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Économie Krach boursier

Publié le 28/11/2012

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QUESTION POUR INVITER :À la ville de Montréal, vous êtes-vous fixé des objectifs de réduction des gaz à effet de serre, quels sont-ils? Sont- ils en accord avec les objectifs de Kyoto? Pensez-vous être en mesure des atteindre dans les délais prescrits? Les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) de l'agglomération de Montréal, c'est-à-dire de toutes les villes de l'île de Montréal, comportent deux volets. a. Le volet corporatif, soit les activités directement gérées par les municipalités comme le traitement des eaux, l'utilisation des véhicules municipaux par les employés ou le chauffage des édifices municipaux. En 2005, la Ville de Montréal s'est engagée à réduire ses émissions de GES de 20 % d'ici 2012, par rapport à 2002.b. Le volet collectivité montréalaise. Dans le Plan de développement durable de la collectivité montréalaise 2010-2015, un des objectifs est de réduire de 30 % les émissions de gaz à effet de serre de la collectivité montréalaise d'ici 2020 par rapport à 1990.La ville de Montréal prend-elle de bons moyens pour contrer les changements climatiques en ce moment même Plusieurs actions pour diminuer les émissions de GES et pour permettre l'adaptation aux changements climatiques ont déjà été entreprises par la Ville de Montréal ou sont sur le point de l'être. a. Exemples d'actions déjà entreprises : interdiction des toits sombres dans l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie pour contrer les îlots de chaleur urbains, voir l'article 87.2 du Règlement d'urbanisme de l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie,; le nouveau règlement encadrant l'aménagement des espaces de stationnement axé sur le développement durable de l'arrondissement de Saint-Laurent pour, entre autres, lutter contre les îlots de chaleur urbains et faire une gestion durable des eaux de ruissellement, b. Actions à venir : un plan d'adaptation aux changements climatiques pour la collectivité montréalaise sera réalisé dans le cadre du programme Climat municipalités du ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP). Est-ce que les changements climatiques observés au cours des der...

« Après les deux premières questions La meilleure méthode ( au canada) Le 7 janvier 2008, 230 économistes enseignant dans des universités canadiennes se sont prononcés sur les mesures devant être prises pour lutter contre les changements climatiques.

Bien que ces économistes aient des points de vue différents sur beaucoup de sujets et bien qu’i ls soient d’allégeances politiques variées, i ls en sont tous venus à un consensus au sujet des mesures à prendre pour lutter contre les changements climatiques.

Ces mesures doivent s’appuyer sur des principes économiques de base selon eux.

Voici donc les 10 principes appuyés par les économistes. · Le Canada doit agir maintenant contre les changements climatiques. · Toute action significative impliquera des coûts pour l ’économie. · Ces impacts économiques ne doivent pas servir de prétexte à l ’ inaction. · La tarification du carbone est la meilleure approche d’un point de vue économique.

· Elle permet à chaque entreprise ou ménage de choisir la réponse qui lui convient le mieux. · Elle suscite l ’ innovation. · Le carbone est très certainement sous-évalué à l ’heure actuelle. · La réglementation est le moyen le plus dispendieux d’atteindre des réductions d’émission. · Une taxe a l ’avantage d’offrir une certitude sur le prix du carbone. · Un système de permis échangeables assure l ’atteinte de cibles de réduction des émissions mais à un prix du carbone incertain et son implantation peut être complexe. · Les politiques qui imposent des coûts aux producteurs vont aussi avoir des conséquences pour les consommateurs. · Les mécanismes de contrôle des émissions par les prix peuvent avoir des effets régressifs et ce problème doit être pris en compte. · Un mécanisme basé sur les prix du carbone peut permettre la réduction d’autres taxes et ainsi améliorer notre système de taxation Bien que les économistes favorisent la taxe carbone comme étant la meilleure approche, d’autres confirment qu’i l n’y a pas d’arguments scientifiques en faveur d’une taxe ou d’un plafonnement-échange.

Tous par contre s’entendent pour dire que l ’approche sectorielle du gouvernement Harper serait la moins bonne.. »

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