«Titre», Je suis un voisin tolérant, mais je ne suis plus disposé à accepter les désagréments qu'occasionne votre chien.
Publié le 15/02/2013
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«Titre«, Je suis un voisin tolérant, mais je ne suis plus disposé à accepter les désagréments qu'occasionne votre chien. En effet, Waldo aboie nuit et jour. Il n'est plus possible de dormir. Je ne peux plus sortir dans mon jardin sans voir votre chien montrer les dents près de la clôture. Vous l'encouragez même à agir ainsi. De plus, il fait régulièrement ses besoins devant ma maison, ce qui vous amuse, mais est très désagréable pour moi. L'incident suivant m'a conduit à écrire cette lettre : hier, lorsque je rentrais de mon travail, votre chien était en train de retourner mon parterre de tulipes pour chercher je ne sais quoi. Les fleurs volaient dans toutes les directions, et votre chien faisait un énorme trou. Vous comprendrez que je ne peux accepter cela sans rien faire. Le bon voisinage implique que l'on ait des égards les uns vis-à-vis des autres. Je regrette que mes plaintes répétées soient restées sans suite. J'espère que vous tenterez de réparer cela après ma lettre, afin que nous puissions à l'avenir vivre en bons termes. Je vous indique cependant qu'en cas de nouvel incident je porterai plainte contre vous pour négligence : vous êtes responsable des agissements de votre chien. D'ailleurs, un arrêté municipal punit d'amende les propriétaires de chien errant... J'espère qu'il ne sera pas nécessaire d'en arriver à cette extrémité et prie d'agréer, «Titre«, l'expression de mes sincères salutations. Pierre Duval
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