liens utiles
- Explication linéaire A la Musique Arthur Rimbaud, Poésies, 1870-1871
- Ophélie d’Arthur Rimbaud
- Lecture Analytique 2 : Vénus anadyomène : Arthur Rimbaud
- ARTHUR RIMBAUD – MA BOHEME - analyse
- SAISON EN ENFER (Une) d'Arthur Rimbaud