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L'humanité peut-elle répondre à des besoins alimentaires croissants ?

Publié le 18/08/2012

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La flambée des prix du pétrole joue un rôle déterminant, autant pour les coûts de transports en net augmentation en raison des importations massives sur le marche mondialise que pour l'augmentation du prix des fertilisants utilises dans l'agriculture intensive (dont la manufacture nécessite du pétrole.    Les pays touchés par la faim sont les plus pauvres. Les pays riches leur achètent de moins en moins cher ce qu'ils produisent et leur vendent de plus en plus cher les marchandises dont ils ont besoin. Endettés, ils ne peuvent pas développer leur économie et leurs populations sont victimes de la pauvreté et de la faim.    Malgré tous ces signes pessimistes, n'y a-t-il pas des solutions ?    Malgré tout, des solutions existent. En effet, il faut que la communauté internationale assume ses responsabilités dans une total coopération entre pays du nord et pays du sud.  Ces derniers doivent se mobiliser autour d'objectifs précis.  Il faudrait parvenir à l'autosuffisance alimentaire partout dans le monde, que des infrastructures soient mises en place pour une longue durée…  Il faut qu' une volonté commune naisse afin de répondre à ces crises alimentaires.

« Venezuela|Taux d'urbanisation |87.64% | Vietnam|Taux d'urbanisation |24.50% | Norvège|Taux d'urbanisation |78.60 % | Le fait que certains pays soient en pleine expansion économique a entraîné l'élévation du niveau de vie de certains habitants.

Ces derniers veulent donc mener uncertain train de vie. 3) Non - modernisation de l'agriculture [pic] Comme en témoigne cette photographie les techniques de labourage au Zimbabwe ne sont pas très avancés ce qui a pour conséquence une productivité moindre.Il y aussi le manque d'infrastructures : Comment l'agriculture peut-elle se moderniser lorsque les appareils de plus en plus complexes utilisés dans ce secteur doiventêtre utilisés par des personnes souvent illettrés ( cf.

expo « Quand l'Afrique s'éveillera ») 4) biocarburants Les biocarburants sont également coupables de cette envolée des prix.

Le Brésil est le second producteur mondial de biocarburants : 20% des carburants sontd'origine végétale.Les Etats-Unis où la politique de biocarburants est extrêmement active (six milliards de dollars de subventions) provoque aussi une certaine instabilité.En premier lieu, le déséquilibre est parti du maïs car les Etats-Unis ont sorti 138 millions de tonnes de maïs du marché alimentaire pour les injecter dans lesbiocarburants.

En France, il y a 7 % des surfaces arables qui sont dédiées aux biocarburants, tandis qu'un quart des surfaces américaines sont consacrées enbiocarburants.Quelque 5 millions d'hectares de maïs supplémentaires ont été ensemencés aux États-Unis l'an dernier pour produire du carburant vert, soit l'équivalent de lasuperficie de la Suisse ! Les prix du maïs ont néanmoins bondi, soulevant la colère des consommateurs mexicains.

En prime, ces prix entraînent ceux des terrescultivables : +35% l'année dernière dans l'État de l'Idaho. 5) Le coût d'importation et exportation lié à la hausse du pétrole La flambée des prix du pétrole joue un rôle déterminant, autant pour les coûts de transports en net augmentation en raison des importations massives sur le marchemondialise que pour l'augmentation du prix des fertilisants utilises dans l'agriculture intensive (dont la manufacture nécessite du pétrole. Les pays touchés par la faim sont les plus pauvres.

Les pays riches leur achètent de moins en moins cher ce qu'ils produisent et leur vendent de plus en plus cher lesmarchandises dont ils ont besoin.

Endettés, ils ne peuvent pas développer leur économie et leurs populations sont victimes de la pauvreté et de la faim. Malgré tous ces signes pessimistes, n'y a-t-il pas des solutions ? Malgré tout, des solutions existent.

En effet, il faut que la communauté internationale assume ses responsabilités dans une total coopération entre pays du nord etpays du sud.Ces derniers doivent se mobiliser autour d'objectifs précis.Il faudrait parvenir à l'autosuffisance alimentaire partout dans le monde, que des infrastructures soient mises en place pour une longue durée…Il faut qu' une volonté commune naisse afin de répondre à ces crises alimentaires. Conclusion : Un droit inaliénable « Le droit de s'alimenter est un droit fondamental.

Or, dans les pays les plus pauvres, 50 % des enfants de moins de 5 ans souffrent de malnutrition alors qu'ils ne sontque 5 % dans nos pays développés.

Et c'est dès l'enfance que se prépare une bonne santé.

Comment aller à l'école, réfléchir, travailler quand on ne mange pas à safaim...Par ailleurs, une alimentation suffisante et équilibrée dès le plus jeune âge écarte les risques de maladies adultes.

»Nous sommes capables de trouver les solutions à nos problèmes comme nous l'avons toujours fait jusqu'à présent.

Il est vrai que ce n'est pas un combat facile, maisnous avons les armes afin de pouvoir riposter et cela doit se faire ensemble.Comme dit l'adage : « l'union fait la force ».. »

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