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Sujet Bac

Publié le 19/04/2015

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Ce sujet contient trois texte différents, d'auteurs variés; dont l'un est de Jean de la Fontaine écrit en 1678 qui à pour titre "L'huitre et les plaideurs", la seconde oeuvre est rédigée par un anonyme qui est transcrite au XIIIe siècle qui détient comme titre "Le Prud'homme qui sauva son compère" et pour finir le troisième passage est former par Voltair en 1747 qui porte comme titre "Zadig", c'est trois textes contiennent un point commun qui est le problème de l'injustice.  Pour le texte A nous pouvons constater qu'à travers la phrase: "Nos deux Messieurs le regardant" (L18) l’auteur souligne à la fois l'étonnement et l'absence de réaction des deux Pèlerins. Il nous laisse imaginer la mine qu'ils font à ce moment là. Le fait qu'ils assistent ainsi sans reaction à la disparition de l’huitre.Il y a ainsi contraste de la souffrance des plaignants et du plaisir du juge en mangeant l’huitre, c’est ce qui donnent à la scène un caractère comique. Dans cette fable les défauts des personnages ne sont pas forcément soulignés : ce sont deux pèlerins, cependant on pourrait s’attendre à voir de la générosité de leur part et pourtant, il n'en est rien.L’auteur accentue l'emploi de la dispute par la reprise des expressions employées par les personnages : "J'ai l'oeil bon" (L11) ; "Je ne l'ai pas mauvais aussi" (L12) ; "Vous l'avez vue" (L14) ; "Je l'ai sentie" (L14). L’auteur emploi notamment de l'ironie et le registre satirique : "D'un ton de Président" (L19) en se moquant des allures graves que le juge prend pour rendre ses jugements. Cette fable touche notamment au genre de la caricature. L’auteur présente une caricature des juges à travers ce personnage (le juge), plutôt que d'une représentation moqueuse de la justice. Il n'empêche que l’on peut attribuer à cette fable une valeur médisante, mais simplement que l’on peut y voir les caractères coûteux des procès.

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