«Titre», Bien que je sois un voisin tolérant, je ne puis plus accepter les incidents provoqués par votre chat.
Publié le 15/02/2013
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«Titre«, Bien que je sois un voisin tolérant, je ne puis plus accepter les incidents provoqués par votre chat. Ce qui s'est passé hier me pousse à vous écrire : j'ai trouvé un poisson mort dans mon bassin, et j'ai vu votre chat emporter un second poisson dans sa gueule. Vous comprendrez que je ne puisse accepter cela. Le voisinage implique le respect des autres. Je regrette que, malgré mes demandes répétées, vous n'ayez rien fait. J'espère néanmoins que vous interviendrez après avoir reçu cette lettre, afin que nous puissions rétablir de bonnes relations. Je vous demande également de me dédommager pour les deux poissons qu'a tués votre chat (deux nouveaux poissons rouges ou 45 FF par poisson). Cependant, je vous indique que, si un tel incident se reproduit, je me verrais dans l'obligation d'engager une action pour obtenir des dommages-intérêts. J'espère pourtant que nous parviendrons à un compromis et vous prie d'agréer, «Titre«, l'expression de mes sincères salutations. Pierre Duval
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